Ictère

vaisseaux et des artères et les diagnostics sont tardifs car ces cancers sont sans symptôme sans douleur mais le seul cancer qui a un meilleur pronostic est celui de la tête car les diagnostic sont plus précoces car quand la tumeur bouche la bile → un ictère (jaunisse) – pancréatite : les plus fréquentes lithiasiques dues à des lithiases vésiculaire ou des pancréatite éthylique dues à de grandes quantités d'alcool ingérées – Foie Étage sus mésocolique et dans hypocondre droit pour sa plus grande partie

est prélever pour l’analyser. Les symptômes de rejet varient selon l’organe en cause : - Rein: Fonction rénale déficiente, pression sanguine en hausse, l’examen des urines révèle le rejet. - Foie: Coloration jaunâtre de la peau et des muqueuses (ictère), l’analyse sanguine révèle l’altération des enzymes produite par l’organe. - Cœur: Troubles classiques de l’insuffisance cardiaque, altération de l’électrocardiogramme. Après une greffe, certains immunosuppresseurs peuvent entraîner des inflammations

: – mesures anthropométriques : le poids (P) en kg et la taille (T) en cm permettent de calculer l’indice de masse corporelle (IMC), c’est-à-dire le rapport P/T². L’épaisseur cutanée tricipitale (ECT) mesure la masse adipeuse ;5 – signes cutanés : ictère (pathologie biliopancréatique), pâleur (saignement occulte...), œdèmes (faisant craindre un amaigrissement plus important qu’il n’y paraît), pli cutané (déshydratation), mélanodermie (insuffisance surrénalienne), dépigmentation (pan-hypopituitarisme)

(en excès) - urémie : intoxication grave pouvant être mortelle. - l'acétone - acétonurie : fréquente chez les enfants, accompagnée de troubles digestifs. - diabète grave - pigments biliaires - signes d'un mauvais fonctionnement du foie - jaunisse ou ictère. - acide urique - goutte : l'acide urique se dépose sur les articulations. - éléments minéraux ou acide urique cristallisés. - ils forment de petits cailloux appelés calculs qui en passant dans les canaux provoquent des coliques néphrétiques très

(Flavoquine®, Camoquin®, ...) • Surveiller attentivement tout symptôme évoquant : - une hépatite, qu’elle soit anictérique (anorexie, asthénie, importante, douleurs abdominales, amaigrissement inexpliqué, fièvre, nausées, vomissements) et a fortiori avec ictère ; - une agranulocytose (suggérée par l’association de fièvre et/ou angine et/ou ulcérations buccales). => Arrêter immédiatement l’amodiaquine et contrôler les fonctions hépatiques et/ou l’hémogramme. • Mais attention : un épisode fébrile sous traitement

pseudotuberculosis Salmonella Les infections virales constituent peut-être le tiers des intoxications alimentaires des pays développés. Rotavirus * Norovirus (anciennement Norwalk virus) * Rotavirus * L'hépatite A induit souvent une jaunisse (ictère), ou un jaunissement de la peau, et ne conduit que rarement à un dysfonctionnement chronique du foie. * L’hépatite E La plupart des intoxications alimentaires dues à des parasites: le scolex de Tenia solium * Plathelminthes :

myocarde. Insuffisance cardiaque/ rénale aiguë. Syndrome néphrotique. Accident vasculaire cérébral. Maladies neurologiques. Epilepsie. La bilirubine :3,4 - 17 µmol / L Dépister une affection hépatique :  Hépatite/Cirrhose/Hémolyse/Ictère. sd inflammatoire Vs : à la 1ere heure :<7mn à la 2ème heure <20mm Dépister une inflammation ou une infection : plus la vitesse augmente, plus le risque infectieux est élevé CRP : <6mg/L recherche inflammation/infection bactérienne

Epilepsie non contrôlée. - Psychose alcoolique ou induite par d'autres toxiques, intoxication médicamenteuse, états comateux. - Troubles rénaux ou cardiaques sévères (ex. : myocardite). - Affection hépatique active accompagnée de nausées, anorexie ou ictère ; affection hépatique progressive. | -somnolence, sédation, sensations vertigineuses,-tachycardie, hypotension orthostatique,-troubles thromboemboliques,-dépression respiratoire,-constipation, nausées, vomissements,-incontinence urinaire, rétention

au cours de la grossesse dans les années 70. Elle associe une modification de la taille de crâne, des signes neurologiques, des calcifications intra-crâniennes et des signes oculaires (choriorétinite ++). L’évolution est sévère. Formes viscérales : ictère néo-natal, hépato-spléno-mégalie, anasarque. Formes dégradées ou retardées : les signes en sont un retard psycho-moteur, une macrocéphalie, des crises convulsives, une choriorétinite. Formes inapparentes ou infra-cliniques : ce sont actuellement les

asymptomatique (sans symptôme) dans 60 à 70 % des cas. Chez une minorité de patients on retrouve des symptômes non spécifiques, tels qu'une perte de l'appétit, un état de fatigue, des douleurs abdominales, un état pseudo grippal, un prurit ou un ictère. La durée des symptômes est, en règle générale, inférieure à 3 mois[22]. Le virus de l'hépatite C est habituellement détectable dans le sang une à trois semaines après le début de l'infection, et les anticorps contre le virus apparaissent généralement