Hybris

« entêtement qui tue » : « il ne faut pas déshonorer la loi qu'imposent les dieux ». Note : les citations sont extraites de la traduction de Jean et Mayotte Bollack (éditions de Minuit, 1999) Caractères des personnages[modifier] C’est la volonté hybris de Créon qui bouleverse l’ordre naturel des choses qui est à l’origine de la tragédie : il fait mourir les vivantes et garde les morts chez les vivants, il empiète sur le rôle des dieux. Mais Antigone aussi bouleverse l’ordre : elle ne vit que pour

« rien de grand ne s’est fait dans le monde sans passions » moteur de propret politique / origine du progrès sont les passions -> à l’origine des révolutions amour de la justice les passions témoigne d’une certaine beauté, une utilité politique Hybris = débordement c’est seulement une dimension du romantisme l’exaltation du moi enfermerait l’âme romantisme dans une certaines solitude le romantisme a une forte veine politique / à l’opposé d’un isolement que l’on cultiverai le romantique ressent

beauté de la chose s’imprime sur le sujet et donc lui crée le sentiment de beauté. Platon dit que « Toutes les choses belles ont des points communs ». Beau (définition mathématique) : harmonieux, ordonnée, mesuré, proportionner, équilibrer ≠ hybris : démesuré, illimité. La nature obéit à cet ordre et la beauté est mathématisé, exemple : le nombre d’or, qui est un rapport parfait à la quantité. Les objections : la conception non objective mais subjective (correspond au gout d’une époque) et

où aller, puis elle veut tuer par le poison. - 1er stasimon: chant du choeur avec une opposion de strophe et antistrophe, deux parties du choeur. -Dans le deuxième épisode, comment empoisonner? Cadeau de mariage, laisser la jalousie s'exrpimer Hybris est sans cesse présent. -2e stasimon : Chant sur l'amour foudroyant, la puissance de l'amour qui fait voyager du délice à l'enfer. -Dans le troisième épisode, Egée vient offrir l'hospitalité à Médée, terre de replis avec une contradiction d'une

d’un téméraire impudent, mort il y a peu. Mais ces détails renvoient aussi à d’autres épisodes de la vie d’Œdipe. Ainsi la force qui se dégage de ce corps musculeux et l’intensité du regard renvoient à l’orgueil qui le perdra, cette hybris dont les Grecs savent qu’elle est réprouvée et condamnée par les dieux, comme le dira Tirésias à Œdipe plus tard. Le sein exagérément galbé de la sphinge désigne ce pour quoi il sera puni par les dieux : il couchera avec sa mère dont il fera sa femme

Plus tard, c'est Créon, qu'Oedipe accuse de faire courir la rumeur que c'est lui le meurtrier de Laïos, qui fait appel à la justice en disant à Oedipe qu'il est injuste avec lui. Oedipe est le personnage orgueilleux par excellence, qui vient sur grec hybris, qui signifie l'orgueil. Il a l'orgueil de croire que tout est permis et qu'il peut tout faire, surtout après avoir résolu l'énigme du Sphinx : « Quel est l'animal qui a 4 pieds le matin, 2 à midi et 3 le soir ? » On peut dire de ce mythe qu'il met

supérieur aux dieux. Comme une partie des dieux avaient soutenu les Grecs pendant la guerre et même rendu possible le stratagème (Athéna avait envoyé un rêve à Ulysse et Poséidon avait envoyé les serpents), ils ont mal pris cet orgueil démesuré (hybris) d’Ulysse et ils ont décidé de le punir. Plus particulièrement Poséidon était en colère contre Ulysse et lui a rendu la vie très dure lors de son voyage de retour en mer (fig. 11). 4.2 Départ de Troie et arrivée à la cité des Cicones Ulysse part

sentiments qui ont amené Antigone à se sacrifier pour ses frères, sa volonté de faire reconnaître l’injustice de la mort de l’un et l’exclusion de l’autre. Dans la séquence suivante, reflet intérieur de la séquence du jugement, il n’y a que la folie, hybris du personnage au sens des Grecs, qui puisse accueillir le dilemme dans lequel Antigone se trouve enfermée. Sa réaction la place de nouveau en détention sans que l’on puisse connaître précisément le jugement, ellipse qui ne sera explicitée qu’au

"la position des positions et le mystère des mystères." (p. 141) S’agit-il là d’une démonique hyperbole, d’une merveilleuse phraséologie, c’est-à-dire d’une manière de parler qui dépasse les bornes de la pensée philosophiques, d’une sorte d’ "hybris" d’une rationalité débridée ? Est-ce bien sérieux ? Est-ce là le "sérieux" métaphysique qui serait de "prendre au sérieux tout ce que représente l’adverbe de lieu infini Par-delà (epekeïna)" ? (p. 2) Du Par-delà métaphysique à l’Au-delà théologique

dans son intégralité. Notre premier devoir est d'aimer notre mère la Terre. Les Indiens savent combien il est important de vivre en harmonie avec la création. Des hommes, pas des dieux. Pour qualifier l'arrogance humaine, les Grecs avaient le mot hybris. Voix d'Icare. Rappelez-vous le mythe d'Icare. Ne volez pas trop près du soleil. Vos ailes sont en cire. De la lumière rayonne à travers les motifs d'un mandala composé de cercles concentriques alternant avec des carrés de tailles décroissantes. Les