Hyperboles Dans Le Bourgeois Gentilhomme

jugement sûr car sans a priori. «Apprends, Marquis, je te prie, et les autres aussi, que le bon sens n'a point de place déterminée à la comédie ». Dans le texte B, on retrouve cette peinture sociale de la salle. Un page de la gale¬rie s'amuse d'un bourgeois du parterre en lui prenant sa perruque tandis que le marquis installé sur la scène affiche une connivence « non sans avoir envoyé quelques baisers aux loges » avec le public socialement élevé des loges. Enfin nous assistons aussi à une mise en abyme

le genre à dominante narrative inclut le roman d'amour, d'aventure, de science-fiction, épistolaire, le roman-feuilleton, les contes, les biographie, la nouvelle etc. Le genre théâtral regroupe quant à lui les tragédies, des comédies, le drame bourgeois, le drame romantique, le vaudeville etc. En grammaire, le mot désigne la catégorie grammaticale répartissant les substantifs en classes, en fonction des caractères morphologiques qui leur sont attachés (masculin, féminin). Acteur n. m. Artiste

monter » (l.8), et nous l’accompagnons dans cette dynamique ascensionnelle jusqu’au sommet. L’ascension est difficile, tant par le caractère chaotique du décor (« les énormes quartiers de roche tombés au milieu de la forêt »), renforcé par les hyperboles et la multiplication des pluriels, que par la précarité du chemin « étroit » et « à peine marqué » (l. 9) ; de même Julien est-il parfois obligé de s’arrêter pour reprendre haleine (l.9) : on peut ici lire la métaphore du parcours ardu et semé

et d’indiquer la source de comique pour chacun des extraits ; c’est-à-dire à quel type de comique faisait appel chaque texte en vue de faire rire le lecteur. Le premier texte, celui de Molière, extrait de la pièce de théâtre comique Le Bourgeois gentilhomme (1670) ce qui peut déjà, dans une premier temps expliquer la présence du registre comique. Ensuite, au vu du type des personnages et de leur caractère, on peut dire que l’autre principale source de comique relève du comique de caractère. Il

railleries qui devraient attirer leur indignation. J'entends dire qu'il attaque les vices ; mais je voudrais bien que l'on comparât ceux qu'il attaque avec ceux qu'il favorise. Quel est le plus blâmable, d'un bourgeois sans esprit et vain qui fait sottement le gentilhomme, ou d’un gentilhomme fripon qui le dupe ? Dans la pièce dont je parle, ce dernier n'est-il pas l'honnête homme ? N'a-t-il pas pour lui l'intérêt ? Et le public n'applaudit-il pas à tous les tours qu'il fait à l'autre ? Quel est

psychologiques (avare-> utilisé pour critiquer indirectement les nobles). La comédie met en scène des bourgeois et la pièce finit généralement bien. Un seul décor, un seul endroit, un seul moment. La tragi-comédie : Dans le cadre de la noblesse ou de la haute bourgeoisie. Le drame : 18ème siècle. Seulement dans le milieu bourgeois. Les thèmes sont : le mariage, l’argent, l’amour : typique bourgeois. Les tons peuvent être tragiques ou comiques. Molière est la comédie : Molière essaie d’éduquer

rhétorique que l'on retrouve tout au long de la pièce avec l'éloge de l'inconstance (I/2) et l'éloge de l'hypocrisie (V/2) faits par Dom Juan. Ici l'éloge paradoxal développé par Sganarelle, personnage comique, prend l'aspect d'un discours solennel ( cf. hyperboles , mouvement oratoire) mais un sujet anodin = solennité burlesque . Un boniment de foire adressé au public ( Vous) . Cette entrée en matière est une fausse exposition car les considérations développées par Sg. n’ont aucun lien avec la matière qu’il

connaître le monde réel, où s’offre le spectacle du mal absolu, sous toutes ses formes. Candide découvre ce mal, l’éprouve à tous les niveaux et abandonne la vision optimiste du monde héritée de son maître. Au chapitre XXX, la métairie est un monde bourgeois qui fructifie. Elle est le lieu de l’action, du travail et de la vie en communauté. Si le monde est clos, on sait toutefois ce qui se passe à l’extérieur. Le récit est au passé simple, par opposition à l’imparfait du premier chapitre. C’est le temps

Mauvais convive (il rit de lui-même). · Colérique. · Frimeur, prétentieux, imbu de sa personne (se croit supérieur) · Imprudent, excès de confiance en lui (dikkenek) 10. Par quelles figures de style, procédés le personnage est-il caricaturé ? · Hyperboles · Enumérations · (Antithèses) · Parataxe · Anti-honnête homme 11. L’auteur juge-t-il son personnage ? Si oui, où et comment ? · Arrias n’est pas ce qu’il voudrait être. · Sethon : jeu de mot 12. Quel est le ton du portrait ? · Ironique et satirique

rhétorique que l'on retrouve tout au long de la pièce avec l'éloge de l'inconstance (I/2) et l'éloge de l'hypocrisie (V/2) faits par Dom Juan. Ici l'éloge paradoxal développé par Sganarelle, personnage comique, prend l'aspect d'un discours solennel ( cf. hyperboles , mouvement oratoire) mais un sujet anodin = solennité burlesque . Un boniment de foire adressé au public ( Vous) . Cette entrée en matière est une fausse exposition car les considérations développées par Sg. n’ont aucun lien avec la matière qu’il