Hyperboles Dans Le Bourgeois Gentilhomme

tragiques sont : Ecrites en vers réguliers et le plus souvent en alexandrins (vers de 12 syllabes). Conformes à la prosodie classique (respect de l'ordre des rimes, de la place de la césure, etc.). Ecrites avec de nombreux effets de styles (gradations, hyperboles, comparaisons, etc.). Je le vis, je rougis, je palis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps, et transir et brûler. Jean Racine Phèdre 1677 Dans cet extrait

temps / Beau langage = moyen de se distinguerQu'importe, Acis ? Est-ce un si grand mal d'être entendu quand on parle, et de parler comme tout le monde ? questions rhétoriques = lien naturel entre « parler » et « être entendu » / antithèse entre hyperbole « un si grand mal » et être compris quand on parle / présent de vérité générale et non plus d'énonciation Inversion des valeurs, le langage devenant un moyen de se faire valoir et non plus de  communiquer  question rhétorique finale qui exprime

Entre Baroque et classique. Il est contre l’exagération et le mensonge et utilise le théâtre pour se moquer de ceux qui ne respectent pas la nature. Il veut enseigner la sagesse par le théâtre et démontre les inégalités sociales. Ex : le bourgeois gentilhomme, les précieuses ridicules, le malade imaginaire… CORNEILLE : dit le « grand Corneille » ou « Corneille l’aîné » 6 juin 1606-1° octobre 1684 à Paris. Son œuvre se situe entre baroque et classique. Etudie le droit puis se tourne vers

d'indépendance à une condition sociale qui se rapprocha de la servitude, entre les mauvais traitements des maîtres et les moqueries des serviteurs. Sa situation s’améliora cependant au fil du temps. A la mort du Grand Condé, La Bruyère devient gentilhomme et un membre important de la suite du duc et de la duchesse, évoluant entre Fontainebleau, Chantilly, Paris et Versailles. Pendant toute cette époque, il regarda, nota, réfléchit sur la vie de ses maîtres et de leurs fréquentations, observateur

raffinés), la préciosité des sentiments(délicatesse des sentiments), la préciosité du goût(formulation singulière et moderne). -La base de langue précieux sont les expressions nouvelles avec un emploi de figure de style très fréquents ( exagérations/hyperboles,périphrase/métaphore,antithèse). -Les genres précieux a pour points communs l'analyse psychologique et idéalisme. -Se genre est utilisé dans le roman, la lettre et la poésie galante. L'age classique (1660-1685) 1 Le contexte historique

situation (rencontres inattendues, quiproquos, déguisements ) : scène 8, acte IV Matamore sort de sa cachette pour surprendre Isabelle et Lyse * comique de caractère : valet couard et vantard autres caractéristiques : - personnages ordinaires, bourgeois ou peuple, auxquels le spectateur s'identifie facilement (Pridamant, Dorante, Clindor, Géronte et Isabelle) - faire participer le spectateur par un courant de sympathie : il sourie des scènes de badinage entre Lyse et Clindor (acte III, sc

séduction auquel il est difficile de résister. Tout l’art du discours est utilisé par Dom Juan dans sa tentative de séduction comme par exemple le champ lexical de la beauté «  belle, pénétrante, joie, mignon, beaux, charmante …» ; ou encore les hyperboles « les plus belles du monde ». Le théâtre a donc beaucoup d’avantage au niveau de la parole car il permet un large choix d’expression et d’intonation sur la capacité d’insister sur des mots tel que «  Ah ! ». Le metteur en scène peut choisir la

syntaxiquement inutiles. On loue la vertu; mais on la hait; mais on la fuit; mais elle gèle de froid. (Diderot, Le Neveu de Rameau) PARATAXE (n.f) : omission délibérée de la subordination logique. Vous n'êtes point gentilhomme, vous n'aurez pas ma fille. (Molière, Le Bourgeois Gentilhomme,) HYPOTAXE (n.f): explicitation de la subordination logique (c'est le contraire de la parataxe). La grandeur de l’homme est si visible qu’elle se tire même de sa misère. Car ce qui est nature aux animaux, nous

savants aux « allures effrayantes, voire pédantes » sont beaucoup plus intégrées au langage courant que souvent l’on ne pense. En fait, tout un chacun utilise les figures de style au quotidien. Un peu comme Monsieur Jourdain qui, dans Le bourgeois gentilhomme de Molière, fait de la prose sans le savoir. Le grammairien et philosophe Du Marsais lui-même l’exprimait ainsi : « je suis persuadé qu’il se fait plus de figures en un seul jour de marché à la halle, qu’il ne s’en fait en plusieurs jours d’assemblées

Cherche t-il à persuader ou à convaincre ? EXEMPLE DE PLAN : I - Evocation imagée et progressive des deux infinis : L’infiniment grand  D’abord ce que l’homme voit  Ensuite ce que l’homme imagine  Amplification progressive  Hyperbole  Le fait de prendre l’homme comme point de référence (que l’Homme contemple, …) souligne la petitesse de celui-ci par rapport au Cosmos. L’infiniment petit  Présenté comme un autre prodige  On part du ciron (petit acarien parasite du fromage)