Homophonie

1) Un poème monotone. Dans les 4 premiers vers de chaque strophe, les rimes sont croisées (ABAB) et dans les vers suivants, les rimes suivent le plan ABAAB. Les rimes sont également des rimes des rimes riches, c'edst à dire qu'elles ont une homophonie d'au moins 3 sons. Les strophes de 9 vers, sont appelés des neuvains et les vers sont composés par paires : un décasyllable d'abord puis un octosyllabe ensuite. 2) Mais vivant grâce aux figures de styles. Ce poème est vivant grâce à ses différentes

Geoffray Version de l’armée Le tempo est lent. Le tempo est plus rapide. Ils font un peu trainer chaque note. A la fin de chaque phrase ils arrêtent la note. Quand ils chantent les « piocher » ils font un silence entre les deux et sont en homophonie. Quand ils chantent les « piocher » ils font un canon à deux voix. Mon avis :

celle du batelier -Enfin le poète invente des mots "râle-mourir" et "incantent" pour suggérer les accents étranges et funestes de la chanson. -Le poème s'achève sur un vers isolé qui brise le rythme des quatrains et compose un jeu de mots sur une homophonie : verre = vers. Ces deux aspects traditionnels et modernes renvoient à une double vision du Rhin. 2/Un paysage double -Réel : nous sommes au bord du Rhin le poète boit du vin, dans l'eau se reflètent les vignes. Nous

vers se déroulent selon un schéma grammatical limpide, sujet, verbe, complément avec un parallélisme de construction entre les deux phrases destinées à créer un climat de confiance, propice au sommeil. Il y a un écho des sonorités par le jeu des homophonies avec prédominance du son an (champs, mélancolie, couchants, chants) et par le retour fréquent à la rime par l'utilisation de vers de cinq syllabes. . Une structure fluide et sans heurts Dominé par la mélancolie qui remplit à elle seule le vers

portant beaucoup de traits caractéristiques du futurisme et de l'avant-garde. Le titre de ce calligramme, a une absence d'articles qui renvoie déjà au nom propre qui se dégage du miroir. L'initiale des deux premiers mots : Cœur et Couronne, forme une homophonie. Il exige à l'œil de lire non seulement de gauche à droite mais aussi de bas en haut et de haut en bas. Quel lien pouvons-nous percevoir entre les dessins et les textes dans ce poème ? Le poème, comme l'indique la titre, est construit de trois parties-images

proprement dit. Faits d’expression : répétitions (anaphore, tautologie : répète le même mot avec le même sens. Polyptote : utilisation de deux mots de la même famille). Emphase. Rimes banales (deux infinitifs du même groupe). Paronomase : presque homophonie. Diaphore. Syllepse.

l’appeler l’auberge du Bon Dieu » (l. 2-3). Rédaction : A quoi être attentif ? Orthographe Je m’appuie sur les automatismes mis en place pendant l'année . • J'ai relu attentivement ma copie et j'ai corrigé l'orthographe en vérifiant : - le sens (homophonie lexicale) , - les accords sujet-verbe, adjectif-nom, nom- déterminant , accord des participes passés, - la conjugaison ( terminaison et particularités), - les homophones( utiliser les astuces) . • J’ai évité de couper les mots en fin de ligne. En

l'inspiration du poème et donc le poème lui-même. -L'absence de liens logiques entre les strophes souligne l'ivresse qui semble gagner la syntaxe -Le poème s'achève sur un vers isolé qui brise le rythme des quatrains et compose un jeu de mots sur une homophonie : verre = vers. La troisième strophe est en fait un récapitulatif du poème et de la poésie d'Appolinaire en général : * c'est un monde mystique où se mélangent les oxymores poétiques ( " Le Rhin le rhin est ivre... ", la répétition renforce

Monet. Le dernier, "les bons chiens", est dédié à Joseph Stevens, uniquement parce qu'il peignait des chiens. Ce poème est le seul qui soit authentiquement dédié à quelqu'un puisque le thyrse est à l'image de Liszt. On peut penser que la vague homophonie (vaguement en chiasme, ce qui n'est pas sans intérêt pour ce texte) entre les deux mots permet le rapprochement. Baudelaire le connaît. Il y a une relation assez intime entre eux. Liszt sera le beau père de Wagner, dont Baudelaire sera un admirateur

n’a même pas idée. La Prévention routière était plus inspirée quand, il y a quelques années, elle a lancé la campagne en faveur de la ceinture de sécurité : « Ceint et sauf » était son slogan. La force du jeu de mots réunissait par la seule homophonie la santé et la sécurité de la ceinture pour les identifier l’une à l’autre. Paul Villach