Huguenot

que ces gravures sont au service de la propagande protestante. I/ La violence, sujet central des gravures A/ La répression dans le sang. Les deux gravures expriment très clairement que la repression orchestrée par les catholiques sur les huguenots est extremement violente. En effet, le titre de ces deux gravures est explicite : d’un coté une exécution de l’autre un massacre. Le sang est visible dans les deux gravures ce qui montre la cruauté et la férocité des catholiques. Dans les deux gravures

protestantisme se forme comme un second pouvoir dans le royaume avec un enseignement particulier. · Protestantisme : Religion réformée qui se détache du catholicisme au XVIe siècle. Dichotomie entre la religion protestante et le parti protestant (huguenot) dans le royaume de France. · Bornes chronologiques : XVIIe siècle changement dans la reconnaissance du protestantisme. Au XVIe siècle diffusion du protestantisme en France : Thèses de Luther diffusée dès 1525 : dix ans plus tard, 1536 : Institution

l'exécution du Traité, les protestants obtiennent plusieurs places de sureté. Ceci paraît étrange aux catholiques car les Huguenots ne sont pas en position de force puisqu'ils ont perdu les deux batailles, mais ont quand même gagné « par les écrits ». Il y a alors 2 ans de paix relative dans le Royaume. Le 18 août 1572, c'est le mariage à Paris entre Henri de Navarre (un huguenot) et la sœur du roi (une papiste). Cette union autorisée par le pape entre un protestant et une catholique est exceptionnelle

Navarre le 18 aout, et la tentative d’assassinat contre l’amiral Coligny le 22 aout. * Interprétation de l’évènement à partir de plusieurs points de vue 1. Malet et Isaac. Causes : Catholiques contre Protestants = Papistes contre Huguenots + Rivalités politiques : Les princes et les seigneurs se disputent le pouvoir À la mort de François 1er, Catherine de Médicis devient régente et veut imposer la tolérance envers les protestants. -> Idée partagée par une minorité Responsables

rappeler ses mfaits aussi la fit-il, grce la lchet du docteur Trelawney, envoyer Prchampignon. Le narrateur aimait aller chez les huguenots installs au Val-desJoncs et dirigs par le vieil zchiel, devenant lami de son plus jeune enfant, sa, qui tait le chef dune bande denfants catholiques qui saccageaient les campagnes. Le vicomte vint demander lhospitalit des huguenots, prtendant vouloir se convertir leur religion. Devant le refus dzchiel, il le menaa de lInquisition, et partit dormir sous un rouvre

avril.La guerre s’étend à tout le royaume. Le 19 mars 1563 est signé l’édit de pacification d’Amboise négocié par Condé et le connétable de Montmorency. 2ème guerre (1567-1568) C’est ce que l’on a appelé la surprise de Meaux est quand les chefs huguenots sont décidés à reprendre les armes dès l’automne 1567 et leur inquiétude devant l’influence grandissante du cardinal de Lorraine sur le jeune roi Charles IX les amène à envisager un coup de force pour soustraire le roi à cette influence. Mais le

s'empare de la ville d'Orléans. La ville devient alors la base militaire des huguenots. Le pouvoir royal se rallie aux catholiques : Si dans un premier temps, les protestants peuvent soutenir la thèse selon laquelle le souverain et la régente seraient prisonniers de la faction catholique – la famille royale ayant été ramenée de force à Paris par le duc de Guise – la reine-mère qui n'a pas admis la prise d'armes par les huguenots se rallie finalement à la faction catholique, mettant la légitimité de leur

During the sixteenth-century in France, the monarchy was weak and could not control the Catholics or the Huguenots (French Calvinists), but nevertheless tried to settle the matter. The weakness of the monarchy after Henry II’s death led almost half of the nobility to convert to Calvinism in order to achieve some form of independence. Because of this, Catholic royalists and Huguenots started to fight, and iconoclasm (the destruction of sacred images) occurred. In an attempt to settle the conflict

celui qui revient de la guerre contre les Turcs et est donc le premier côté à être présenté dans l’histoire. Les gens craignent le Mauvais, mais le respectent, toujours par crainte : (p37). On lui attribue souvent le surnom d’Infortuné, mais les huguenots ont trouvé toute une panoplie de surnoms différents :>, >, >, >, >, >, > et > (p54-56, 97). Il est très cruel lorsqu’il est question de justice : (p.x) Bref, le fait que les gens le craignent, qu’il soit cruel et qu’on le surnomme avec des surnoms

et nomme le baron de Biron, chef de la délégation, sera ce militaire qui l’accompagnera dans les pourparlers. A Saint Etienne, tandis que troupes protestantes pillent les environs, MM. de Malassise et de Biron rencontrent l’amiral de Coligny, chef huguenot, dont l’état de santé inspire les plus vives inquiétudes. M. de Biron est partisan de tirer brutalement parti de l’affaiblissement physique et moral de cet adversaire. M. de Malassise envisage une joute plus subtile avec M. de Coligny et l’exhorte