Image Henri Cartier Bresson

quelque chose à une époque où les trois agences de photos les plus réputées - Gamma, Sygma et Sipa - appartiennent désormais à des conglomérats[2] ? A-t-il encore un sens au temps du numérique et de l’Internet où, en quelques minutes, n’importe quelle image saisie par n’importe quel quidam se trouvant « au cœur de l’événement » peut faire la une des médias du monde entier, voire susciter lui-même « l’événement »… Veut-il encore dire quelque chose aujourd’hui, où plutôt que d’envoyer leurs propres reporters

FIGURATION ET IMAGE I. Introduction à l'histoire du portrait 1.1 Antiquité : naissance du portrait Dans l'Antiquité, la représentation de l'individu était liée aux croyances religieuses. Le portrait a essentiellement une fonction de substitution ou une fonction funéraire. Fonction de substitution Dès le IIIe millénaire av.J-C, on plaçait des statuettes à l'effigie de fidèles autour de la statue d'un dieu, afin qu'elles entretiennent un culte permanent. Ces statues ont les yeux grands

manière de dénoncer et de témoigner d’un évènement historique qu’est une guerre. Introduction L’importance et les effets de la photographie de guerre dans la société La photographie se définit comme une technique permettant d’obtenir une image permanente par l’action de la lumière sur une surface sensible ou par mémorisation de signaux numérisés provenant de la conversion de rayons lumineux captés par des cellules photosensibles. Moyen de communication, outil scientifique, forme d’expression

Lasuli venu du Pakistan, du rouge etc…  emotion esthétique par cette beauté des couleurs (Le problème de l’incroyance au XVI eme siècle : la question de l’athéisme naît au XVI eme) d’où la question : Arts mécaniques : lorsqu’on peut produire une image sans passer par le corps-à-corps de la peinture / sculpture. Pourquoi ce paysan a-t-il plus une émotion esthétique que le gamin que l’on traîne au musée ? Plus d’entrées pour bienvenue chez les chtis que à l’exposition Dali) : incroyance en

Transactions.indbDE LA PHOTOLITTÉRATURE Jean-Pierre Montier Les articles que le lecteur trouvera ici exposés à sa sagacité sont le fruit d’un travail qui n’aurait pas tout son sens s’il ne cherchait à innover, et qui ne saurait non plus produire quelque nouveauté sans être lui-même en évolution. C’est pourquoi il faut commencer par situer ces travaux d’une part au regard de la continuité qu’ils assument avec les précédentes recherches, et d’autre part en fonction des innovations qu’ils tentent

............................... 34 III.B. UNE TROISIEME IMAGE DEVOILEE ..................................................................................................................................................... 36 III.B.1 LE MONTAGE .................................................................................................................................................................................. 36 III.B.2 L‟IMAGE-CHARNIERE – UNE LECTURE DYNAMIQUE.......................

Grâce aux résultats des travaux du Laboratoire d'essais de la Fnac, qui analyse et critique en toute indépendance et en toute transparence les produits, ils connaissent parfaitement le matériel qu'ils proposent. • L'innovation Fidèle à son image de défricheur de nouvelles technologies, la Fnac a toujours présenté en avant-première les techniques ou les produits innovants. Elle a ainsi été la première en France à présenter le Compact Disc en 1982, le CD vidéo et le cédérom. La Fnac défriche

sa géographie interne. Elle joue un rôle fondamental car elle hiérarchise la vision, elle oriente la lecture de l’image. Quelque soit l’image (dessin, tableau, image synthèse...), la composition respecte ou heurte les conventions de son époque. Il faut être conscient que le regard du spectateur ne saisie jamais globalement une 8 image, il suit ce que Paul Klee (peintre allemand) appelle «les chemins qui lui ont été ménagés dans l’œuvre». George Péninou qui a étudié l’image publicitaire, dit que

grimpe sur les toits d’un bâtiment, qui est alors quasiment en ruine et dont la coupole est en feu. Il y réalise une série complète de photographies mises en scène, dans des conditions particulièrement dangereuses. Il retient pour la publication une image à la symbolique forte : ce sera l’image de sa vie. Rentré à Moscou la nuit même, Khaldei se rend à l’agence Tass pour avoir l’autorisation de publication. Palgounov, le rédacteur de l’agence, remarque immédiatement que l’officier qui assure l’équilibre

qui deviendra bientôt le Comité de vigilance des intellectuels antifascistes (CVIA). Le texte est signé par l’ethnologue socialiste Paul Rivet, professeur au Muséum d’histoire naturelle, le philosophe radicalisant Alain, ancien professeur au lycée Henri‐IV, et le compagnon de route du parti communiste Paul Langevin, physicien et professeur au Collège de France. Dès le mois de mai, le manifeste est signé par deux mille trois cents intellectuels. À la fin de 1934, le CVIA revendique six mille membres