Imagination Lucrèce

d’une bonne famille de province, sème une joyeuse pagaille dès son arrivée à Paris. Constamment il s’invente des personnages, se prête des sentiments, s’arroge des passés glorieux et joue avec la même sincérité tous les rôles que lui dicte son imagination féconde. La plus rocambolesque des comédies de Corneille. Trois scènes utilisables en classe : 1. (9’04 à 12’06) Acte I, scène II : séduisant menteur. 2. (16’10 à 19’14) Acte I, scènes V et VI : Dorante fabule. 3. (52’20 à 55’07) Acte III,

l'ambition de Vilar puis Vitez d'un théâtre qui réussisse à être "élitaire pour tous". Plus de vingt ans après son aîné, Vitez devient à son tour l'un des principaux metteurs en scène de Hugo au XXe siècle, avec Les Burgraves (1977), puis Hernani et Lucrèce Borgia (1985). 1 Pour une histoire plus complète de la mise en scène contemporaine du théâtre de Hugo, je me permets de renvoyer à ma thèse, La mise en scène contemporaine du théâtre de Victor Hugo, sous la direction de Anne Ubersfeld, Université

l’amour débute donc par une transformation. Dès que le sujet commence à s’intéresser à une femme ou à s’en occuper dans son esprit, il ne la voit plus telle qu’elle est réellement mais telle qu’il lui convient qu’elle soit. Par son imagination le passionné modifie l’objet de sa passion, le transfigure, l’embellit, le magnifie, le rend exceptionnel. On parlera alors, en ce sens de la valorisation de l’objet qui consiste à affecter à l’être aimé des qualités, des perfections qu’en réalité

jour un tout indivisible […] Un livre multiple résumant un siècle, voilà ce que je laisserai derrière moi69 » Victor Hugo a pratiqué tous les genres : roman, poésie, théâtre, essai, etc. – avec une passion du Verbe, un sens de l'épique et une imagination féconde70. Écrivain et homme politique, Victor Hugo n'a jamais cherché à opérer une distinction entre son activité d'écrivain et son engagement71. Ainsi mélange-t-il intimement, dans ses œuvres de fiction, développement romanesque et réflexion politique72

Avant propos : la philosophie, le maître et la vie Il raconte tout d’abord sa « rencontre » avec Lucrèce (philosophe-poète latin du Ier siècle av. J.-C). Il ne savait pas grand-chose de lui, sauf qu’il vivait à Rome. Il raconte qu’arrivé dans la capitale italienne, sur les ruines du forum romain, il eût une grande déception puisqu’il n’y avait pas grand-chose. Il a donc dû se contenter de son imagination. On peut même croire, qu’avec la chaleur présente le jour de sa visite, il eût beaucoup d’imagination

réellement un terme difficile à définir, notamment du fait que personne ne se trouve dans cet état de plénitude absolu. C’est donc un terme abstrait, dans le sens où personne ne sait réellement ce que c’est. Lucrèce a dit « l’homme est un malade qui ne connait pas la cause de son mal ». En effet, Lucrèce souligne ici le fait que l’homme est malade car il n’est pas heureux. Et il n’est pas heureux car personne ne l’est. On ne peut que s’en approcher. Espérer y goûter, mais jamais l’être. Nous pouvons être

symphonies de l’incomparable Lully, mêlés à la beauté des voix et à l’adresse des danseurs […]. » Personnages de la comédie Sganarelle, père de Lucinde Lucinde, fille de Sganarelle Clitandre, amant de Lucinde Aminte, voisine de Sganarelle Lucrèce, nièce de Sganarelle Lisette, suivante de Lucinde M. Guillaume, vendeur de tapisseries M. Josse, orfèvre M. Tomès / Des Fonandrès / Macroton / Bahys / Filerin : médecins Un Notaire Champagne, valet de Sganarelle Personnages du prologue

absolument rigide, alors il ne peut perdre de force dans les chocs. Il faut donc que ce que l’on nomme atome soit, en réalité, composé et élastique. L’idée d’atome absolu est contradictoire : « Les atomes ne sont que l’effet de la faiblesse de notre imagination, qui aime à se reposer et à se hâter à venir dans les sous divisions ou analyses. » Ainsi la force est-elle la réalité : la force est substance, et toute substance est force. La force est dans un état, et cet état se modifie suivant des lois du

épicure Lettre à Ménécée. matérialisme : courant maudit. => doctrine : affirme réel : uniquement matière, ontologie moniste = ê est Un, homogène : matière =/= dualiste ( corps / âme ) âme : mot pr dire esprit. épicure : décompo' corps / âme. Lucrèce : de la nature des choses : reprend pensée E, critique prêtres .. + imp car use pvr : pas poss ss dvp passion triste. Epicurien : paillard ( dépeint ). si plaisir : pas condamné, : pas valorisé manière distincte : classification désirs Désir : ->

 plan IntroductionI. NatureA. DéfinitionB. SpécificitéC. FormesII. OrigineA. Tentatives d'explications1. Nietzsche 2. Marx 3. FreudB. Irréductibilité du besoin religieuxIII. Approches philosophiques de la religionA. Distanciations1. Epicure et Lucrèce 2. Philosophes des lumièresB. Prises en compte1. Augustin 2. Thomas d'Aquin 3. Pascal 4. Kierkegaard Conclusion | Introduction   La religion apparaît en même temps que la pensée ! Par la pensée, l'esprit humain imagine au-delà des apparences