Homophonie

les hommes « qui sur les animaux se font un chimérique empire » sont ainsi justement punis. L’adjectif « chimérique » sous-entend la toute-puissance du lion. B/La violence de l’exécution -La « peccadille » devient un « cas pendable ». La quasi homophonie des deux termes de cette antithèse souligne le prompt travestissement de la réalité. -La rapidité de la chute aux vers 60 et 61 fait écho à la brutalité de la sentence et de l’exécution dont la violence est mise en valeur par le hiatus inhérent

leur nombre mais, aussi, leur impersonnalisation. Tous semblables, tous errants, sans « trêves » et sans repos, ils représentent la trace immatérielle de l’au-delà. - Chants de l’au-delà ? Repos éternel qui s’avère « sans trêves », où par homophonie nous retrouvons le mot « rêves », le songe rappelle aussi cet état de semi-veille où quelques mouvements du monde réel sont perceptibles mais où l’activité psychique, à l’image du poème, se concentre en sensations, émotions et création. Les chants

en chœur par les autres animaux : « Manger l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable ! ». Le discours indirect libre met en évidence la vitesse à laquelle ces mauvaises paroles se propagent. La « pecadille » devient un « cas pendable ». La quasi homophonie des deux termes de cette antithèse souligne le prompt travestissement de la réalité. La rapidité de la chute aux vers 60 et 61 fait écho à la brutalité de la sentence et à la violence de l’exécution. Conclusion: On pourrait conclure à l'aide

humaine 1) Des dénomination équivoques pour les hauts gradés En effet, les militaires haut placés sont au nombre de deux dans cet extrait : le commandant Pinçon et le général des Entrayes. Ses deux noms possèdent chacun un homophone et ces homophonies sont ici volontaire de la part de l’auteur. Pour le commandant Pinçon, l’homophone est pinson : un oiseau de petite taille ce qui exprime donc le côté insignifiant du personnage malgré le statut de commandant qu’il possède. Il se contente de

3. La disposition des rimes: Les rimes plates ou suivies se suivent selon le schéma AABB. Les rimes croisées se croisent selon le schéma ABAB. Les rimes embrassées sont disposées selon le schéma ABBA. D) Fantaisie verbale: Parmi les homophonies : Le calembour est fondé sur l'homophonie ou l'homonymie. → la rose / l'arrose Les vers holorimes. → Gal, amant de la reine, alla, tour magnanime Galamment de l'arène à la tour Magne à Nîmes. Les anagrammes qui inverse l'ordre des lettres

d'inadaptation, d'exil : infirmité anacoluthe «  exilé sur le sol au milieu des huées ses ailes de géant l'empêchent de marcher » qui atteste du décalage du poète par rapport aux hommes. => Inadapté, exilé, le poète conserve sa grandeur (homophonie « et laid » « ailé »), son caractère céleste reste inhérent a sa dégradation. C- Les missions du poète Le poète accompagne les hommes (« qui suivent, indolents compagnons de voyage ») dans une communauté de destin Sens aigu de la condition

qu’elle bouge (avec les reflets ?). Il cherche peut-être un angle pour la peindre. et comme un duc de Guise qui se déguise en bec de gaz la pomme se déguise en beau fruit déguisé Allitération en [g], [d] et [z] paronyme homonymes homophonie Cela montre l’étourdissement. Les lettres et les sons se mélangent. Le texte s’affole. elle a son mot à dire et plusieurs tours dans son sac de pomme la pomme la pomme se déguise en beau fruit déguisé et c’est alors que le peintre

refus justifié par la délicatesse imposé par la fin ’Amor. Il évoque le respect et parle d’« un secret inviolable de l’objet aimé » (l.28). Par ailleurs, le titre de « Madame » qu’il utilise ligne 27, semble directement inspiré de « ma dame » une homophonie de l’impératrice chevaleresque. C’est alors que Dorante, prit dans son propre piège va être acculé à la révélation par celle qui œuvre un véritable stratège. Troisième mouvement : La révélation. Cette révélation est mise en scène de façon à ce

sens. Pour finalement, faire éclater les mots.-tragedie du langage se manifeste par unecacophonie generalise-expression progressive de la colere -enchainement decousu des repliques -phrases videes de leur sens -mots videes de leur sens: onomatopes, homophonie, rimes…-effet produit: rire -scene s’acheve de manière cyclique reprenant la scene d’expositionBANQUE DE TEXTES: OH! LES BEAUX JOURS 1962 TEXTES RESUME ANALYSE La scène  d’exposition de l’acte IDans cette

renforce l’intensité dramatique du face à face : l’évocation d’un « sombre dénouement » donne à la scène une dimension funeste et tragique (« destin bien sombre »), mise en valeur par l’expressivité rhétorique de l’alexandrin : chiasme (v. 658) et homophonie insistante ombre-sombre. c) Quelle sera l’issue choisie ? Le spectateur est dans l’expectative. Qui va l’emporter ?: L’incertitude quant aux deux options possibles est garante de l’intérêt dramatiques du dialogue : au « Fuyons ensemble ! »