Hugues Aufray

L'insitution royale dans la France féodale est un sujet primordial et fond amental. Il faut savoir qu'en 987, les grands féodaux se réunissent pour élire le roi Hugues Capet, ceci va se décider à l’initiative de l’archevêque de Reims. Ces grands féodaux et l'archevêque écoutent les arguments d’Adalbéron qui vont donc élire Hugues Capet, comme roi des Francs. Ce rex francorum (personne qui, en vertu de l'élection ou de l'hérédité, exerce, d'ordinaire à vie, le pouvoir souverain) est donc un

l’appui de personnes influentes. C’est ainsi que le roi de Jérusalem Baudouin convaincu par la présence d’une telle milice, donna une partie de son palais de Jérusalem à l’emplacement même du temple de Salomon. Afin d’étendre leur influence, Hugues de Payns avec 5 autres chevaliers retournèrent en Occident afin de porter leur message auprès du pape Honorius II et à Bernard de Clairvaux (moine cistercien très influent). Le but de leur retour en Occident était précis : faire reconnaître la milice

en 1236. Sur l’image, le comte est agenouillé devant le roi Louis IX, qui est reconnaissable à son auréole de Saint. Dans cette scène, le roi apparaît comme supérieur au grand seigneur du royaume. Progressivement, les rois Capétiens (dynastie de Hugues Capet, élu roi de France par les grands seigneurs du royaume de en 987), à la tête de la société féodal, vont augmenter leurs pouvoir. II/La naissance de l’état en France : Etude de cas sur Jeanne d’Arc : Sur le cahier je réponds aux questions

succession commence à agacer un homme, l’archevêque Adalbéron de Reims. Il choisit de privilégier, pour la succession de Louis V, le candidat qu’il juge le plus solide. Il va donc faire campagne en faveur d’un autre candidat que Charles de Lorraine : Hugues Capet (petit-fils de Robert le Fort). Pour écarter Charles, l’archevêque de Reims avance deux arguments : la royauté n’est plus héréditaire mais élective et Louis V n’a pas d’héritier en ligne directe. Donner la royauté à son oncle obligerait donc

diplomatique des papes est l'abbé de Chaix de Lavarène. Contexte : On est dans un climat où le pouvoir royal s'affaiblit, ce qui a des conséquences sur l’Église. En effet, vers 990, dans le royaume de France, l'autorité royale s'effondre. Au même moment, Hugues Capet prend le pouvoir et la monarchie n'a plus vraiment autorité sur les ducs et comtes des différentes provinces. En effet, on remarque de nombreux actes de violence commis par les seigneurs. Il veulent imposer à la paysannerie et au Clergé leur

c’est enfin une famille ducale, et quelle famille ! les Capétiens/Robertiens. Nous venons juste de noter les bons rapports qu’entretiennent alors les Angevins et les Clunisiens (avec Abbon de Fleury) et le chef de cette famille, le roi de France Hugues Capet 66 Autant de bonne

de Verdun. L'empire est alors désagrégé, chaque roi est indépendant. A la fin du IX deux dynasties, les capétiens et les robertiens occupent le trône par alternance. En 987, à la mort du dernier roi carolingien, Louis V, qui meurt sans postérité, Hugues Capet, soutenu par l'évêque de Reims est élu « rex francorum », roi des francs. Il n'apparait alors pas plus puissant que les grands seigneurs féodaux. A partir de là, nous sommes en mesure de nous demander, à la période féodale, qu'est-ce qui distingue

nombreuses taxes et sont soumis à des corvées. L'EGLISE L'église catholique est dirigée par le pape à Rome. La religion tient une grande place dans la vie des gens. DES INVASIONS A LA CHRETIENTE Le pouvoir royal s'impose ( Clovis, Charlemagne, Hugues Capet, St Louis... ) ainsi que la chrétienté dont le pape est le chef. L'église s'occupe de presque tout. LA VIE A LA CAMPAGNE Les paysans ont une vie très dure et vivent isolés. ( ils payent des impôts à leur roi, entretiennent les bâtiments

les grands et de ce fait le roi ne peut rien imposer ou presque. 1er juin 987 une assemblée de grand donne la couronne à Hugues Capet. Tout laisse penser que la dynastie aura un avenir médiocre. Et pourtant, en deux siècles, les Capétiens vont complètement retourner cette situation défavorable. Le premier siècle c’est celui de l’installation définitive. Les 4 premiers rois, Hugues Capet, Robert le Pieux, Henri 1er et Philippe 1er, ils ont réussis à se maintenir sur le trône et a transmettre la couronne

de la justice privée, donc des duels, a plus tard pris la forme d’un véritable serment, donc obligatoire, conditionnant le bon déroulement du sacre. Le Roi doit par ailleurs mener la guerre pour les intérêts du royaume. Tous les souverains depuis Hugues Capet ont dirigé des expéditions militaires et ont été présents sur les champs de bataille. La mort d’un Roi dans ce contexte est une image de gloire, puisque cela signifie qu’il a accompli la « mission » accordée par Dieu au moment du sacre.