Hypocrisie

de montrer sa dévotion affichée. Avec Elmire dans la scène 3, il dévoile son désir amoureux. La place de cette scène au milieu de la pièce marque son importance. Tartuffe y dévoile sa véritable face. Ces deux tirades constituent la preuve de son hypocrisie, remarquable par le double langage qui s'y déploie. Nous allons nous intéresser la scène 3 de l’acte III, tirade de tartuffe du vers 966 à 1000. C’est le passage où Tartuffe dévoile son amour à Elmire. Comment cette scène montre-elle la complexité

discrimination positive. L'article du Directeur de l'Observatoire du communautarisme, François DECOUVOUX DU BUISSON, paru le 08/01/2004 sous le titre La discrimination positive, une aberration explique ce que ce principe véhicule de négatif et que c'est une hypocrisie qui donne bonne conscience. Jean-François AMADIEU, Directeur de l'Observatoire des discriminations, dans l'entretien avec la journaliste Evelyne JARDIN Restaurer le principe républicain d'égalité affirme qu'il faut lutter en amont contre les discriminations

a) Un personnage lâche : - champ lexical frayeur : « horreur », « terrible », « crainte ». - « il faut que je lui sois fidèle » ( obligation, contrainte. - champ lexical de l’impuissance : « en dépit que », « me réduit que », « bride ». - hypocrisie envers son maître : « applaudir bien souvent à ce que mon âme déteste » ( antithèse : opposition entre ce qu’il pense et ce qu’il fait. - crainte : « cela m’est sorti un peu bien vite de la bouche » ( n’assume pas ce qu’il dit et à peur des représailles

Rosine qui « tombe sur un fauteuil », qui dit se sentir mal et ferme les yeux, Bartholo lui tâte le pouls et en même temps lit la lettre, mais il est manipulé par Rosine. Jeu de manipulation réciproque. L. 77 à l.95 : Excuses de Bartholo. Hypocrisie de Bartholo (« je ne veux aucun éclaircissement », « ma parfaite confiance ») tandis que Rosine le fait culpabiliser en lui demandant de lire la lettre (« vous me contrariez de la refuser »…) = Rosine domine complètement Bartholo. L.96 à

vers 66. Quant à Tartuffe, il est désigné par des périphrases antithétiques comme « homme de bien » ou « ce beau monsieur-là » qui font l'ironie de ce personnage, Dorine dévoile aussi la nature des agissements de Tartuffe en prononçant le mot « hypocrisie ». L'antithèse s'est don scindée en 2 clans : les pro-Tartuffe (Orgon et Mme Pernelle) et anti-Tartuffe (tout les autres). C'est un conflit familial qui menace d'éclater. Enfin, nous retrouvons une question morale dans cette scène d'exposition

d’accepter que l’amour est la plus grande hypocrisie créée par la race humaine pour justifier ses égarements. Les hommes n’ont qu’une seule et unique motivation, ne l’oublions pas : la reproduction et le contrôle d’une ressource sexuelle disponible et également l’affirmation d’un statut… Alors, n’hésitons pas à enlever la couche de vernis qui recouvre cette dure réalité qui régit les relations hommes-femmes. Le jour où nous aurons accepter sans hypocrisie ce fait, nous pourrons peut-être nous associer

amoureuse" : il s'agit d'enlever une belle, au cours de la promenade en mer que lui offre son fiancé. Mais survient Elvire, douloureuse et indignée. Elle reproche à Dom Juan sa trahison et lui demande des comptes. Dom Juan se réfugie dans une impudente hypocrisie et lui répond avec le cynisme le plus odieux. Elvire appelle sur lui la punition du ciel et le quitte en le menaçant de sa vengeance. Dom Juan, impassible, s’apprête à mener à bien "l’entreprise amoureuse" dont il a parlé à Sganarelle Acte II

champ lexical religieux, « sacristie », « église » … Mais une absence totale de valeurs morales. Il désire reprendre sa maîtresse alors même qu’a lieu la cérémonie du mariage avec sa toute nouvelle femme. L’auteur dénonce également une certaine hypocrisie car lors de ce mariage, la mariée disparaît complètement laissant place à la maîtresse. Le premier terme amoureux n’est même pas consacré à Suzanne, la jeune mariée mais à Madame de Marelle, l’ancienne maîtresse de Du Roy. Cette fin du roman nous

- double accumulation : ''Il n'y voyait, m'affirma-t-il, qu'une accumulation de conspirations, rébellions, meurtres, massacres, révolutions, bannissements, le tout n'étant que l'effet désastreux de notre cupidité, notre esprit de faction, notre hypocrisie, notre perfidie, notre cruauté, notre rage, notre folie, notre haine, notre luxure, notre malveillance et notre ambition.'' - gradations : * ''l'ignorance, l'incapacité et le vice'' * ''effacés'' ; ''brouillés'' ; ''dénaturés'' - domination

j'ai procès » → cible = « tt les hommes » mais il faut comprendre les hommes de la Cour, du salon de Cél puis son adversaire direct (on ne saura pas quel est le motif du procès) → Il condamne une société pratiquant le « double discours » (=hypocrisie). D'un coté on accorde de l'importance à l'honneur, à la vertu, au mérite (=critères de l'époque). D'un autre côté on permet à des « malfaisants » d'occuper des places importantes et de porter des titres. Illustration fournie par son adversaire