Imagination Réel Rêve

chagriné. Il avait sa propre Florence dans son imagination qu’il associait toujours avec la semaine des Paques. Les particularités de la composition La composition tout à fait particulière de ce texte vise à mettre en relief l’idée maitresse de ce fragment qui concerne le pouvoir évocateur des noms et l’opposition de deux notion : « un nom » et « un mot ». Dans ce fragment on peut distinguer deux plans de narration qu’on peut nommer celui « réel » et « virtuel ». En fonction de ces deux plans

modèle, rencontre grands écrivains Décide de devenir écrivain à 16 après avoir lu « Manhattan Transfer » de John Dos Passos Besoin fort d’écrire, laisse parler son imagination, jongle entre famille et écriture Séjour à Paris (va voir expo, musés, concerts)-> nourrit imagination Affinité avec surréalistes : thèmes nourrissent son imagination Se marie avec un acteur parisien Carrière lancée en 1940 Se remarie avec l’écrivain valaisan : Maurice Chappaz Tombe malade durant 3 ans alors se consacre exclusivement

rêverie diurnes de l’homme pensif  cette activité onirique dans la quelle une lueur de conscience subsiste . C’est en quoi elle set exploration de l’imaginaire , non de l’inconscient . D’une manière générale , Bachelard à Freud de ne voir dans le rêve que le masque d’une idée , d’un concept.] [Bachelard détourne un concept freudien , celui de complexe . Alors que ce substantif parle des conduites d’origine inconsciente universellement partagées , Bachelard l’utilise pour spécifier des réseaux

quelques instants notre quotidien. L'art est donc un moyen de nous donner du plaisir et de nous faire oublier la réalité parfois difficile et brutale. Il nous fait fuir la réalité, nous transporte dans un autre monde, nous permet d'atteindre le monde du rêve. Il nous transporte dans un monde irréel. On oublie nos soucis, nos peurs. Lorsqu'on lit un livre par exemple, s'il nous plait et nous intéresse, on s'identifie aux personnages et on "rentre" dans l'histoire. On est passionné et on oublie le reste

du cœur n’est absolument pas propice au travail poétique », au contraire de la sensibilité de l’imagination qu’il conçoit comme faculté opératoire intellectuelle. Pour lui, il faut s’écarter de toute sentimentalité personnelle au profit d’une imagination lucide « ma tâche est surhumaine ». Impersonnalité volontaire des poèmes de B possibilité d’exprimer TOUS les états de conscience de l’homme. Les larmes sont là à condition de ne pas venir du cœur, par exemple. B confère à sa poésie l pouvoir de

personnalité d’Emma 1) Le couvent comme forgeron de la sensualité d’Emma / une enfance au couvent  : lieu clos de la tiédeur et de la somnolence, loin du monde réel, monde froid. Le couvent va déterminer sa personnalité, ce que soutient Flaubert. · Les brouillons de Flaubert insistent sur l’isolement et l’atmosphère confinée du couvent  : « 

Idee 1: Paysage Reel 1.1: Lieu 1.2: ville 1.3: ciel Apres avoir analyse le poeme >, on constate que Charles Baudelaire semble fascine Par une ville, plus specifiquement la ville de Paris. En effet, le poete habite en hauteur dans une> (V5) qui est une piece du batiment dont les murs sont en pentes. Baudelaire est situe en face de la fenetre qui lui permet de faire decouvrir le paysage qu’il voit. De plus, il decouvre une ville Industrielle en la decrivant par > (V6), (v7) et ces > (v7) qui

Imaginer est-ce seulement nier la réalité ? * I) Imaginer, c'est seulement nier la réalité. a) L'imagination crée des objets irréels. b) L'imagination nie le réel. c) Le rêve satisfait un désir non réalisé. * II) Imaginer, ce n'est pas seulement nier la réalité. a) L'imagination porte sur le réel. b) L'imagination construit la réalité. c) L'imagination saisit les réalités supérieures. Intro : Imaginer, en effet, c’est bien quitter la réalité, puisque la conscience imageante pose

peut-il se satisfaire de la réalité ? Nous devrions nous pas tout simplement nous contenter de la réalité tel qu’elle et serai-ce dans cette mesure que de renoncer au désir ? Ne pourrions-nous pas vivre simplement avec la notion du désir vu de notre imagination ? Et faut-il toujours associé désirs insatisfaits et souffrances ? N’y aurait-il pas un certain bonheur sous jacent à la simple évocation du désir dans notre esprit bien qu’il soit insatisfait ? Nous étudierons ces pistes de réflexion au cours de

obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus douce, le modifie au gré de sa passion. Mais tout ce prestige disparaît devant l'objet même ; rien n'embellit plus cet objet