Il Faut Cultiver Son Propre Jardin

pas lieu (l.27) → Voltaire se moque des contes de fées par cette remarque → L'intrigue amoureuse n'est qu'un prétexte. C) La morale L'expression « il faut cultiver notre jardin » est prononcée par Candide et par Martin sous une forme différente (l.21-22 et 37). Un sens métaphorique peut en être dégagé → il faut cultiver son être propre . II) La conception du bonheur A) L'utopie du conte Après avoir présenté l'utopie de l'Eldorado, pays merveilleux, le narrateur compose lui une utopie

gens. Ainsi que ses pensées sont faites en fonction de Pangloss, donc il n'a pas sa propre personnalité. « Le grand homme ! C'est un autre Pangloss ». Certes on remarque aussi que malgré les évènements qu'il connut il reste attaché à ses idées ou plutôt les idées que Pangloss lui a enseigné tout en ayant quelque fois des doutes étant qu'au il de l'histoire il se rend compte que tout n'est pas bien et se forge sa propre opinion à la fin, on le voit «mûrir» : «C'est bien dommage que le sage Pangloss ait

pied, si vous n’aviez pas donné un bon coup d’épée au baron, si vous n’aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d’Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. » Analyse : Dans cet extrait, c’est le précepteur Pangloss, l’ancien oracle de la maison de Candide qui parle. Puis, Candide, le personnage principal de l’histoire et éponyme conclut le discours de Pangloss par une simple phrase qui

toutes les belles paroles de son tuteur, le philosophe Pangloss. Au fur et à mesure que le temps passe, Candide vit ses propres expériences et rencontre de nouvelles personnes avec des avis différents. Il se forge ses propres opinions, se rend compte que Pangloss n'a pas réellement raison que tout n'est pas pour le mieux, dans le meilleur des mondes mais qu'il faut cultiver notre jardin. Avis personnel Ce livre en un conte philosophique de Voltaire dans lequel il critique l'esclavage, la débauche

plantes Pablo Servigne – Le mal s’est généralisé au point qu’on prétend aujourd’hui promouvoir une agriculture durable, comme si une agriculture digne de ce nom pouvait être autre chose que durable 1. – Cela est bien, dit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. L es pays développés sont ceux qui n’ont presque plus de paysans2. En passant à un système agricole industriel, ce que nous avons gagné en efficacité à court terme, nous l’avons perdu en diversité, souvent en qualité et surtout en

énumération récapitule ce que candide a fait, on dirait qu'il a fait énormément de choses =_______statut de héros, il n'est plus naïf, il a vécu beaucoup d'aventures et il a surmonté les obstacles.___♣ l.170 à 172 ≈ maxime, proverbe (phrase courte + « il faut » = obligation) → le conte est un apologue avec une morale ; or cette phrase sonne comme une morale, donc on a bien affaire à un conte. 3) La fin d'un roman initiatique. ___♠ Le personnage central est Candide, il ressort de cette fin de conte : l

| | | | | |Un sage leur conseil le travail, et Candide conclu: «il faut cultiver son jardin» | | | | |Analyse des personnages |Candide: Protagoniste du conte

retrouve Cunégonde et la Vieille. Cependant, son amoureuse est devenue laide et acariâtre. Candide respecte tout de même ses engagements et décide de l’épouser. Candide achève enfin son voyage. La morale du récit du jeune candide est qu’il faut : « cultiver notre jardin ». III. Personnages principaux : i. CandidePortrait morale l.2-5 p.11Candide n’est pas décrit physiquement. Nous savons seulement qu’il « avait le jugement assez droit, avec l’esprit le

voltaire 8.3 Analogie externes Contexte politique[modifier] « conséquemment un excellent dîner, on entra dans la bureau ». lors de la parution, voltaire vit dans la nature des Délices à genève, avéré « demeure d’un philosophe avec les jardins d’épicure »5. Deux cas l’ont récemment bouleversé : le spasme de glèbe de lisbonne du 1er novembre 1755 et le début de la cataclysme de Sept Ans (1756) qui lui insinuer cette réflexion : « Presque toute l’histoire est une aboutissement d’atrocités

oiseaux (« quantité de hérons et d’acyons et autres oifeaux »), que « le pays étoit habité », et qui rencontrent également les premiers habitants (« un vieillard et un jeune homme ») alors qu’ils « cultivoient un petit jardin ». Ainsi, que le premier homme que rencontre Alcofribas cultive des choux fait bien évidemment sourire le lecteur ! Mais ce qui le fait sourire davantage est bien sur qu’au lieu des monstres marins et autres choses étranges qui ponctuent de récit de Lucien de Samosate, le lecteur