Hume Sociabilité Humaine

théories du droit naturel qui vont conduire la justice à désigner avant tout des vertus privées ou des normes de vie en commun. Ce droit se fonde toujours sur une nature, la « nature humaine », et en ce sens il serait susceptible de promouvoir une justice fondée sur un ordre, même si ce dernier n’est qu’un ordre humain. Mais il peut également rompre tout lien avec la notion de justice naturelle. Tel est le cas chez Hobbes : à l’état de nature, il est impossible de parler de justice ou d’injustice ;

plus en plus en réaction à cette Cour et non plus par elle. Les philosophes vont se livrer à une révision critique des notions fondamentales concernant le destin de l’homme et l’organisation de la société. Caractérisé par une confiance en la raison humaine, les philosophes y rejettent toute autre forme de suprématie. Néanmoins, le régime monarchique n’est pas totalement remis en question, les Lumières l’acceptent comme garant de l’ordre à condition qu’il y en découle des libertés. Souvent, pour la plupart

choses, contestées aussi bien par les tenants de la « loi-commandement », philosophes et juristes, que par les empiristes comme Hume. Montesquieu situe sa recherche sur : * la minimalité du recours au droit naturel à concilier avec la supposition inéluctable de rapports d'équité fondamentaux ; * l'écart décisif pour mettre de côté les questions classiques de sociabilité naturelle et du contractualisme. Mais en même temps que la question des rapports émergent deux problèmes : * celui

cherchant des fondements laïques, profanes. Mais comment garder cette référence au droit naturel en écartant tout rapport avec dieu ? Il faut, selon eux, se tourner du côté de la nature humaine et de la sociabilité de l’homme. Ils trouvent donc un fondement au droit naturel dans le concept de personne. Un être humain est une valeur en soi objective. Tout homme a une dignité qui appelle le respect. Cette idée est à l’origine de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Ainsi, cette distinction

Socrate: Agora: Art du questionnement. Socrate: Taon: recidiviste remue les esprits empèches les athéniens de s'engourdir. Morsure du serpent : douloureux mais montre la vérité. Poisson torpille. Socrate: Présence de raison chez tout être humain. Réminiscence: dualité âme corps. Corps: Siège des appétits sensibles soumis à la mort, temporalité donc a la variabilité. Âme: immortelle monde des idées Âme: bien, beau, vrais en soi= monde intelligible= dialectique. Le doute: « La seule

forment la société. Plan I. L'amitié, une inclination réciproque entre plusieurs personnes II. L’amitié, paradoxe entre utilité et désintéressement, entre similarité et différence III. L'amitié véritable comme le plus pur des sentiments humains (mais le plus inatteignable) I. L'amitié, une inclination réciproque Chacun d’entre nous fait l’expérience, depuis la tendre enfance, de ce qu’est l’amitié. On sympathise avec quelqu’un "volontairement", ou par hasard (en effet les premiers

(induction) ou une habileté pour l'action. 3- Test pour éprouver (mettre à l’épreuve), la validité d'une théorie scientifique. Nous : Ensemble des être humains. « Nous apprend quelque chose ? » ce qui nous apporte un savoir. Savoir être ou savoir vivre : Maîtriser des règles de la vie en société (politesse/ sociabilité). Savoir technique (savoirs pratique) : qui vise l'action. Savoirs numériques : La théorie s'efforce de produire un discours vrai

politique AFondation et fondements de la société BL'individu et la société CLe pouvoir politique et l'État DLa justice dans l'État de droit V ) La morale A ) Le devoir moral de l'homme B ) La liberté inaliénable de l'homme C ) Le bonheur, une aspiration humaine D ) Les liens entre morale, bonheur et liberté ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine La vision d'un sujet souverain et maître de soi est défendue par plusieurs courants : Les rationalistes, tels que Descartes, pour qui l'homme est

autrui (Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF _Toc185584907 h 12 A. Ltre-avec nous place dans la dimension de la moralit (Heidegger) PAGEREF _Toc185584908 h 12 B. Les sentiments moraux sont inspirs par autrui (Hume, Rousseau) PAGEREF _Toc185584909 h 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) PAGEREF _Toc185584910 h 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) PAGEREF _Toc185584911 h 15 Conclusion

commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé des idées essentielles 17 Illustrations