Idée Principale Du Texte Du Spinoza

chaque homme doit s’incliner car il lui doit, au fond, l’essentiel de son humanité. Communauté et société Mais nous ne raisonnons plus ainsi aujourd’hui. Rappelons tout d’abord que la  cité  n’a pas toujours existé, et qu’elle ne coïncide plus avec ‘idée que nous nous faisons de l’Etat. La cité était une  structure de dimensions  réduites : on peut imaginer que chacun pouvait effectivement se sentir lié à tous. Lorsqu’ Aristote présente la cité comme un fait de nature , il la conçoit comme une entité

substances »1, comme il l'indique à la dernière ligne du paragraphe. Nous verrons dans le paragraphe 53 que toutes ces choses sont des qualités ou des attributs de l'essence de ces substances. Il y a encore quelque chose que l'on peut déduire de ce texte sur la représentation cartésienne de Dieu et qui provient de sa définition de la notion de dépendance à la ligne 7, en tant que quelque chose « qui n'a besoin que de soi-même pour exister »2. En effet, on ne peut concevoir qu'une chose qui réponde

arguments en faveur de l’existence de Dieu 12 a. L’argument d’autorité 12 b. Pas de création sans créateur 12 c. L’ordre du monde 12 d. La preuve par le désir 13 e. L’argument ontologique 13 3. La foi et la raison (Spinoza) 16 4. Les limites de la raison (Pascal, Kant) 17 5. Vivre et connaître (positivisme, Russell, Freud) 20 B. Le problème du mal 22 1. Le mal n’existe pas 23 a. Le mal n’existe pas 23 b. Le mal est la condition du bien

même, bref, par l’apparence. • Un aspect positif (!) : Le sujet de l’illusion est de bonne foi dans ce qu’il affirme. Il croit et il est sincère. Et de cette croyance, il tire en général une énergie, voire un certain acharnement à affirmer son idée fausse. L’illusion se définit donc à partir de l’ignorance. Mais celle-ci est double, car ce n’est pas un simple défaut de connaissance. En plus, ce défaut est méconnu. L’illusion est double dans le sens où elle ignore la vérité ; et de surcroît

il sera inscrit dans la liste des manuscrits interdit par l'Eglise Catholique. Cadre polémique: Les penseurs politiques et les philosophes ont discouru sur l’oeuvre de Machiavel, certains, comme Spinoza ou Rousseau, y ont vu un conseil s’adressant aux hommes. D'autres,ont considéré l’écrit comme un texte immoral et détestable et de ce fait un fort anti-machiavielsme s'est développé. Nicolas Machiavel est un philosophe italien du XVIème siècle.Machivel est un homme politique avant tout, en effet

SATIRE). Il vit plutôt isolé du monde et ne connaît pas les pratiques et coutumes des autres peuples. Gulliver lui révèle la puissance de la poudre à canon et les soldats vont en faire et s’en servirent mais le roi refuse car il est horrifié de cette idée. Cette réaction vient de son IGNORANCE « ces peuples n’ayant pas encore réduit la politique en art, comme l’on fait les européens dont l’esprit est plus subtil ». Ce qui est condamné est l’usage d’une technique rationnel de la politique en art (science)

Le bonheur est une question centrale en philosophie : on ne peut pas comprendre les démarches des grands philosophes si on ne saisit pas leur rapport au bonheur. Cela n’a rien d’étonnant, car comme l'a montré Aristote (cf texte en fin de cet article -toute allusion à un philosophe dans cet article renvoie aux textes joints), le bonheur est avant tout le but poursuivi par tout homme (dès qu’il se donne une fin propre). En effet, pourquoi travaille-t-on sinon pour gagner de l’argent ? Et pourquoi veut-on

sera religieux ou ne le sera pas ». Il y a donc une Essence/ un fondement. Quelle est l'essence de la religion ? =>Ce n'est pas l'idée de dieux qui constituerait l'essence de la religion. Car l'idée de Dieu, d'un seul Dieu = monothéisme est une idée relativement récente. Première forme de monothéisme : ancien testament CAD la Bible. 800 Av JC. Il y a des religions sans Dieu, donc le dieu n'est pas l'essence de la religion, exemple : Animisme, Astrolâtrie, Zoolâtrie. Religion en Asie, comme

recentrer le monde, le savoir autour de l’homme, c’est la philosophie qui va considérer que l’homme est métaphysiquement libre. Ce qui définit l’homme c’est sa capacité à se détacher de tous les déterminismes. Au XXème siècle, Sartre reprend cette idée dans une conférence « l’existentialisme est un humanisme », « l’existence précède l’essence » le fait de vivre est une réalité plus importante que le fait d’avoir une hypothétique nature qui nous obligerait à nous comporter d’une certaine façon.

savoirs OU BIEN faut-il mettre au centre de l’histoire de la science certaines ruptures révolutionnaires ? I) La vérité : Une affirmation conforme à la réalité Selon Spinoza le critère de la vérité ou de la fausseté de quelque chose correspond à « L’accord ou le non-accord d’une idée avec son objet » · La vérité veut objective . Elle porte sur des jugements de fait (observation neutre et objective) et non sur