Héroïne Romanesque

précieuse  XVIIIème: roman épistolaire (roman par lettre), une critique à la société XIXème: éclusion du roman (ex: Le Père Goriot- Balzac), le début du réalisme XXème: deconstruction du genre romanesque MADAME BOVARY  Une oeuvre qualifiée de réalisme, précisions dans les décors. On a une héroine particulière. C'est un roman à plusieurs niveaux. L'auteur présente un personnage particulier : Emma Bovary (exorcisme des ses pensées) -> un dédoublement avec des critiques personnelles, de lui-même

vis-à-vis de ses personnages. II. LE ROMANESQUE D’EMMA  Le romanesque de Madame Bovary apparaît intimement lié à son personnage principal, Emma, qui, tel Don Quichotte de l’écrivain espagnol du Siècle d’Or Cervantès, ayant lu des romans de chevalerie remplis d’exploits, se lance à travers le monde pour en accomplir de semblables et croit dans son cas que les romances qu’elle a lues au couvent sont la vraie vie. Car c’est une des définitions du mot « romanesque » : la confusion de la vie réelle

«tendre sur estime», «tendre sur inclination» ; l'amour adultère ; la passion (l'amour quand il apparaît comme une inclination puissante et durable, dégénérant parfois en obsession) ; par sa structure (nombre d'épisodes secondaires) ; par sa subtilité romanesque (l'amour coupable, les situations compliquées ou peu vraisemblables [le portrait dérobé, Nemours assistant à l'aveu de la princesse à son mari], des péripéties [pages 106, 149]) ; par un attirail précieux : les bijoux à assortir, le portrait dérobé

personnage.- Conte de Monte Cristo.- Debut du pp central- Lintrigue se lie autour de lui. Dès 18eme- roman mémoire, libertin, épistolaire, [Liaisons Dangereuses] Jacques le fataliste- In medias res- Pas miroir de la société, décousue, projet romanesque , stop avant, la il faut faire réfléchir le lecteur, pas de mise en contexte. Le lecteur s’identifie a lui. I) Le personnage de roman, miroir de la société. A) Le projet des auteurs, de peinture d’une société. – Stendhal – Balzac – Zola

le héro, héroïne est prés a aller jusqu'au bout de sa passion: - Personnage d'exeption par son destin: le héros de Roman a souvent sa vie entière a compté et par conséquent on a l'impression que sa vie est faite d'element. (le Colonel Chabert de Balzac): celle vie accidenté se finis parfois de façon tragique montrant un personnage victime de deterministe (comme dans l'Assomoir) - Personnage archétypale (héro du bien ou du mal) Ces personnages romanesques haut en couleurs

ayant pour héroïne une femme. En 1829 Honoré De BALZAC publie La Maison du Chat-qu- pelote, vibrant hommage à sa jeune sœur décédée. Cette histoire retrace le drame vécu par sa sœur et dont il garde une profonde blessure. En 1857, Gustave FLAUBERT publie Madame BOVARY. A contrario, il fait appel à son imaginaire et préfère donner libre court à l’imagination du lecteur pour donner vie à son héroïne. Nous nous pencherons sur les portraits d’Emma BOVARY et d’Augustine GUILLAUME, héroïnes de ces romans

Chapitre6) On perçoit donc beaucoup d'ironie dans ses passages. Mais si cette ironie vise le romantisme lui-même, elle vise aussi ses personnages. Flaubert fait une critique du romantisme essentiellement à travers la caricature d’Emma Bovary, héroïne éponyme qui a un goût prononcé pour le romantisme, et une vision naive de l’amour. Emma est imprégnée dès sa jeunesse au couvent par le romantisme qu’elle découvre au travers de ses lectures niaises. Flaubert se moque de la littérature dont Emma

pleine de sèves et d’appétits de bonheur, prête à toutes les joies ». La métaphore de la sève continue le thème de la nature associée au bonheur. Cette phrase met l’accent sur les bonheurs à venir qu’elle s’est figurés. Elle s’attend à une existence romanesque « hasards » et remplie de bonheurs « charmant ». Son existence au couvent paraît vide : « désœuvrement, longueur ». Elle ne s’y est livrée qu’à son imagination. Au couvent non plus elle ne semble pas s’être frottée à la société. Il n’est fait mention

roman d'une destinée malheureuse est d'une impitoyable vérité. Ce fut ainsi qu’il posa les bases de ce que le XIXe siècle appellera l'art réaliste, qu’il dépassa toutefois en recréant, à partir de ce réalisme même, tout le mystère de l'aventure romanesque, en ne poussant pas l’amour de la vérité jusqu'à choisir un personnage médiocre, comme on en voit tous les jours. L'aventure et le caractère de Suzanne Simonin gardent quelque chose d'exceptionnel. Si, de ce fait, l'œuvre s’écarte de ce que sera

à plusieurs reprises et de divers points de vue.  Le portrait est produit par "collage," par glissements et par ruptures successives. Paul Morand emploie des paradoxes psychologiques dans les descriptions, qui tranchent avec les conventions romanesques, et ne convainquent pas immédiatement le lecteur. Les descriptions physiques et les détails concrets fournis par le texte ne permettent pas, eux non plus, de conclure à une individualité cohérente et définie : en réaction à la description réaliste