Humanisme Pessimisme

françaises et celles des femmes orientales lettre XXXVIII), et dans la lettre LXXXVIII, le parallèle entre les Grands en Perse et les Grands dans la royauté française. Voir la lettre sur le théâtre (XXVIII), sur l’Académie française (LXXIII). * Le pessimisme de Montesquieu qui ne croit pas que l’homme soit assez vertueux pour que la démocratie puisse perdurer est illustré par l’histoire des Troglodytes. Montesquieu ne croit pas davantage à la félicité amoureuse. Le fait qu’Usbek, un Petits Classiques

naît en Italie un siècle plus tôt et la France va énormément s’en inspirer. François 1er est la figure de proue de la Renaissance, la victoire de Marignan en 1515 amène le roi et les seigneurs à entrer en contact avec la renaissance italienne. Humanisme est un mot européen naît dans les Eglises et les abbayes, sous l’influence de l’Italie. L’humanisme c’est une philosophie optimiste de l’homme, il est au centre. Par opposition au protestantisme qui a une vision pessimiste de l’homme. L’invention

| Dans les Essais, Montaigne se dépeint lui-même, comme un sujet observé, sans artifice, pour révéler son "moi" dans son entière nudité, pour se comprendre et comprendre le monde. Il laisse libre cours à ses pensées souvent imprégnées de pessimisme, telles qu'elles se présentent à lui. Son étonnement philosophique commence avec sa devise "Que sais-je ?". Son influence sur la littérature française est très importante. L'oeuvre de Montaigne est celle d'un sceptique qui veille à bannir les doctrines

divine et de ses exigences morales et métaphysiques. Nietzsche constate cependant que l'homme, qui a tué Dieu, n'en a pas tiré toutes les conséquences, c'est-à-dire qu’il ne faut pas nécessairement se contenté de transformer le christianisme en humanisme ou de se tourner vers un athéisme religieux. La foi en dieu : Pour Nietzsche, il est claire que dieu est une construction de l’imaginaire des hommes. Et selon lui cette foi en dieu proviendrait de 2 sources : ✓ D’une part, d’un sentiment

humanistes pensent que l’homme peut atteindre la sagesse grâce à ses qualités intellectuelles. Ils ont une conception optimiste de l’humanité en décalage avec le pessimisme chrétien. Cependant il reste des chrétiens sincères, ils se justifient par rapport à l’Eglise en disant que même l’étude des savoirs antiques permet d’accéder à dieu. HUMANISME : mouvement intellectuelle dans l’Europe du 151° siècle qui tire ses méthodes et sa philosophie de l’étude des textes antiques. Les humanistes mettent l’Homme

siècle, pendant la Renaissance justement. Cette période, qu’on situe habituellement entre le Moyen-Age et l’époque classique, voit une profonde transformation et un renouvellement social, culturel et artistique de l’Europe occidentale. Le mot « humanisme » est un anachronisme pour la période qui nous concerne (1515-1610). Le terme n’apparaît en effet qu’au XVIIIème siècle. A la Renaissance, il existe bien « l’humaniste » (umanista en italien) qui désigne à la fois celui qui enseigne les langues anciennes

vue d’une nouvelle édition. Le style de Montaigne est allègre, il virevolte d'une pensée à l'autre Ceci s’explique principalement par le fait qu'il dictait ses pensées, ce qui peut expliquer ce ton si particulier. Ses écrits sont marqués d'un pessimisme et d'un scepticisme qui ne sont pas rares du temps de la Renaissance Le texte Montaigne est contemporain de la découverte de l’Amérique, le nouveau monde. Les humanistes de l’époque avaient cru retrouver dans le Nouveau Monde le Jardin d'Éden

pire (03/03/08) • Jacques Le Rider, Malwida von Meysenbug. Une européenne du XIX° siècle, Bartillat • Schopenhauer, Essai sur les femmes, Actes sud • Adèle Schopenhauer, Journal d'une solitaire, PUF • Schopenhauer et la force du pessimisme, Le rocher • Elisabeth Badinter, L'amour en plus, Champ Flammarion 15 - L'optimisme d'un pessimiste (10/03/08) • Schopenhauer, Le néant de l'existence, Le passeur • Schopenhauer, L'art d'avoir toujours raison, Circé • Schopenhauer

sorti du cadre protecteur de l'enfance et de la famille, il doit sans arrêt affronter un monde hostile et sans pitié. C'est donc à une leçon de réalisme et de pragmatisme que Voltaire conduit son lecteur. Mais il ne s'agit pas de sombrer dans le pessimisme outrancier, voire une misanthropie conduisant au repli sur soi. La morale du jardin invite plutôt au travail patient et courageux dans l'ombre au besoin pour rendre la vie supportable. La vie selon des critères humanistes est donc possible et souhaitable

indifférente à l’actualité : la tragédie classique est avant tout préoccupée des aspects permanents de l’être humain (ses mœurs et ses sentiments). Les thèmes seront choisis dans ce qui appartient au général (l’Antiquité par exemple). • Le pessimisme : l’idéal humain a donc perdu son aspect héroïque mais il est encore rabaissé par la rigueur de la théologie qui s’inspire de Saint Au- gustin (évêque du Vème prônant la sévérité). Celui-ci enseigne que l’homme, privé des lumières et des secours