Hypocrisie

qu’assuraient les Français (p.21), et son désir de devenir secrétaire général du parti unique, le même parti unique qui lui a ôté son statut de prince, ne trahit pas un caractère individuel propre à lui, mais une hypocrisie sociale à laquelle se prête tout africain. C’est d’ailleurs de même hypocrisie que Kourouma fait la critique avec humour, en réduisant les fonctions du secrétaire général du sous parti et du directeur de coopérative à la simple adulation du président (p.23). Si Kourouma refuse de s’engager

en 5 actes. Elle met en scène un aristocrate libertin de mœurs et d’esprit. L’homme de débauche est appelé Dom Juan et est un épouseur à toutes mains. Dom Juan attaque directement la noblesse, l’aristocratie et l’Eglise en faisant ressortir son hypocrisie. Entamons maintenant l’analyse du fond de la pièce. Tout d’abord, Molière ne respecte absolument pas les codes aristocratiques. En effet, dans la scène d’exposition, Sganarelle décrit un portrait peu aimable de son maitre. Or, jamais à cette

amoureuse" : il s'agit d'enlever une belle, au cours de la promenade en mer que lui offre son fiancé. Mais survient Elvire, douloureuse et indignée. Elle reproche à Dom Juan sa trahison et lui demande des comptes. Dom Juan se réfugie dans une impudente hypocrisie et lui répond avec le cynisme le plus odieux. Elvire appelle sur lui la punition du ciel et le quitte en le menaçant de sa vengeance. Dom Juan, impassible, s’apprête à mener à bien "l’entreprise amoureuse" dont il a parlé à Sganarelle ACTE Il :Dom

caractérise la nouvelle hypocrisie de Dom Juan par rapport à son cynisme et à ses mensonges passés, et montrez en quoi cela constitue un revirement dans la construction dramaturgique de la pièce. Dom Juan, en jouant sans cesse avec les faiblesses de ses victimes et de ceux qui lui font obstacle, a toujours fait preuve d’un certain cynisme, il a toujours menti, ne craignant pas de multiplier les mensonges pour obtenir ce qu’il veut ou se débarrasser de ce qui le gêne. Aussi son hypocrisie peut-elle apparaître

que l’on nous mente, alors on nous dit ce que l’on a envie d’entendre. De plus, « on nous traite comme nous voulons être traités. » Comme l’auteur l’affirme, en conclusion, à la fin du texte : « l’homme n’est donc que déguisement, que mensonge et hypocrisie ». Pour démontrer la thèse, Pascal procède en 4 étapes. En une première étape (lignes 1 à 2), Pascal introduit son idée générale. Il affirme que, pour lui, le mensonge existe parce que nous le voulons. D’ailleurs, c’est pour ça que « nous haïssons

l’emploi de l’impératif : « Ne vous attendez point à trouver en France… » Mais lorsqu’il dit « La petite ville de Verrières peut passer pour…. » son intention est de rester à l’extérieur. On dirait qu’il veut laisser le choix de juger la ville. Hypocrisie : C’est tout ce que détestait Stendhal. Tout doit paraître beau et on doit cacher la vérité. - Noms des localités réels et non pas inventés ( Verrières, Jura, Franche-Comté, Amérique, France…), les faits historiques sont aussi véridiques

prendre : pouvoir sans limites, pouvoir masqué  "disait" "désirait" "s’accabler de politesse" + vers 15 : antithèse. 2- Un ennemi hypocrite et monstrueux Vers 14 hypocrisie " rationnait " donnait le strict minimum + " jugeaient les fous " impossible. Accumulation de verbes d’actions, ce qui traduit l’étendue de leur pouvoir. Hypocrisie et abus de pouvoir. A ce quintile succède une strophe à un vers pour résumer et prendre position. Verbe " persévèrent " utilisé à contre-emploi, on passe de ’imparfait

fondée que sur cette mutuelle tromperie ; et peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas, quoiqu’il en parle alors sincèrement et sans passion L’homme n’est donc que déguisement, que mensonge et hypocrisie, et en soimême et à l’égard des autres. Il ne veut donc pas qu’on lui dise la vérité. Il évite de la dire aux autres ; et toutes ces dispositions, si éloignées de la justice et de la raison, ont une racine naturelle dans son coeur. PASCAL, Pensées

Peut-être il obtiendra la guérison commune. La peste était perçue comme étant une punition divine L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements : Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence Ironie, hypocrisie L'état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons « Goinfre », gourmandise excessive. Louis XIV avait un appétit de Lion. J'ai dévoré force moutons. Les moutons représentent la plupart du temps dans les fables de

Commentaire linéaire de la fable de la Fontaine : Le rat qui s’était retiré du monde Situation : L’organisation du recueil VII des Fables de La Fontaine est décrite par Pierre Bornecque dans son article thèmes et organisation des fables comme étant inédite chez le fabuliste. Ce recueil est en effet composé de deux thèmes qui se croisent, le thème des chimères et celui de la rapacité qui concerne directement la fable étudiée qui est la troisième du recueil. Maintenant, la lecture. Lecture :