Huguenot

ce qui est mis en pièces » (p. 60). Sa cruauté est gratuite, mais il semble être sensible à une certaine esthétique de la souffrance, d’où la construction de potences qui forcent l’admiration de tous et le machiavélisme de vouloir « tenter » les huguenots à renier leur foi en les invitant à la Cour. c) Le Bon : la moitié gauche Le Bon, lui, ne semble vouloir faire que le bien, mais très vite, les villageois découvrent l’ambiguïté de cette démarche. En effet, souvent, à force de vertu, il provoque

situation de l’homme décideur en tant que fonction achat ; et celui-ci se doit d’être puissant, de faire des choix et prendre les bonnes décisions. Il donne donc des ordres, mène, et est immédiat. Son Etat d’esprit concernant la négociation avec les Huguenots: Le roi Charles IX est soucieux des problèmes internes qui affaiblissent la France et craint que les anglais ou les espagnols l’envahissent. Pour éviter cette situation, il est prêt à accorder la liberté de conscience pour arrêter la guerre qui se

; aussi la fit-il, grâce à la lâcheté du docteur Trelawney, envoyer à Préchampignon. Le narrateur aimait aller chez les huguenots installés au «Val-desJoncs» et dirigés par le vieil Ézéchiel, devenant l’ami de son plus jeune enfant, Ésaü, qui était le «chef d’une bande d’enfants catholiques qui saccageaient les campagnes». Le vicomte vint demander l’hospitalité des huguenots, prétendant vouloir se convertir à leur religion. Devant le refus d’Ézéchiel, il le menaça de l’Inquisition, et partit dormir

Contexte historique du texte II Les raisons religieuses et politiques Conclusion Introduction: Michel de l'Hospital dit en 1560 lors de son Discours de Tolérance « Ôtons ces mots diaboliques, nom de partis, factions et séditions, luthériens, huguenots, papistes, ne changeons le nom de chrétiens »;il semblerait que 28 ans plus tard son message de paix n'ai pas été entendu puisque ce texte « l' esprit de la ligue dans le Nord de la France » montre qu'il y a toujours des tensions entre les français

Le Traité sur la tolérance est une œuvre littéraire écrit par Voltaire (1694-1778) ayant pour but la révision du procès de Jean Calas, un huguenot injustement accusé et mis à mort pour le meurtre de son fils, et de sensibiliser les gens sur l’importance de la tolérance entre les différentes religions. D’abords, Voltaire, au contraire des fanatiques catholiques de l’époque, partage la position des victimes car il fait part de la différences que les Calas avaient vis à vis leurs bourreaux. La citation

liberté de culte ainsi que des places fortes. Les huguenots se voyaient garantir la liberté de conscience dans tous les pays. Ils étaient autorisés à bâtir des temples, à tenir des offices religieux dans deux bourgs par bailliage ainsi que dans toutes les villes où leur religion était déjà présente mais à l'exception des cités épiscopales et archiépiscopales, des résidences royales et dans un rayon de cinq lieues autour de Paris. Les nobles huguenots pouvaient célébrer des offices chez eux. L’ŒUVRE :

Séquence 6 : Voltaire, L’Ingénu, chapitre VIII, p.54-55 « L’Ingénu va en cour. Il soupe en chemin avec des Huguenots » (Du début à « les décorations de ses opéras ») Texte : 8 L'Ingénu va en cour. Il soupe en chemin avec des huguenots L'Ingénu prit le chemin de Saumur par le coche, parce qu'il n'y avait point alors d'autre commodité. Quand il fut à Saumur, il s'étonna de trouver la ville presque déserte, et de voir plusieurs familles

LEP/ECOLE NORMALE MAIRIE PARC AUX CHENES BOIS HUGUENOT GRANDE RUE CENTRE VILLAGE LOUISE DE France PARC DE SENART COLLEGE PARC DE JARCY EVRY GARE LA VALLEE St EXUPERY AGUADO PREFECTURE MONTESQUIEU N.D DE SION LYCEE DES LOGES MIROIRS AGORA GARE CENTRALE LYCEE DES LOGES EVRY GARE CENTRALE AGORA MIROIRS PREFECTURE AGUADO St EXUPERY GARE LA VALLEE ETIOLLES BOIS DES COUDRAIES PARC DE JARCY PARC DE SENART LOUISE DE France MAIRIE PARC AUX CHENES BOIS HUGUENOT COLLARDEAU LEP/ECOLE NORMALE Ligne 7002 ZONE

lieu ni nom d'imprimeur. Auteur : On ne sait d'ailleurs pas qui est l'auteur de ce texte. Il s'est gardé de signer son texte puisqu'il y attaque ouvertement la reine. Toutefois, après quelques recherches, j'ai découvert qu'il serait attribué à un Huguenot, c'est à dire à un réformé, un protestant français, et plus précisément à Henri Estienne (1528-1598) qui était imprimeur. A plusieurs reprise comme nous allons le voir, le texte dénonce la volonté de Catherine de Médicis de massacrer les protestants

catholiques). - Au milieu du siècle -> cette opposition -> combats entre les deux partis -> massacre de la Saint-Barthélemy (perpétré par les catholiques sur le réformés) - A. d’A. est né d’une famille protestante. Il va défendre la cause des huguenots (Qualificatif employé par les catholiques à l'égard des partisans de Calvin) en allant sur les champs de bataille (avec Henri de Navarre), mais surtout, la plume à la main. - Son œuvre la plus connue -> Les Tragiques commencée dès 1577 mais publiée