Hume Sociabilité Humaine

L’homme dans sa nature est-il fait pour vivre en solitaire ou en groupe ? David Hume en recourant à une démonstration avec des arguments à l'appui, opte pour la deuxième solution (vivre en groupe). Quelle est l'utilité de la vie en société ? Selon Hume, l'homme est un être dépourvu de qualités naturelles. Il a donc tout à la fois plus de besoins que les autres animaux (il lui faut des vêtements pour se protéger du froid, par exemple), et moins de moyens pour les satisfaire, parce qu'il est faible

nature? Cela correspond à l'hypothèse d'un état pré-politique. Cet état de nature caractérise la condition des êtres humains, en dehors de l'existence d'un pouvoir politique c'est à dire d'un pouvoir investit de droit et seul susceptible de gouverner. Cet état ne correspond pas à un moment historique de l'humanité mais consiste en une situation théorique des comportements humains lorsque l’État n'existe pas encore. L’État de nature révèle les rapports naturels qu'entretiennent les individus hors

. On y voit le social à l’œuvre comment fonctionne la réalité sociale comment se joue toute les dimensions essentielles à l’existence sociale on peut l’observer on ne renvoie pas l’existence sociale à une origine mythique. Insociable sociabilité comme par une ruse de la nature hommes obligé de coexisté fait progresser humanité non pas pour vivre ensemble mais pour égoïsme personnel. On peut observer ce qui fait qu’une société est une société et non pas une association, un agrégat, une coalition

y participer. La foi ici n’exclut pas la raison, tout au contraire la foi est ce qui nourri la compréhension. Les mystères de la foi et de la révélation chrétienne demandent à être crus, investis et expliqués. Cette consubstantialité de la raison humaine et du divin est particulièrement sensible dans l’œuvre de Saint Augustin intitulée La cité de Dieu. Distinguant ici une cité terrestre et une cité céleste, Saint Augustin préserve l’ambigüité quant à la véritable localisation de la cité céleste. Au

ENSAIO SOBRE O ENTERDIMENTO HUMANO Assim que o Tratado de natureza humana apareceu, em 1739 (pelos livros I e II) e em 1740 (pelo livro III), Hume foi curioso em conhecer a reação do publico. Ele queria, segundo seus proprios termos, « colocar um pouco mais ao seu modo » (Tratado, I, IV, VII) O estudo da natureza humana queria lançar o debate sobre as teses que ele desenvolveu: « Para a aprovação do publico, Ele considerou como a maior recompensa dos meus dificeis trabalhos, mais eu sou determinado

lois seraient universellement valables, en faisant reposer ce droit non plus sur les lois de la nature en général, mais sur la nature humaine, et plus précisément sur ce qu'il y a d'universel dans cette nature humaine, à savoir la Raison. Cette sociabilité, écrit Grotius, ou ce soin de maintenir la société d'une manière conforme aux lumières de l'Entendement humain, est la source du droit proprement ainsi nommé, et qui se réduit en général à ceci : « Qu'il faut respecter scrupuleusement le bien d'autrui

(1764) et entreprend de se justifier dans les Confessions (1764-1770), récit détaillé et sincère de sa vie. Lapidé par les habitants de Môtiers alors qu'il s'adonnait à la botanique, il part pour l'Angleterre à l'invitation de David Hume. Mais il accuse aussitôt Hume de faire partie du " complot " qu'il voit se tramer autour de lui. Il revient en France où il continue son errance et épouse Thérèse à Bourgoin en 1768. Ses dernières années se passeront à Paris, où il connaîtra un relatif apaisement

Aïe, donc ! Puisque le dessein de la Nature concerne toute l’espèce humaine, il doit se réaliser universellement. Il faut donc un ordre politique universel. Or, dans les relations internationales, les états agissent comme les individus au plan national, sur le registre de l’insociable sociabilité. Mais les ressorts qui ont conduit malgré tout les individus à vivre en société (l’intérêt bien compris) s’appliquent aussi aux états. D’où la certitude qu’a Kant de l’établissement d’un État cosmopolitique

donne une notion (Locke) B) Les mécanismes effecteur de ses agissions -Les passions qui motivent et font agir les individus (David Hume, Adam Smith) -être social de bienveillance et les échanges marchand a caractère égoïste. (A.Smith) -l'homme une être autonome et solitaire avec pour seul caractère social : la pitié (Rousseau) II- Les effet du caractère humain dans un état dit de nature A) Des relations conflictuelles -Pas de limite officielle -Le souci du regard des autres déclencheur

que les hommes sont mus par la jalousie, la concurrence et la rivalité. C'est cela qui pousse Christopher MacCandless à fuir sa famille et ses amis. (Problématique) Alors, avons-nous le devoir de vivre avec d'autres êtres humains afin de s'aider et de survivre étant naturellement faibles ou bien n'avons-nous pas plutôt le devoir de fuir la vie en société au risque d'entrer dans une rivalité de chacun contre chacun ? (Plan)