Hypocrisie

L'ouvrage en question fait 88 pages. Il est divisé en 16 chapitre, qui chacun représente un mois de la vie de cette famille de septembre 2006 à octobre 2008. _Préface _Des étoiles plein les yeux _Pour Camille _Noël _Petites Perles _Paradoxe ou hypocrisie? _Épuisement _Rechute _Quelques années plus tard... Ou rêve éveillé _Jardin Nordest _La traversée du désert _Et ces mots, tels des baumes _Libertés _« Tika » _Les couleurs de la vie _Epilogue L'auteur raconte en fait sa vie depuis la

devrait céder à l’officier. En plus, c’est lors du dîner du quatrième soir que la comtesse arrive à la convaincre d’accorder ses faveurs à l’Allemand. Dans ces deux cas, l’écrivain dénonce la bassesse morale des autres voyageurs ainsi que leur hypocrisie. Enfin, le dernier repas pris dans la diligence sert à montrer l’ingratitude des voyageurs vis-à-vis de Boule de suif. Ils n’offrent rien à manger à la pauvre qui a oublié d’emporter des provisions. Le dénouement évoque clairement non seulement

avec la férocité du déchaînement public : «  on cria haro sur le baudet », et la scandaleuse injustice du verdict. 2 vers suffisent pour tirer la leçon et deviner la position de LF face à l’hypocrisie de la Cour. Cependant, si LF dénonce cette hypocrisie, il sait qu’elle est nécessaire pour survivre. Il la condamne donc tout en sachant qu’il sera impossible de l’éliminer ; cette impuissance se traduit par le fait que les puissants ne sont pas châtiés. On pourrait songer qu’ils seront punis par la

trompeur, que l’on emploie en société, chacun a sa manière l’adopte pour plaire a son entourage, et donner une appréciable image de sa personne « L’homme n’est donc que déguisement, que mensonge et hypocrisie et en soi-même et à l’égard des autres. » Pascal Le masque dans l’œuvre de Molière est hypocrisie, et le Tartuffe devenu mot de notre langue, en est le parfait symbole, aujourd’hui en effet un Tartuffe définit une personne hypocrite dissimulant sa réelle personnalité. A l’instar de ce personnage

images se superposent : l’image de l’humain et celle de l’animal. - langage d’humain - langage animalier La critique des courtisans se fait en deux temps de façon indirect dans le récit et directe. Première critique des courtisans : leur hypocrisie et leur soumission au roi (vers 3 et 4). Il copie leur attitude sur le roi, sans aucune sincérité puisqu’ils rugissent en leur exemple (vers 15) Le monde de la Cour est comparé à un pays et les courtisans à un peuple (vers 21), la Cours apparait

décèle aussi un amusant mélange entre la religion chrétienne: " saint" vers 47 et la mythologie: “les augustes mânes”, " les champs élyséens". De plus les personnages ont une ressemblance dans la psychologie humaine: souffrance, colère, violence, hypocrisie et méchanceté des courtisans leur lâcheté, leur suivisme (fait de suivre quelqu'un sans se préoccuper de ses actes). Le lecteur reconnait la société dont parle La Fontaine, c'est l'histoire autant que la morale qui véhicule l'argumentation.

influence la moralité des personnes , implicitement on se doit d’abandonner tout espoir de franchise et d’honnêtetéTour ce qui peut rendre une personne agréable est énuméré: l’aptitude à être ouvert , à s’étonner , à s’émerveillercritique implicite de hypocrisie qui règne à la courLa bruyère évoque ensuite les actions bienveillantes que l’on peut faire pourl les autres.A la cour tout cela n’existe pas ,le repli égoîste est la norme ,- touchent au aux qualités morales absentes elles aussià la cour.-plus

Bilan : • LF est clairement contre les puissants pour les faibles. Satyre qui attaque le fonctionnement de cette cour à son époque où les puissants s'attribuent ts les droits et n'en reconnaissent aucun aux faibles.  • Ironise aussi sur leur hypocrisie, fait de feindre de se conformer à la morale, de faire examen de conscience, mais se dépêchent de s'exonérer ensuite de toute faute ;  • Raille aussi naïveté des petits, prennent sérieux discours Roi, Cour et ne savent réagir contre injustice.

Il faudra bien définir la conscience · « ce que » > « je » est-il égal à la conscience de soi. · On pourrait être plus ou moins que ce que l’on a conscience d’être. · Hypocrisie : puis-je cacher qui je suis ? · L’identité > la connaissance par l’introspection · Inconscience (lapsus, rêves) · Suis-je aux yeux des autres ce que j’ai conscience d’être 

Onuphre pour se faire plaindre alors que nous entendons en même temps la voix de l’auteur qui dénonce cette imposture.  Le retournement final à propos d’un geste chrétien import à l’époque souligne la perversité de l’homme. Ils sont dupés par son hypocrisie III) L’attitude du moralise A) L’absence d’humanité  Etonnant : même espace privé (chambre) endroit intime, où chacun se retrouve à l’abri, Onuphre continu de cacher son identité : n’a d’autres vérités que celles qu’il veut faire exister