Horreur

son objectif avec fort peu de moyens puisque le poète n’a recours qu’à une seule image : la pluie. C’est ainsi qu’il parvient à dénoncer avec force les horreurs de la guerre. Thème dominant : le souvenir Problématique : Ce poème est l’occasion pour l’auteur d’évoquer le souvenir d’une rencontre et d’exprimer son impuissance face aux horreurs de la guerre. Plan I Le souvenir d’une rencontre II La guerre et ses effets destructeurs III L’expression d’une impuissance face à l’horreur

privé d’une chose puisque les 2 verbes renvoie au manque.En debut V56 ce manque est d’autant plus terrible puisque sa ville est en feu ardente Troja alors que son époux en est privé flamma indiget fin v55Fin v56 Hécube nous fait remarqué que cette horreur n’est pas la seule de ses souffrances puisqu’elle affirme que ce n’est pas assez pour les dieux : s’ils ne sont pas montrés comme insatisfaits et injustes ils sont au moins très passifs dans ce passage.v57 à 62 les vainqueurs de la guerre sont dépersonnalisés :

ton le plus tendre » qui caractérisent son attitude. Lignes 99-100 . Après l’air de méchanceté, viennent les paroles méchantes : « J’ai horreur de m’être livré au premier venu ». Ces paroles humiliantes rappellent à Julien son origine sociale. Cet effet est renforcé par les termes hyperboliques qu’elle emploie « j’ai horreur », « pleurant de rage contre elle-même ». Le remords de Mathilde est à la mesure de son orgueil. Lignes 101-103 . Julien reprend le mot

être happé par le néant ? Nous allons retrouver cette fatalité dans la conception balzacienne du monde et de la justice. Ce passage nous indique aussi ce que Derville va devenir : « moi, je vais vivre à la campagne avec ma femme, Paris me fait horreur ». Par cette emphase, Derville s’affirme en tant qu’individu dans son choix d’une existence privée à la place de la vie publique qu’il menait jusque-là. Cette phrase sur Paris est aussi une conclusion des Scènes de la vie parisienne où Paris est

meurtrière. Plus de 60 millions de soldats y ont pris part. 10 millions de personnes sont mortes en Europe, et environ 20 millions sont devenues invalides. c'est dans ce contexte que nombre d'artistes ont trouvé l'inspiration pour dénoncer les horreurs de la guerre et ses conséquences sur la vie des hommes. Ainsi Otto Dix artiste peintre né en Allemagne ( Thuringe ) le 02 Décembre 1891 et mort en République Fédérale d'Allemagne à Singen le 25 Juillet 1969, a été un de ceux qui à travers leurs

de celle-ci face à l'alcool. A travers le texte, on peut découvrir une femme rongée par son obsession pour l'alcool, cherchant à oublier son passé, ce que l'on devine par l'emploi de « la torture de cette vie », « les horreurs de sa pensée », et « une journée d'oubli », horreurs et torture nous permettant de nous rendre compte de la souffrance qu'elle endure. Le narrateur utilise le champ lexical de l'alcool, insistant sur la dépendance de Germinie Lacerteux : « bu, verre, vin blanc, eau de vie

plus réaliste et encore plus sombre de la guerre que ce qu'il avait pu peindre auparavant. Ce tableau est donc peint durant la République de Weimar qui a tendance à glorifier l'héroïsme de la guerre. Alors que la population commence à oublier les horreurs qu'elle a vécu, Otto Dix en dépeint une image crue non pas pour choquer mais plus pour témoigner et rappeler la réalité de la guerre. Le triptyque ne fut exposée que brièvement à Berlin pour l'exposition « Arts dégénéré » avant qu'il ne soit caché

GUERNICA GUERNICA QUI EST UN TABLEAU PAINT PAR PABLO PICASO.Guernica exprime la révolte du peintre espagnol. Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937.Picasso utilise à ces fins une peinture aux formes dramatiques, aux contrastes violents et aux couleurs peu nombreuses. Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation.Picasso se sert aussi de symboles

Fuite des propriétaires des manufactures dans les pays limitrophes, entraînant la ruine du commerce en France. * L'auteur insiste sur la ruine du peuple dûe à la fuite démographique. II) Horreur et sacrilège 1. Les manifestations de l'horreur. * Termes employés : cruauté, torture, abjuration, horreur, abomination. * Notions de dégoûts et de barbarie. * Les violences sont faîtes de manières mécaniques et rapides. 2. Les manifestations du sacrilège : action contre Dieu. * Termes

Au milieu de cette grande plaine, qui était autrefois remplis de verdure et qui n'est réduis qu'aux obus et aux explosions, se trouvaient des centaines de personne qui demandaient de l'aide. La femme essayait tant bien que mal à cacher toutes ces horreurs à l'enfant qu'elle tenait fermement dans ses bras. Mais le mal avait déjà été fait, l'enfant ne cessait de pleurer, traumatisée par cette guerre. La femme essayait avec force et conviction de cacher ses émotions devant ses hommes et ses femmes qui