Ideologie Lafontaine

pas rester neutres devant les phénomènes de l'acculturation. Elles s'exercent qu'on le veuille ou non dans un cadre politique et idéologique préexistant dans lequel agissent les acteurs de ces pratiques. Par exemple le contexte français avec son idéologie républicaine marquée par un citoyen universel, par une certaine conception de la laïcité, par des rapports historiques singuliers avec la majorité des populations immigrées etc. n'est pas identique au contexte canadien, lequel est traversé par une

La Révolution française constitue un socle historique qui a ouvert toute une série de débats, de conflits, encore influents aujourd’hui en France et même au-delà. Ce socle a notamment structuré les clivages de la vie politique française. Il s’agit d’une période où les idées, les croyances et le droit subissent un changement radical en l’espace de dix ans. La Révolution française a été également source de conflits d’interprétation au sein de l’historiographie française. Elle constitue donc aussi

française : « chassieux, puceux, transis » l.33-34. Ce langage reconstitué de la rue est une véritable recherche sur la langue, cela suppose un réel travail de style de la part de l’auteur. Il créé un effet de surprise. Le langage de Céline est une idéologie, son emploie dès l’incipit marque une opposition aux valeurs prônées par la société et le pouvoir. L’auteur définit lui même sa langue le « style émotif parlé » qui est le contraire du langage académique. Les personnages sont situés dans un

effort, activité orientée vers une fin (le "pour" du sujet..) est en fait un travail qui semble relever plus d'une disposition sociale que de notre corps. Nous travaillons pour être heureux, mais être heureux veut dire correspondre avec une certaine idéologie politique ou une obligation sociale. Le bien être semble le bien être commun, le bonheur de tous. Ainsi la condition du bonheur serait moins dans le travail (dans l'idée d'entrer dans une logique de l'activité) que de pouvoir s'épanouir individuellement

qu’on ne croit pas en dieu, en une religion, que l’on ne croit en rein. Même l’athée qui ne croit pas en une religion a des croyances. La croyance n’est donc pas que religieuse. Au contraire, tout homme peut croire en une valeur, une personne, une idéologie,… Les scientifiques sont nombreux a ne pas croire en la religion mais est-ce pour autant qu’ils ne croient en rien ? Bien sûr que non, ces gens croient en leurs idées, leurs objectifs. Pour avancer dans la vie, l’homme se doit donc d’voir un objectif

défensive pour sauver le sol de la mère-patrie, de défendre la civilisation contre la barbarie, la paix universelle, mais aussi leur famille. Les défections au combat se produisent mais sont rares et les mutineries de 1917 ne relèvent pas du pacifisme (idéologie ou ensemble d'actions qui ont pour objectif de défendre la paix et donc de refuser la guerre.). La brutalité des combats et la place grandissante de la propagande développent rapidement une image très négative de l'adversaire, qui est relayée par

croyance comme illusion et idéologie. Science : Etat de connaissance véritable qui libère l’homme de ses servitudes. Foi : adhésion confiante et aveugle à des dogmes établis qui répondent à un besoin psychique pathologique et relèvent de l’illusion régressive (Freud, L’Avenir d’une illusion p 30-33), ou répondent à l’intérêt de la classe sociale dominante et relèvent de l’idéologie aliénante pour les classes sociales dominées (Marx, L’idéologie allemande). Idéologie : Croyance selon laquelle

comme une menace pou les sociétés occidentales. La deuxième cause de l’islamophobie a un rapport avec les réactions aveugles de ceux qui prennent par la force le nom d’Islam et commettent des actes terroristes. Ainsi, il existe comme raison de cette idéologie la fameuse provocation de Ratisbonne le 12 août 2006 initiée par le pape Benoît XVI, qui cita un propos de l’empereur Manuel II Paléologue énonçant que le «prophète de l’islam n’avait rien apporté que de mauvais et d’inhumain», mais le Coran a apporté

comparaison des systèmes totalitaires permet-elle de révéler des points de convergence et de divergence entre les régimes soviétique, fasciste et nazi ? Des crises profondes et multiformes sont à l’origine de ces dictatures singulières. Les idéologies qui assurent leur fonctionnement présentent, par-delà les disparités, le même projet de fonder une société nouvelle. Les mécanismes du pouvoir reposent tout d’abord sur le rapport entre le dictateur, le parti unique et l’Etat, puis sur

est installée Union Soviétique et toutes les démocraties populaires: régime d'Europe où le Parti Communiste a accédé au pouvoir entre 1945 et1949. Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie, R.D.A., Roumanie, Bulgarie, Yougoslavie, Albanie, Chine (1949). Idéologie Libéralisme: système de capitalisme libéral Communisme. Création du Kominform en 1947. (PC italien et PC français n'appartiennent pas au Kominform mais y sont invités). Economie Mise en place de vaste ensemble : Organisation Européenne de Coopération