Illusion Comique Baroque

t. Personnage énigmatique et ridicule, celui qui se désigne lui­même comme un détective privé présente le cadre spatio­temporel de la pièce et amorce l'intrigue en annonçant qu'un crime va avoir lieu. Cependant, ce monologue inaugural, à la fois comique et singulier, joue sur les conventions théâtrales et a de quoi laisser perplexe. Comment remplit­il sa fonction d'exposition de façon déroutante ? Nous verrons tout d'abord en quoi la présentation de Dubois­ Dupont peut sembler artificielle. Nous étudierons ensuite les effets produits par

l’effet sera prenant. Il n’y fait guère attention et insiste sur le fait qu’une dame de qualité lui fait l’honneur de sa présence pour le déjeuner. Il désire que le tout soit parfait pour sa venue et insiste pour qu’il ne soit pas en retard. Dans ses illusions de noblesse, il se laisse, une fois de plus, envoûté par ses maîtres de musique et de danse pour qu’il fasse comme les honnêtes gens en donnant des spectacles comme ceux-ci toutes les semaines. En fait, le tout repose sur des apparences auxquelles

....................7 L'essor de la prose narrative (1530-1570)...............................................................................................8 La sensibilité baroque (1570-1650)........................................................................................................8 Contradictions du baroque, genèse du classicisme (1610-60).................................................................9 L'esthétique littéraire :..................................................

.procédés de décalage -héros-comique (animaux qui se battent) -tragique → pitié/terreur devant des situations où les personnages sont victimes de fatalité et de malheur .lexique de la fatalité/du destin/ du désespoir/ du malheur/ de la douleur/ de la mort/ du néant .figures d'insistance sur gravité et caractère terrible de la situation .interjections, exclamations, interpellations .termes avec l'idée d'accablement et d'impuissance Mouvements littéraires: Le baroque (1610-1660) : Poésie, Roman,

artifice et sans idéalisation, qui nous offrent une grande dose de vérité et vraisemblance – un vrai réalisme en propres termes. Ainsi, il est très facile de prendre pour une vraie réalité ce qu’on lit, de se nourrir de la fiction, de se faire des illusions et les prendre comme réelles lorsqu’elles sont tellement semblables ou presque correspondantes à notre réalité. De pareille façon, il se laissait tromper notre rêveur idéaliste, le fantasque, don Quichotte qui à cause de sa lecture chevaleresque

|Cependant, cette dimension presque comique n’exclut pas une certaine gravité lorsque la réflexion porte sur l’« humaine | | |condition ». Ainsi, l’emploi de l’indéfini « on » invite l’ensemble des hommes à s’interroger sur la valeur de la vie, à se | | |demander si, comme pour les poètes baroques, tout n’est pas une vaste et nécessaire « illusion ». Le terme est d’ailleurs mis en| |

préjugés stupides et une critique audacieuse de la noblesse. a. La mère de Candide - abandonne son fils - préfère le paraître aux qualités humaines - noble prétentieuse et cruelle b. le baron - organise la vie au château sur des illusions - puissance dérisoire (lieu de vie) - il se croit riche et puissant : il est ridicule c. Pangloss Il n’est pas décrit physiquement mais par la parole. Son activité est ridicule. Il utile un discourt scientifique : suite logique, cherche

romancier retravaille et modèle la réalité en fonction de sa vision du monde : le miroir qu'il utilise pour refléter le monde réel est, par essence, déformant. L'idéal d'objectivité et de description scientifique du monde apparaît alors comme une illusion. Même Zola, par son style, son talent d'écriture, la portée symbolique de ses descriptions, tire son œuvre vers le mythe. La citation : « Ah ! sachez-le : ce drame n'est ni une fiction, ni un roman. All is true, il est si véritable, que chacun

4ème année Programme de littérature française III 4ème année Guide pour le contrôle de connaissances 1.Humanisme et Renaissance. L’École lyonnaise. Rabelais. (p.2) 2.La Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la

personnage… • En fait, les romanciers tentent de construire des cadres pour leurs personnages et pour bâtir une action, et il se peut que le lecteur voie la chose à l’envers : il perçoit dans le personnage le produit de l’univers qui l’entoure → illusion littéraire de réalisme, qui est nécessaire pour que le roman intéresse, en persuadant le lecteur qu’il a affaire à un univers réel. • Mais au fond, du point de vue de la création littéraire, on pourrait dire que la société dans un roman est faite