Idolâtrie

royalistes (l’Ouest et le Sud,) mais aussi en Algérie et en Rhône-Alpes, régions assez antisémites. Mais l’essor de ce mouvement connaitra plusieurs coups d’arrêt. Notamment le principal lorsqu’en 1926, le Vatican condamne le mouvement pour statolâtrie (idolâtrie de l’Etat) et pour rationalisme. Charles Maurras qui se dit athée et qui trouve le catholicisme insupportable considère cependant l’Eglise comme un point d’appui naturel de la société, comme un corps intermédiaire nécessaire. En 1936, deuxième coup

me sens émouvoir. Voit−on des procédés qui soient pareils aux vôtres ? Je ne prends point de part aux intérêts des autres ; Mais Monsieur, que chez vous fixoit votre bonheur, Un homme comme lui, de mérite et d'honneur, Et qui vous chérissoit avec idolâtrie, Devoit−il... ? Alceste Laissez−moi, Madame, je vous prie, Vuider mes intérêts moi−même là−dessus, Et ne vous chargez point de ces soins superflus. Mon cur a beau vous voir prendre ici sa querelle, Acte V 85 Le Misanthrope Il n'est point

vaillance ? Eût-elle du dragon trompé la vigilance ? Ce peuple que la terre enfantait tout armé, Qui de vous l’eût défait, si Jason n’eût aimé ? Maintenant qu’un exil m’interdit ma patrie, Créuse est le sujet de mon idolâtrie ; Et j’ai trouvé l’adresse, en lui faisant la cour, De relever mon sort sur les ailes d’Amour. Pollux Que parlez-vous d’exil ? La haine de Pélie… Jason Me fait, tout mort qu’il est, fuir de sa Thessalie.

néglige ce trait majeur de la dynamique des symboles, y compris des plus mythiques d’entre eux : « tout symbole est iconoclaste par rapport à un autre, de la même façon que tout symbole livré à lui-même tend à s’épaissir, à se solidifier dans une idolâtrie. Il faut donc participer à cette lutte, à cette dynamique, par laquelle le symbolisme est luimême en proie à son propre dépassement par une herméneutique spontanée » 32. Le rapport au symbole 33, cette citation l’attesterait clairement, si besoin

pas pensée est mécanisme, ou encore mieux, que ce qui n’est point pensée est corps, c’est-à-dire chose soumise à ma volonté ; chose dont je réponds. Tel est le principe du scrupule. […] L’inconscient est une méprise sur le Moi, c’est une idolâtrie du corps. On a peur de son inconscient ; là se trouve logée la faute capitale. Un autre Moi me conduit qui me connaît et que je connais mal. […] On s’amuse à faire le fou. Tel est ce jeu dangereux. On voit que toute l’erreur ici consiste à gonfler

parenté de l’esprit était seule à l’origine de la relation amicale, elle donnerait lieu à la parfaite réciprocité des sentiments et à l’égalité de statut. Balzac montre très clairement que ce n’est pas le cas : « [...] l’un des deux aimait avec idolâtrie, et c’était David. Aussi Lucien commandait-il en femme qui se sait aimée. David obéissait avec plaisir » (p. 146). L’auteur ajoute tout de suite après ce qu’il faut considérer comme une explication de ce déséquilibre amical : « La beauté physique

leur sœur, suis ton devoir comme eux. Contre ce cher époux Valère en vain s’anime : Un premier mouvement ne fut jamais un crime ; Et la louange est due, au lieu du châtiment, Quand la vertu produit ce premier mouvement. Aimer nos ennemis avec idolâtrie, De rage en leur trépas maudire la patrie, Souhaiter à l’état un malheur infini, C’est ce qu’on nomme crime, et ce qu’il a puni. Le seul amour de Rome a sa main animée : Il serait innocent s’il l’avait moins aimée. Qu’ai-je dit, sire ? Il l’est

mon amour, qu’eût fait votre vaillance ? Eût-elle du dragon trompé la vigilance ? Ce peuple que la terre enfantait tout armé, Qui de vous l’eût défait, si Jason n’eût aimé ? Maintenant qu’un exil m’interdit ma patrie, Créuse est le sujet de mon idolâtrie ; Et j’ai trouvé l’adresse, en lui faisant la cour, De relever mon sort sur les ailes d’Amour. Pollux Que parlez-vous d’exil ? La haine de Pélie… 14 Jason Me fait, tout mort qu’il est, fuir de sa Thessalie. Pollux Il est mort ! Jason Écoutez

sois leur sœur, suis ton devoir comme eux. Contre ce cher époux Valère en vain s’anime : Un premier mouvement ne fut jamais un crime ; Et la louange est due, au lieu du châtiment, Quand la vertu produit ce premier mouvement. Aimer nos ennemis avec idolâtrie, De rage en leur trépas maudire la patrie, Souhaiter à l’état un malheur infini, C’est ce qu’on nomme crime, et ce qu’il a puni. Le seul amour de Rome a sa main animée : Il serait innocent s’il l’avait moins aimée. Qu’ai-je dit, sire ? Il l’est,

remplacer par …………………………………….ou une……………………………………………..……………. Dans les sociétés anciennes, c’est la loi du ……………………………… qui domine : Oeil pour oeil, dent pour dent. Les motifs de mise à mort sont nombreux : meurtre, rapt en vue de mise en esclavage, idolâtrie, sorcellerie, non observance des lois rituelles, …………………………………………, inceste, sadisme, bestialité, prostitution. L’une des méthodes les plus utilisées est la …………………………………………., qui permet à l’ensemble de la communauté de participer à l’exécution