Hybris

avec l'humanisme. L'Antiquité a nourrit la pensée occidentale jusqu'à nos jours de différents points de vues. 1. Trois approches de la cohésion civique dans les cités-Etats de la Grèce antique a. "Eunomie", "hybris", "anomie" et guerre civile à l'époque archaïque Les mots "hybris" et "anomie" sont encore en usage. Anomie est remis en usage par Durkheim, l'un des fondateurs de la sociologie. Anomie vient de nomos qui signifie lois (a-nomie= abscence de loi, eu-nomie= fait preuve de bonne loi)

proprement parler que sa voix qui est effrayante. C’est au contraire Ulysse qui se montre orgueilleux et agressif en exigeant accueil et dons, à l’opposé de l’attitude de l’étranger suppliant l’hôte qu’il aura au chant VII, face aux Phéaciens. Cette hybris s’accompagne ensuite de la crevaison de l’œil unique de Polyphème, qui renouvelle la transgression initiale d’Ulysse sur les rives de Troie, qui n’a pas rendu hommage aux dieux, et la colère de Poséidon. Ainsi, Ulysse s’éloigne de plus en plus des

gens). Les aristocrates ne st plus considérés de la meme facon. Les gens st décrit comme habillés avec des peaux de chèvres… ce sont donc les plus pauvres (cf ; berger le plus pauvre sans terre et nomade) * Pb n°2 la complaisance dans la démesure, HYBRIS: vers 44. C’est le crime suprême,l’interdit total (bien : esthétisme / mal : ans bravour, inesthétique). La démesure est ,ds le modèle religieux, a volonté des hommes de s’ élever au rang des Dieux. Comme les géants , qui élèvent une montagne pour

commune. 3e etape: liste des concepts liste de tt les notions qui peuvent aller le but de la dissert cest d'associer a ses idée des conceps autrui desir antropogene conscience imagination reflexivité valeur eternité cristallisation la demesure / hybris la passion le besoin la verité la liberté l'existence la realité la privation, le manque le bonheur l'inconscience le libre arbitre le temps 4e etape → Plan dialectique surtout pas these anti these synthese 1- on commence par le sens commun,

office de médiateur entre l’homme et son milieu. Songe = médiation entre homme et ses conditions d’existence. - Pr Valery : songe = preve de supériorité de l’homme, celui qui oppsoe ce qui est à ce qui n’ait pas. Volonté de dépassement de soi, hybris, l’homme non seulement est séparé mais s’élève par rapport aux autres car capable de comprendre et transformer son milieu. - Le propre de l’homme serait le songe, l’homme n’est pas animal raisonnable est un animal songeur, réveur, et la puissance

suscite terreur et pitié ; il provoque ce qu’il nomme une catharsis chez le spectateur et le purge donc de ses passions. Dans la tragédie de Sophocle Œdipe-Roi, Œdipe, roi de Thèbes, descendant d’une famille maudite par les Dieux, est puni pour son hybris, sa démesure qui le pousse à oser se comporter comme leur égal. Les spectateurs sont ainsi rappelés à l’humilité et au respect des rites religieux. Cette analyse s’applique à la comédie qui, elle aussi, sert de « modèle aux gens ». Son but n’est pas

plus dangereuse que ce qu’elle laisse paraître. Laurence, ce « vampire » désire le dominer ; elle l’intoxique et l’annihile, de sorte que la première des réactions de Vincent est « une attaque de claustrophobie ». Comme si il avait été puni de son hybris, d’avoir eu « plus envi de la réduire plutôt que de la quitter ». Il n’apparait finalement que comme un gigolo incapable et cupide. Son rapport à la femme est également désabusé notamment face à la séduction ou face à la passion car il balance

travail tueur : déconcertante et effrayante. Prépare exécution avec sang froid, perfectionne opération : cadrage rapproché victime moment précis saisie par mort. Présent + projection photo sur scène = impression simultanéité entre geste et photo. Tabou, hybris/démesure : voir au delà du visible → monstre,sorti humanité : donner pouvoir vie/mort sur semblables + vouloir fixer instant trépas. + situation addiction à image télévisée, à musique → effet drogue anesthésiant sensibilité Conclusion : perso essentiel

pourchasser le bonheur qu’à en jouir réellement. Épicure distingue trois types de désirs : naturels et nécessaires (manger, boire, dormir), naturels et non nécessaires (faire l’amour, manger des mets raffinés), non naturels et non nécessaires (goût du luxe, hybris). Seuls les premiers sont considérés comme des besoins, et doivent toujours être satisfaits, alors que les derniers doivent être systématiquement écartés. Ainsi, Épicure tente de réduire le champ des désirs pour ne plus se concentrer que sur les besoins

de Sénèque qui sert pourtant de source à Corneille: les personnages ne vont pas jusqu’au bout de leur passion effrénée, ne dépassent pas la condition raisonnable de l’être humain (dépassement qu’on nomme traditionnellement dans le théâtre antique « hybris » [prononcer « ubriss »). « Je suis maître de moi-même » (comparer avec Ladislas dans Venceslas qui est incapable de se maîtriser ») « vaincre ta colère » v.1713. 4. Paradoxe et théâtre baroque? Ces différents éléments tragicomiques tendent à