Illusion Comique Baroque

peinture : La Joconde de Léonard de Vinci LE BAROQUE Dans la seconde moitié du 16ème siècle, le conflit entre catholiques et protestants, la faiblesse du pouvoir royal, la découverte d'un univers dont l'homme n’est plus le centre favorisent une nouvelle sensibilité : le baroque. Face aux difficultés et incertitudes du temps, les auteurs et les artistes semblent trouver un nouveau sens dans la fantaisie et l'exubérance des formes. Le mot « baroque » vient en effet de l'espagnol « barroco » qui

tentent de construire des cadres pour leurs personnages et pour bâtir une action, et il se peut que le lecteur voie la chose à l’envers : il perçoit dans le personnage le produit de l’univers qui l’entoure www.annabac.com © H A T I E R 2009 → illusion littéraire de réalisme, qui est nécessaire pour que le roman intéresse, en persuadant le lecteur qu’il a affaire à un univers réel. • Mais au fond, du point de vue de la création littéraire, on pourrait dire que la société dans un roman est faite

judiciaires. Les excès du chauvinisme. Il entend défendre les petites gens contre les « décadents » de tout poil. Il se méfie du « progrès ». Il a un côté chansonnier, anarchiste de droite. Mais il se montre soudain un étonnant poète. Seul auteur comique « rescapé », il passe, de son temps, pour le meilleur. Onze pièces sur quarante deux nous sont parvenues dont : Les guêpes (-422) : la manie athénienne de la procédure. Racine en fait Les Plaideurs. Le théâtre grec nous est parvenu atrocement

partir de ce matériau d'abord très circonscrit. Le texte est en effet comme un plumage: la matière y est presque toujours semblable, mais l'auteur la fait chatoyer, l'irise, varie les teintes et les nuances. Fidèle aux principes d'une esthétique baroque, le moraliste joue des séductions combinées de l'ostentation et du mouvement. Le caractère de Ménippe semble soumis à des changements permanents, en dépit de l'invariance des traits de sa personnalité. C'est parce que Ménippe n'existe que sous

convoquent le sonnet pour exprimer la nostalgie mais aussi livre une satire de la cour romaine. Le 17éme siècle : Le Baroque : A l'origine, le terme « baroque » vient du portugais « barroco » (1563) qui désigne en joaillerie une perle irrégulière. Très rapidement le sens figuré d'étrange, de bizarre voire de choquant entre en usage. Après la Seconde Guerre mondiale, on parle de mouvement baroque pour désigner la littérature sous les règnes d'Henri 4 et de Louis 13. Cela se caractérise par une exubérance

pivots grâce auxquels on peut l’incliner), puis sourire énigmatique : jeu dans le miroir, se regarde avec une certaine satisfaction, ce que l’on perçoit d’elle n’est qu’un reflet dans le cadre sophistiqué d’une psyché sur sa coiffeuse, c’est-àdire une illusion. Sourire initial : pas clair : satisfaction de se contempler ou plaisir coquin ? (souvenir d’une aventure, elle sort du lit, désir assouvi)… A comparer avec la séquence finale où Merteuil est à nouveau devant la glace, on verra les effets de symétrie

problématique + annonce du plan Plan en deux ou trois parties et deux ou trois sous-parties. Conclusion (récapitulatif du plan et de son contenu, ouverture sur une autre question)I/ La pièce (médiocre) dans la pièce 1) Une parodie du tragique et du tragi-comique classique : des rimes d’abord disposés de manière désordonnées (souffrir/pensées/destinée/mourir = rimes embrassées ; puis mélancolique/alarmés/soupire/assez = tentative maladroite de rimes croisés ; puis Philis/Tircis/bonheur/cœur = rimes suivies ;

question de l’Homme dans les genres de l’argumentation Introduction – fables La première moitié du 17ème siècle voit l’avènement du style baroque, coincidant avec une instabilité politique, religieuse, la fronde… Le baroque fait preuve de goût pour l’illusion, les apparences, pour le mouvement, et rappelle la fragilité de la vie. On peut trouver dans le baroque un certain goût pour la métaphore, la préciosité(qui d’ailleurs au départ était un mouvement respectable avant d’être tourné en dérision

manquer à ma parole et à la foi que je t’assure, je prie Dieu que pour ma trahison la mort me soit donnée par un homme… mort, car des mains d’un vivant, que Dieu m’en préserve ! ». On retrouve ici la manifestation d’une vision baroque du monde : le monde terrestre est illusion, apparence, Dieu seul est vérité. C’est précisément en prenant DJ au pied de la lettre que Dieu imposera cette vérité à travers le châtiment du Burlador. Pour séduire, DJ tient un discours de domination et de désir, qu’il

«grotesque ballade» pourrait n’être pas négatif car, si, d’une part, «grotesque» signifierait «ridicule», suggèrerait la mort de la poésie, d’autre part, il désignait pour Baudelaire une notion «moderne» qu’il revendiquait, qu’il appelait aussi le «comique absolu», parce que, tout en montrant à l’humain sa propre laideur physique et morale, elle recèlerait un élément insaisissable du beau. - Ni les plaisirs charnels (vers 9 à 12), ce roi de France (son lit est «fleurdelisé», orné de la fleur de Lys