Héros De Roman Qualités Extraordinaires

Pour vendredi 13 mars 2015 Dissertation à la maison de Français « Ce qu’il y a de fort dans Manon Lescaut, c’est le souffle sentimental, la naïveté de la passion qui rend les deux héros si vrais, si sympathiques, si honorables bien qu’ils soient des fripons » Gustave Flaubert Pensez-vous comme Flaubert que des personnages romanesques puissent captiver le lecteur tout en ayant une attitude immorale ? Les personnages immoraux

Vaut-il mieux être jeune, riche, beau, intelligent et sympathique ou pauvre, laid, vieux, malade,désagréable et acariâtre pour être un héros de roman ? C'est l'étude de l'évolution historique du roman qui pourrait permettre de répondre à la question. Les romans du XIX ème siècle présentent souvent des personnages négatifs. Mademoiselle Gamard n'a rien de Pénélope et Sidonie Rougon ne semble avoir rien de commun avec la reine Guenièvre ou la princesse de Clèves. Comment le lecteur peut-il s'identifier

propres. On peut donc penser que certains héros sont tellement connus que le lecteur d’une façon ou d’une autre s’identifierait a lui. Le personnage de roman doit-il donc être un modèle ? Nous tenterons d’y répondre en commençant par montrer que oui, le personnage est un modèle pour le lecteur, puis nous poursuivrons en montrant qu’il n’est, au contraire pas un modèle. En dernier, nous verrons que le terme de « modèle » peut s’appliquer ou non selon les romans, que chaque lecteur a sa propre vision

Cher lecteurs, vous ne connaissez sûrement pas l’évolution de héros de roman depuis le 17ème siècle mais nous allons essayer de combler se manque grâce à cette anthologie. En effet notre anthologie vous fera découvrir le héros de roman à travers quartes époques qui sont le 17ème siècle, le 18ème siècle, le 19ème siècle et enfin du 20ème siècle à nos jours. Pour cela nous avons sélectionner un héros par période qui sont Télémaque de Les aventures de Télémaque par Fénelon pour le

lecture d'un roman, si le personnage est un être exceptionnel, ou si au contraire, c'est un être ordinaire ? A l'origine, le roman est un récit contant les aventures merveilleuses ou fabuleuses, de héros mythique ou magnifiés, il semble avoir pour finalité première de plaire et de divertir.« Le roman est le seul genre en devenir, et encore inachevé. Il se constitue sous nos yeux ». Qui dit roman, dit en effet personnages hors du commun ainsi qu'intrigues captivantes. Le roman cherche

Il convient tout d’abord de définir les catégories du “héros” et de “l’anti-héros”. Dans l’Antiquité le terme “héros” désigne un demi-dieu, issu de l’union d’un dieu ou d’une déesse avec un(e) mortel(le) : il se distingue par des qualités (comme la force ou le courage) qui suscitent l’admiration. Le sens du mot s’est atténué au cours des siècles pour finir par désigner simplement le personnage principal d’un roman. On peut citer à titre d’illustration la célèbre intervention du narrateur dans La

Au cours du temps, les personnages de roman ont beaucoup évolué. Ils sont passés de personnages mythologiques, chevaleresques, véritables héros à des personnages ordinaires qui jouent le rôle principal de l'histoire. Les premiers, sont dotés de vertus exceptionnelles. Les seconds accomplissent de moins en moins d'actions spectaculaires et leurs capacités sont plus proches de celles d'un être humain. A partir de là, les écrivains créent tout un éventail d'individus qui peuvent être faibles et ne posséder

dans les romans par des heros (,sorte de demi-dieu, qui se distingent par leurs actions en fesant preuve d'un grand courage,sorte de surhommes,qui a pour role de plaire),ont duent donc evoluer et par consequence les romans et leurs personnages egalement .Le héros du roman doit-il necessairement plaire? comme ce fut le cas avant le 17eme siecle .Car au jour d'aujourd'hui le lecteur a tout d'abord besoins de personnages aux faits extraordinaire, mais pourtant certains des personnages de romans sont mediocres

fictifs. Pourtant, on distingue souvent le personnage principal d’un roman d’un véritable individu. Ainsi nous nous demanderons que penser de cette affirmation de Zola : « Le premier homme qui passe est un héros suffisant » ? Pour y répondre, nous verront dans un premier temps que le roman a besoin de héros dotés de qualités exceptionnelles, puis en contrepartie, nous verrons qu’un individu peut se suffire à lui-même en tant que héros et qu’il n’a pas besoin d’être un personnage particulièrement remarquable

l'intrigue d'un roman. Cependant, le lecteur doit-il nécessairement s'identifier aux personnages pour apprécier pleinement l'œuvre ? Nous verrons tout d'abord que l'identification est importante, mais qu'elle n'est pas nécessaire pour rendre un livre intéressant. Le lecteur se plaît à s'identifier aux être de papier qui ne sont que des caractères imaginés par les auteurs que ceux-ci ont bien voulu transmettre. Comme l'a si bien écrit Albert Camus dans L'Homme révolté, '' Les héros ont notre langage