Hypocrisie

entre l’être et le paraître. Cette opposition est rappelée dans le comportement du courtisan à plusieurs reprises « pensant mal … personne » (l. 7). Elle est renforcée par l’antithèse et le parallélisme de cette expression. On retrouve cette même hypocrisie à la ligne 7-8 : l’opposition entre l’égoïsme intérieur du personnage « ne voulant du bien qu’à lui seul » et son altruisme apparent « il veut persuader qu’il en veut à tous ». Elle est soulignée par le parallélisme et la répétition du verbe vouloir

Analyse linéaire  : De la cour – Texte n° 34 (VII) De Jean de La Bruyère, Les CaractèresIntroductionPrésentation de l’auteurJean de La Bruyère, moraliste du 18e siècleAuteur classique N’a écrit qu’UNE seule œuvre : «  Les Caractères ou les mœurs de ce siècle  » Présentation de l’œuvre intégraleElle est composée de 16 parties et a été publiée en 1694 après de nombreuses modifications.L’auteur par son œuvre tend

déguise ses véritables sentiments, ses véritables pensées. Il s’agit de flatter, d’exagérer, de capter l’auditoire. Elle est donc le lieu de la comédie par excellence. Lieu de tous les excès, de toutes les hypocrisies, elle masque mal la vacuité de certains êtres qui apparaissent grossiers et ridicules. (Caractère 1,2,3,4, 7 (Acis), 19) Les grands ; Dans le caractère 19, La Bruyère met en valeur le fait qu’ils n’ont pourtant

regards avec la présidente: l'amour y est pas de doute! -Lettre 77: Valmont à Tourvel. Lui reproche de rester indifférente et sévère, alors même qu'elle lui a promis son amitié. ( il est cruel!). Qu'a-t-il fait pour obtenir pareil traitement? (hypocrisie!). Elle est « injuste » et incohérente. -Lettre 78: Réponse de Tourvel. A voulu s'en tenir a la politesse mais lui n'a pas joué le jeu. [ en fait, elle lui rappelle là tout depuis le début]. Lui reproche d'être rêveur, de s'asseoir à côté d'elle

Confessions se veulent comme l'expression de l'histoire de l'âme de l'auteur, beaucoup plus que comme les événements de sa vie   Rousseau veut montrer un homme dans "toute la vérité de sa nature". Sa nature, c'est la nature. Il se décrit sans hypocrisie et sans cacher quoique ce soit à ses lecteurs. Il inaugure une nouvelle façon de se raconter et met en place un nouveau style d'écriture. Il déplace le sujet, des événements à leurs effets, sur une subjectivité qu'il désigne comme une âme. Il

amoureuse" : il s'agit d'enlever une belle, au cours de la promenade en mer que lui offre son fiancé. Mais survient Elvire, douloureuse et indignée. Elle reproche à Dom Juan sa trahison et lui demande des comptes. Dom Juan se réfugie dans une impudente hypocrisie et lui répond avec le cynisme le plus odieux. Elvire appelle sur lui la punition du ciel et le quitte en le menaçant de sa vengeance. Dom Juan, impassible, s’apprête à mener à bien "l’entreprise amoureuse" dont il a parlé à Sganarelle ACTE Il

par cette même femme, dénonce l'hypocrisie de l'Homme. Elle supplie Zadig de venir à son secours pour ensuite le mépriser. Ce n'est qu'une fois qu'elle se trouve dans une situation critique qu'elle commence à le traiter avec respect, signe de son hypocrisie. Elle l'implore et est prête à perdre toute crédibilité lorsque finalement elle a de nouveau besoin de lui. Mais Zadig, qui lui incarne l'homme parfait, n'est pas naïf. “Vous ne m'y attraperez plus” est une phrase qui veut prouver que cette femme

c. Bilan : • LF est clairement contre les puissants pour les faibles. Satyre qui attaque le fonctionnement de cette cour à son époque où les puissants s'attribuent ts les droits et n'en reconnaissent aucun aux faibles. • Ironise aussi sur leur hypocrisie, fait de feindre de se conformer à la morale, de faire examen de conscience, mais se dépêchent de s'exonérer ensuite de toute faute ; • Raille aussi naïveté des petits, prennent sérieux discours Roi, Cour et ne savent réagir contre injustice.

ses contemporains que leur vision du monde est corrompue. Contrairement au « vrai » misanthrope dont parle Rousseau, qui lui est indifférent au malheur humain, qui laisse ses semblables se vautrer dans leurs vices, et les y encourage même. Par son hypocrisie, et « sa coupable complaisance », il leur fait penser que leur manière de se comporter est juste. Dans ce travail je vais donc mettre en opposition Alceste et Philinte, qui représentent respectivement le misanthrope moliéresque et le « vrai »

permanence, par ses paroles et ses actions (ainsi il a soin non seulement de séduire de nombreuses femmes, mais d'aggraver l'aspect répréhensible de ses actes en y mêlant le sacrilège (Elvire est arrachée à un couvent, Charlotte est fiancée). Son hypocrisie elle-même est un défi, puisqu'il demande à la religion de couvrir les crimes qu'il commet contre le Ciel. Plus on approche de la fin et plus l'affrontement direct devient inéluctable. Héros : Personnage principal d'un roman ou d'une pièce de