Illusion Groupale

la réalité revient à dire que, puisque l’homme vit dans la réalité, son désir est une éternelle insatisfaction. Cela ne nous amène-t-il pas à dire que le désir est alors condamné à n’être réalisé que dans l’imaginaire et semble donc lui-même une illusion ? Ne faut-il donc pas reconsidérer le désir de façon à ce que même libre il puisse se satisfaire de la réalité ? En vérité, pour que le désir puisse se satisfaire de la réalité, il s’agit de dépasser sa vision égocentrique du désir qui demande

bonheur est un fantôme, une illusion, qu'il faut absolument combattre et les hommes doivent renoncer à l'idée d'une satisfaction durable parce que cette réalité est impossible, irréelle. Le bonheur est une idée due à notre imagination. Schopenhauer c'est LE philosophe de l'anti eudémoniste. Le bonheur est une quête (une idée et une réalité) pour les eudémonistes. Ce qui rend cette définition totalement illusoire c'est que le désir chez Schopenhauer est lui-même une illusion. « Les hommes sont

pouvaient changer (ce qui est un défaut commun des hommes, de ne pas tenir compte, dans la bonace, de la tempête), quand vinrent ensuite des temps contraires, ils pensèrent à fuir et non à se défendre » (XXIV).  En somme, la paix constitue une illusion politique, aux effets funestes, parce que le prince se croit plus fort et mieux entouré qu’il ne l’est en fait. Machiavel ne croit pas aux rêveries de paix universelle. Au nom d’un réalisme qui envisage la guerre comme un moment normal et inévitable

 COURS 2 Leçon 1= LE MOI N’EST-IL QU’UNE ILLUSION? I-.Une identité illusoire «Traité de la nature humaine » = HUME Thème : L’existence du MOI Problème : L’existence du Moi est-elle illusoire ? identité= unité + permanence thèse des adversaires : on peut avoir la certitude de l’existance du moi ils en on tout simplement conscience preuve= nous avons conscience de nous même, la conscience nous donne immédiatement l’idée de ce moi mouvement réflexif de la conscience

Peut on vivre sans illusions ? Peut-on vivre sans illusion ? Cette question évoque la possibilité réelle et morale de vivre au sens d'être épanoui avec des illusions, sachant qu'une illusion c'est le fait de prendre une perception erronée pour la réalité, c'est l'adaptation des désirs par rapport à la réalité. Notre problématique sera de savoir si nous pouvons vivre dans un monde totalement réaliste, dans lequel il n'y aurait pas d'illusions. Nous verrons tout d'abord qu'en effet il est

recherchée, notamment pour sa nature divertissante : lors de spectacles de magie par exemple, ou pour son esthétisme : la qualité de facture des illusions d'optique. Dans ces cas, le sujet sait qu'il est dans l'illusion, mais la manière dont elle est façonnée l'intrigue, le fascine. D'autre part, l'on perçoit bien à travers des expressions tel que « douce, tendre illusion », « caresser l'illusion » ou encore « se bercer d'illusion » que celle ci ne possède pas uniquement des connotations péjoratives mais entretient

spectacle de la jeune fille qui est entrain de danser dans le vaste espace laisse libre entre la foule et le feu. Il croit voir une déesse, une nymphe, une créature supérieure mais au moment ou il voit la pièce de cuivre jaune qui se détacha, toute illusion disparue. On essayera de répondre à la problématique suivante : Comment ce premier portrait de la belle gitan engage-t-il le lecteur dans l’intrigue du roman ? On divisera notre analyse en deux parties, l’émerveillement de Gringoire avec trois sous

d’abords sur nos observations tirés de nos expériences. Ces observations sont donc le fruit de nos sens. De ce fait, il paraîtrait évident que la science connaît le réel car nous avons l’impression que ce que nous percevons est réel. Or c’est une illusion de considérer comme seul réalité celle que l’on voit par les sens. Nous sommes prisonniers de nos perceptions puisque nous n’avons pas la capacité d’aller au-delà. Ce qui fait de nous des ignorants. Et l’ignorance n’est pas compatible avec la science

qui, fatalement, lui échappe ? I- La législation de l’inconscient. II- Problèmes éthiques posés par la notion de fatalité III- L’homme demeure un individu libre en dépit de la notion d'inconscient ’’Est illusion le leurre qui persiste même quand on sait que l’objet supposé n’existe pas.’’ Kant dévoile ici la part de simulacre dans l’illusion en la qualifiant de ’’leurre’’. En effet, l’illusion, du latin ’’illudere’’, est une tromperie qui semble se jouer

la liberté tend à être acquise par l'ensemble des individus. Or, si l'homme a le sentiment de la liberté et s'il agit comme s'il était libre, l'est-il réellement ? Selon le philosophe Spinoza, la liberté telle que la conçoit l'homme n'est qu'une illusion; elle n'est que la simple marque de son ignorance des causes qui le déterminent. Dans un premier temps, l'auteur expose le principe d'un déterminisme universel qui régirait tout objet de notre monde. Puis, il affirme que n'ayant pas conscience