Hyperboles Dans Le Bourgeois Gentilhomme

le rappeler pour mieux tracer une frontière entre la sphère tragique des sacrifices et le monde « tranquille » de la salle. Différent des personnages qu'il est venu voir, le spectateur l'est aussi quand il s'agit d'une comédie. Soulignés par les hyperboles comiques, les personnages types de la comédie sont simplifiés et le spectateur se sent autrement plus complexe : il ne se reconnaît ni dans le barbon avare et naïf (les Argan, Géronte, Harpagon...), ni dans les valets souvent fourbes (Sganarelle

et systématisée. C’est une forme de comique que l’on peut dire « savant » dans la mesure où il sollicite une « compétence du lecteur ». Il procède par surcharge verbale, inventivité lexicale (archaïsme, néologisme, barbarisme), expressionnisme (hyperbole, antithèse, oxymore, répétition)… Le Virgile travesti. Il reprend la scène de la descente aux enfers d’Enée lorsqu’il rencontre Didon qu’il avait abandonné après l’avoir séduite et qui s’est suicidée.) Boileau (auteur de parodie) La parodie

l'héroïsme, l'amour et la mort. Il insiste aussi sur les différences entre les êtres, les sentiments et les situations. C'est un style plein de diversité et de contradictions. Il manifeste, en littérature, le goût des antithèses, des décalages, des hyperboles, et surtout des métaphores qui relient des univers différents. Préciosité et burlesque, deux autres mouvements esthétiques du XVIIème siècle, dérivent de cette sensibilité baroque. Le goût baroque Il ne s'agit pas de faire n'importe quoi

avoir l'âme sombre, être aux antipodes de..., avantageux , les bras m'en tombent, le centre du bon goût, conditionné , les derniers confins , avoir une conversation avec quelqu'un, corps de garde, dauber, demeurée (l'intelligence), être du dernier bourgeois, donner dans le vrai, donner à la nature son tribut, une taille élégante , l'élément liquide, une intelligence épaisse, façonnée , des baisers fades , faire figure , flatterie , la force des mots, les incertitudes , incongru , indu , les insultes

ou la sagesse humaine, Voltaire. Memnon, commentaire de la première partie §1à4 I) Un idéal de sagesse ? 1) Un idéal absolu et déterminé Les hyperboles : parfaitement, très, rien n’est plus aisé, sans (réseau d’oppositions), jamais, assurément, toujours, tout, si facile qu’il n’y a aucun mérite, solidement, personne, rien, le plus grand. Ces hyperboles soulignent le caractère absolu du projet de Memnon et en font un idéal de sagesse. Le futur : aimerai, dirai, se rideront : valeur prophétique En

Satirique | Définition :Cherche à produire un effet comique à propos d’un personnage ou une classe sociale pour en critiquer les défauts, les ridiculiser.Effet recherché : Faire sourire ou rire le lecteur pour lui faire comprendre ses défauts.Exemple :Bourgeois gentille Homme/ Malade imaginaire de Molière (naïveté=moqué) | Ironique | Définition :Joue sur l’écart entre ce qu’il semble dire et ce qu’il veut réellement dire. L’auteur fait semblant d’adhérer à une idée qu’il veut en faite mettre à distance

appartient à l'une des plus grandes familles de France (les Condé). C'est le début de l'ascension sociale de La Bruyère. En 1686, la formation du jeune duc est terminée. Mais La Bruyère reste au service de la maison de Condé. Il a la fonction de « gentilhomme ordinaire » de M. le Duc. Il s'occupe de la gestion de la bibliothèque. Comme il fréquente la cour, La Bruyère a l'occasion d'observer ceux qui la constituent. Cela lui donne de la matière pour l'ouvrage qu'il est en train d'écrire. En 1688, il

famille et annonce en quelque sorte le conflit tragique qui opposera Camille à son frère lors du retour d’Horace. 2. Le texte est descriptif : il propose un portrait moral de Mme Mauperin. Ce personnage se caractérise par « un prodigieux orgueil bourgeois ». Le texte évoque ses paroles blessantes : « rabaisser ainsi, avec des expressions d’un mépris et d’un dégoût superbes ». Le discours descriptif a une intention critique, il vise à dénoncer l’orgueil et le mépris. Le texte offre aux lecteurs une

Dourdan, jusqu'à ce que l'on eût retrouvé son acte de baptême, qui établit qu'il a été baptisé le 17 août 1645 à l'église Saint-Christophe, dans la Cité. Il était le fils ainé de Louis de La Bruyère, contrôleur général des rentes de l'Hôtel de Ville, bourgeois de Paris, et d'Elisabeth Hamonyn. Son trisaïeul paternel, Jean de La Bruyère, apothicaire dans la rue Saint-Denis, et son bisaïeul, Mathias de La Bruyère, lieutenant civil de la prévôté et vicomté de Paris, avaient joué, au XVIe siècle, un rôle actif

la condition des filles-mères est déplorable au 18ème siècle : aucune protection légale ne leur est garantie : C’est un thème à la mode : voir Diderot (en 1757) dans Le Fils naturel, et Beaumarchais utilise ici une donnée attendrissante du drame bourgeois, qu’il reprendra dans La Mère coupable (1792). Cependant, Figaro, naturellement bon, a voulu faire une « carrière honnête »: vaine tentative si l’on ne dispose pas du « crédit », c'est-à-dire de la protection « d’un grand seigneur » L’emploi de