Honte

d’une volonté inébranlable d’être ce qu’il veut être : un être qui exprime ce qu’il pense et ressent. Malgré cette volonté de fer, il a honte de lui-même. Il reste humain, il est victime et prisonnier de ses émotions. Il eut une honte de son visage qu’il considérait laid, il eut honte de son statut familial, il eut honte de ne pas avoir un sou. Avec le temps, cette honte sera transformée en haine, il viendra à haïr son village. Pourquoi le traitait-il ainsi ? Ils sont jaloux, ils convoitent cette puissance

l'intrigue ; il est au-dessus du personnage car il sait que la guerre aura lieu. Comment l’auteur arrive-t-il a faire passer sa vision de la guerrre ? Cet extrait est compose de deux grandes repliques dites par hector, il montre dans la premiere la honte de Hector d’etre vivant, et dans la deuxieme les morts braves, et peureux. Héctor est placé « au pied des portes ». Il est dans une position symbolique, celle de l’orateur, général de troupes, qui est chargé à contre cœur de faire l’éloge des

soleil. Parfois, c’est une oasis, la demeure cachée, le lieu interdit et du repos, sur lequel viennent se repaître troupeaux et nomades. Certains portent encore l’odeur macérée de la ville, et ils sautent dans les puits sans fond pour oublier leur honte. Ils font des feux ensuite pour préparer le combat contre la nuit, qui apporte dans la brume ses plus mauvais êtres, pour qu’ils se jouent encore de ses victimes, et c’est un tourment, qui commence et ne finit qu’à l’aube. Le vent aura soufflé toute

temps », « aujourd’hui »). Constat d’un apprentissage amené par l’expérience : « j’ai compris », « j’ai appris » répété 2 fois, « je sais », « j’ai compris ». Confession dominée per la culpabilité « j’ai honte, honte à mourir » (insistance du mot « honte » et la valeur hyperbolique du mot « honte ». Tarrou fait en sorte un bilan de sa vie puisqu’il étale ses conclusions : « je sais aussi que je ne puis apparemment juger ces autres » C/Valeur argumentative Raisonnement et structuration logique forte

celles de Sœur Suzanne , que tu as si souvent partagées avec moi… Mais jamais nos jeux innocents, ou moins innocents… Non, non, jamais je n’éprouvai un tel plaisir. J’en ai honte, bien honte, mais pour être tout à fait sincère, cette honte qui monte à mes joues brûlantes me fait penser à cette nuit, et le plaisir revient avec ma honte. Et déjà je sens que je ne pourrai terminer cette Lettre sans l’interrompre. Jeux de mains, jeux de vilains, nous sermonnait la Mère supérieure quand elle nous surprenait

contrôle parentale et de se trouver une nouvelle appartenance, au départ chaleureuse, mais par la suite malsaine. Ainsi, les personnes qui s’adonnent à la prostitution vivent une vie généralement malheureuse et indigne, car une certaine honte les habite. Une honte d’avoir un emploi ignominieux et rabaissant. D’être entouré par de mauvaises fréquentations qui nuisent à la réputation des personnes en question, qui sont déjà durement affectées. Puis, autant dans leur vie au quotidien que dans leur pratique

à ma honte, à mes complexes. Le regard échappe en même temps au pouvoir de celui qui est observé, on est alors impuissant face au jugement des autres. Il est impossible de se dérober et d'effacer ce que l'on a pu faire et qui vaut d'être perçu ainsi tel que l'on est. L'expérience de la honte offre, d'après Sartre, une illustration de ce que notre rapport à autrui peut être dans certaines circonstances. La honte est honte de soi, mais devant une autre conscience. Car, pour qu'il y ait honte, il faut

fait par l'intermédiaire d'une expérience négative comme la honte. Prenons un exemple : une personne dans une salle se croit seule, elle fait un geste maladroit ou vulgaire et voit cette scène normalement. Cette personne remarque qu'elle n'est pas seule, et éprouve de la honte. Par la seule présence d'autrui on se fait honte. La honte est un jugement que l'on porte sur nous-même. On se voit exactement comme l'autre nous voit. J'ai honte de moi tel que j'apparais à autrui. Et, par l'apparition même

autant : il la complète. Les limites que viennent m'apporter autrui vis-à-vis de mon comportement détermine ce que je veux qu'autrui voit de moi pour recevoir un bon jugement. Le fait d'avoir honte devant autrui ne signifie pas avoir honte du geste, mais avoir honte de soi au moment de l'action. Avoir honte nous révèle une facette de soi que l'on voulait peut être pas admettre avant cela. Il m'oblige involontairement à adopter un comportement face à lui. De cette déduction, nous pouvons en conclure

Ce qui signifie que l’homme ne vit pas seul. Il vit entouré d’autres. Autrui me regarde et fait de moi l’objet de sa pensée. Donc d’objet, je deviens sujet. Ainsi lorsqu’autrui n’est pas là, je ne peux ressentir la honte, mais lorsqu’autrui est la, je peux ressentir la honte. La honte peut être un facteur de tension et donc de menaces. II Toutefois il peut exister une coexistence pacifique - On observe à travers le monde une relative paix mondiale. - Il existe une solidarité entre les