Ictère

refroidissement) – Acidémie (pH artériel inférieur à 7,25) ou acidose métabolique (bicarbonatémie inférieure à 15 mmol/L) – Hémoglobinurie macroscopique • CRITÈRES ACCESSOIRES – Atteintes de la conscience moindres qu’un coma – Prostration ou faiblesse extrême – Ictère clinique ou bilirubinémie totale supérieure à 50 mmol /L – Parasitémie supérieure à 5 % – Hyperthermie supérieure à 40˚C (adulte et enfant) *-LE PALUDISME CHEZ LA FEMME ENCEINTE L’infection par un plasmodium chez la femme enceinte a des conséquences

lipidiques et lipoprotéiques importantes. Il s'agit d' une augmentation du cholestérol total et des phospholipides. Chez l' alcoolique chronique on trouve l' association d' une hyperlipidémie , d' une anémie hémolytique , d' une stéatose hépatique et d' un ictère . - Le syndrome néphrotique et l' insuffisance rénale chronique. L' augmentation du cholestérol total et surtout des triglycérides , est responsable de l' accroissement de la fréquence des complications cardiovasculaires. - La corticothérapie. Les

première grossesse, il n’y a en principe pas de problème. Dès la deuxième grossesse, la mère peut produire des anticorps IgG, capables de passer la barrière placentaire. Cela peut entraîner une destruction minime des hématies fœtales se traduisant par un ictère prolongé à la naissance (maladie hémolytique du nouveau-né), ou une destruction plus massive pouvant aller jusqu’à la mort du fœtus in utero. VI- Pathologies liées à un mauvais fonctionnement du système immunitaire a) Les maladies auto-immunes

personne(s) déjà contaminée(s) qu’il y ait ou non pénétration.     IST | Symptômes | L’hépatite B | Est souvent asymptomatique ou provoque des symptômes évoquent une grippe. Les symptômes caractéristiques d’une inflammation aiguë du foie (jaunisse ou ictère, urines foncées, selles décolorées). | Chlamydia | Aucun signe particulier. Les symptômes sont remarqués quelques semaines après la contamination (pertes vaginales, relations sexuelles douloureuses, douleurs au bas ventre, etc…). | IST | Symptômes

jours, le début brutal associe un syndrome septique, algique avec des myalgies au premier plan. - Des signes cutanéomuqueux (conjonctivite, épistaxis, rash cutané). - Un syndrome méningé : inconstant. - L’atteinte hépatique : caractérisée par un ictère apparaît entre le quatrième et le sixième jour. - L’atteinte rénale : caractérisée par l’existence d’une protéinurie, d’une leucocyturie peut comporter également une insuffisance rénale pouvant être oligoanurique, anurique ou à diurèse conservée

concentration et de réflexion, fatigue extrême, douleurs musculaires, diminution de la température corporelle, hoquets, crampes abdominales, insomnie, maux de tête… La phase de maladie apparaît ensuite, avec des dégâts parfois irréversibles : vomissement, ictère, problèmes d’audition et de vision, hémorragies des gencives et du tube digestif, troubles du comportement et lésions cérébrales. La dernière phase, pouvant commencer dès le 40ème jour : euphorie, confusion, somnolence, troubles respiratoire et coma

liés à une pathologie confirmée de la grossesse ✓ Vomissements graves ✓ Traumatisme ✓ HTA ✓ Immunisation RH ✓ Hémorragies des 2ème et 3ème trimestres ✓ Ictère ✓ Insuffisance de développement utérin ✓ Sérologie HIV+ Dès le 1er examen prénatal, une idée se dégage sur les possibilités d’évolution « à priori favorable ou non de la grossesse. Si un facteur de risque a été noté

traitement. L'âge et l'état de santé du patient sont également des paramètres importants à prendre en compte. Les signes cliniques sont généralement tardifs, dominés par l'altération de l'état général, les douleurs abdominales, éventuellement un ictère. Le traitement repose avant tout sur la chirurgie ; une chimiothérapie peut être proposée en complément, de même qu'une radiothérapie, notamment à visée palliative. L'alcool, et particulièrement lorsqu'il est associé au tabac majore le risque de développement

cholécystite aiguë correspond à une inflammation ou une infection aiguë de la vésicule biliaire en lien avec une obstruction du canal cystique B. La cholécystite aiguë est caractérisée par la triade clinique : douleur de l’hypochondre droit / fièvre / ictère C. Une colique hépatique se traduit cliniquement par une douleur épigastrique transfixiante D. L’ictère peut être la conséquence d’un obstacle sur les voies biliaires E. La vésicule biliaire est un organe majeur, son ablation entraîne de graves

éliminé par les selles qui sont contaminantes • Contamination : de personne à personne ou par l'absorption d'aliments, d'eau ou de coquillages contaminés • Symptômes : incubation de 2 à 6 semaines très infectante ; asthénie, céphalées, fièvre puis Ictère ; guérison lente en quelques semaines • Prévention : vaccination, respect des règles d'hygiène Brucellose (bactérie) • Germe : de forme arrondie, sans spore, Gram négatif ; il peut rester vivant plusieurs semaines sur les vêtements, les eaux, le