Homophonie

Vocabulaire 9eme AF et 8eme. I- Les différents sens d’un mot (la polysémie) I-A.-Sens des mots C’est l’explication du sens d’un mot. On la trouve dans le dictionnaire mais on peut aussi la rencontrer dans un texte documentaire ou la déduire à partir du contexte du mot. Ex 1 : Du pain frais – Une eau fraiche – Un teint frais – Des nouvelles fraiches. Ex : 2 : Une terre pauvre – Une famille pauvre – une pauvre maison. a) Sens propre et sens figuré On appelle sens propre d’un mot

Allitération: Assonance: Homophonie de la dernière syllabe accentuée. Rime: Homophonie de la dernière syllabe accentuée de ce qui la suit. Rimes plates: AA, BB,CC. Rimes croisées: A/B/A/B. Rimes embrassées: A/B/B/A. Rimes féminines: Le vers se termine par un (e) muet. Rimes masculines: La dernière syllabe accentuée du vers n'est pas suivie d'un (e) muet. Rimes pauvres: Homophonie d'un son. Rimes suffisantes: Homophonie de deux sons. Rimes riches: Homophonie de trois sons. Vers régulier:

de dix syllabesL'endécasyllabe : vers de onze syllabesL'alexandrin ou le dodécasyllabe : vers de douze syllabes Les différentes rimesRime = homophonie de la dernière voyelle accentuée et de ce qui la suit : exemple :" Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Les diverse beautés qui parent ta jeunesse ; "( Baudelaire, Le beau navire)Assonance = homophonie de la dernière voyelle accentuée  :exemple : " Et je l'aimais comme j'aime se son Au creux duquel rajeunirait le monde Ce son qui réunit quand

L'endécasyllabe : vers de onze syllabes L'alexandrin ou le dodécasyllabe : vers de douze syllabes Les différentes rimes Rime = homophonie de la dernière voyelle accentuée et de ce qui la suit : exemple : " Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Les diverse beautés qui parent ta jeunesse ; "( Baudelaire, Le beau navire) Assonance = homophonie de la dernière voyelle accentuée : exemple : " Et je l'aimais comme j'aime se son Au creux

symbolique. LES RIMES DEFINITION Deux mots riment ensemble quand leur dernière voyelle sonore, et éventuellement les consonnes qui la suivent, ont le même timbre : espoir / soir barbu / pointu Il s'agit donc ( entre deux ou plusieurs mots ) d'une homophonie de leur dernière voyelle tonique ainsi que de tous les phonèmes qui, éventuellement la suivent. REMARQUES 1 - Bien qu'un "e" muet en fin de vers ne compte pas pour une syllabe, on n'admet pas qu'un mot de terminaison sonore (rime masculine) rime

l’intérieur d’une même séquence. Allitération : répétition remarquable d'une consonne à l’intérieur d’une même séquence. Rime pauvre : 1 homophonie : identité de la voyelle tonique (unie/vie) Rime suffisante : 2 homophonies : voy + cs (ex : abandonne / personne) cs + voy (ex : chanté / été) Rime riche : 3 homophonies : cs + voy + cs (ex : prêteuse/emprunteuse) voy + cs + cs (rapporte / sorte) cs + cs + voy (esprit / prix) Rime léonine : l’homophonie

accentuelles. Lien nécessaire entre le caractère syllabique et la rime pour faire l’identité du vers. I. Les types d’homophonies 1. Définitions Rime : homophonie de la dernière voyelle accentuée du vers ainsi que des phonèmes qui éventuellement la suive. Si l’homophonie est suivie d’une hétérophonie consonantique, on parle d’assonance. Contre-assonance : homophonie des consonnes mais pas des voyelles.4 2. Rôle de la rime - fonction mnémotechnique - rôle de structuration du vers et du poème - rôle associatif

trois vers Un quatrain : quatre vers Un quintil : cinq vers Rimes plates ou suivies : AA, BB, CC... Rimes croisées : A / B / A / B Rimes embrassées : A / B / B / A Rimes pauvres : homophonie d'un son : bleu / feu Rimes suffisantes : homophonie de deux sons : roulant / lent Rimes riches : homophonie de trois sons, au moins : " tes épaules grasses / étranges grâces" Rimes masculines : la dernière syllabe accentuée du vers n'est pas suivie d'un [e] muet : exemple : triomphant / méchant

institutionnelle de ceux qui sont accusés B. Transgression des règles poétiques et syntaxiques - Absence de rimes, pas de vers réguliers (vers libres), passage à la prose poétique à la fin de l’extrait (arrêt de l’anaphore) - Jeu grammaticaux et phonétiques/homophonie, transformation de noms/adj en verbe : « tricolorent », « majusculent », « dreadnoughtent » « brossent à reluire », « andromaquent » => attributs transformés en actions soulignent l’idée que pour ces « ceux qui », la propriété, le statut, la condition

L'opposition de l'eau au feu amoureux (v. 9-14) I. L'association entre amour et mer (v. 1- 8 ) 1. Une analogie (v.1-4) • Musicalité liant tous les termes : ∘ Paronomase dans « la mer » (v. 1, 2, 3, 4), « l'amour » (v. 1, 2, 3, 4), « l'amer » (v. 1) ∘ Homophonie dans « (l)a mer » (v. 1, 2, 3, 4), « amer » (v. 1, 2), « amère » (v. 2) ∘ Allitérations en m, r et l + assonances en a, é et è. ∘ Anaphore de « Et la mer » (v. 1, 2) = répétition évoquant le mouvement continu des vagues ? • Insistance sur la proximité