Horreur

guerre que par ses horreurs. Enfin l’expression « les lois des droits public » indique l’inefficacité des lois discriminatoires qui tolèrent ces boucheries. En somme, le locuteur réprouve une absurdité plus scandaleuse que toutes les autres, l’implication de l’église, les droits publics, par une description brève et réaliste qui résume toutes les horreurs. A l’issue de cette analyse, il apparaît clairement que l’enjeu principal du texte réside dans la guerre montrée dans son horreur extrême, son

de l’œuvre : Triptyque, Peinture sur bois Date de création de l’œuvre : 1929 - 1932 Dimensions : panneau central 204 x 204 cm (panneaux latéraux : 204 X 102 cm chacun) Catégorie (Domaine, thématique) : Arts du visuel I Arts, guerre, horreur Vie de l'artiste : Moments importants de sa vie : Otto Dix est un artiste allemand né en 1891 à Géra (Allemagne) et mort en 1969 à Singen. C'est un peintre allemand de la Nouvelle Objectivité et de l'Expressionnisme. Après des études

C’était une guerre de position avec notamment les tranchées. Comme l’horreur de la guerre le marque, ses peintures vont alors portées sur le thème de la Guerre. Entre 1925 et 1927, Otto Dix habitait à Berlin. C’est à ce moment-là qu’il peint les horreurs de la guerre comme par exemple le tableau des joueurs de skat. Il devient alors un artiste du mouvement de la Nouvelle Objectivité (courant artistique 1918-1930 ; qui succède à l’expressionisme) dont il est le père fondateur. En 1927, il est nommé

J'ai choisi le thème de la guerre pour montrer les horreurs qui existent ou qui ont existées dans le monde au travers plusieurs poèmes engagés ou non à dénoncer ces atrocités humaines. J'ai pour cela choisi les poèmes A Nîmes de Guillaume Apollinaire, La lettre de Didier Venturini, Le dormeur du Val d'Arthur Rimbaud mais aussi Le Rhin Allemand d'Alfred de Musset, Mort ! de Paul Verlaine et enfin l'Affiche Rouge de Louis Aragon. Alors pourquoi avoir choisi ces diverses poèmes ? J'ai sélectionné

Dix fut traumatisé par la guerre de 1914 et l’effondrement de l’Allemagne, ce qu’il cherche à dépeindre dans ses toiles, en devenant ainsi témoin de son temps. Les visages mutilés et monstrueux évoquent donc les gueules cassées et par extension les horreurs de la Première Guerre Mondiale. L’art est un moyen d’extérioriser le traumatisme psychologique de tout un peuple. Il a fait partie d’un courant pictural appelé Expressionnisme, né en Allemagne au début du XXème siècle, qui consiste à laisser libre

ralentissement, puis dans une seconde partie le temps devient une menace) Le suspense vient du déroulement du temps. B/: L'objet de la vision : Mystérieux, cabinet noir, lien clos Sang caillé Réalisme des détails (accroît l'angoisse, horreur) C/: L'élément merveilleux : Clé : le merveilleux fait son apparition, personnage magique (sauf que mauvais fée : instrument de la perte de la jeune femme). Mélange des registres : – Réalisme : recette pour nettoyer – Pathétique : Destin

mais qui sont ennemis...)                            b) la description de la guerre : du sang, des horreurs : le motif du rouge répété (les habits rouges, des cadavres; le sang coulant dans les sillons...)                            c) l'ironie de Stendhal => une guerre pas du tout idéalisée, rendue réaliste. Conclusion : Ainsi, Stendhal réussit à mettre en avant un aspect négatif de la guerre, son horreur, par l’intermédiaire d’un héros qui ne comprends ce qui lui arrive, perdu au milieu de cette guerre

historique : Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, pendant la guerre d’Espagne, par l'aviation nazie, alliée de Franco (1600 morts). Description du tableau et interprétation Guernica est une oeuvre de dénonciation et de protestation contre la violence, la barbarie et la guerre. Les symboles : Cette œuvre est le symbole des horreurs de la guerre. Pourquoi le monocrome ? : L’absence de couleur

Neue Nationalgalerie de Berlin. Le mouvement artistique de cet œuvre est l’expressionisme. Contexte historique : L’œuvre est peinte en 1920 après la 1er guerre mondiale pour montrer toute les horreurs, les mutilations, les atrocités qui ont pu subir les soldats lors des combats. Description de l’œuvre : Le tableau représente 3 hommes qui jouent aux cartes sur une table dans un café. L’homme de gauche a beaucoup de cicatrices sur le visage, une

d'anonyme è devient lui même anonyme. Le corps disparaît ; symbole de la chute du personnage. -« Dieu de miséricorde ! » Grande surprise accompagnée de terreur. Évocation de dieu. -« Quelle horreur ! Quelle horreur ! Eh quoi ! » (l73) Répétition qui insiste sur la situation de panique. Adjectif épithète : horreur et dégout. - « Pas même un tombeau ? » (l74) Question rhétorique è désespoir.   c) Une mort sans gloire, en rupture avec le dénouement grandiose des tragédies. -Assassina/ suicide. -Mort pas