Impact Du Coût Du Travail Sur La Compétitivité

nationaux par rapport aux produits étrangers en monnaie nationale. Quels sont les déterminants du taux de change et quel est leur impact sur l'économie ? Nous allons d'abord rappeler les principaux déterminants du taux de change puis nous allons voir quel est la parité Euro-Dollar puis nous terminerons par l'impact du taux de change sur la balance des paiements et la compétitivité des entreprises. On distingue les déterminants du taux de change réel de court terme et ceux du taux de change de long

où il y a du savoir-faire régional, comme à Toulouse pour l’aviation par exemple. Choisir une zone avec une grande accessibilité, avec une plateforme multimodale de préférence. Et dernier critère, avoir un maximum d’aménité, un cadre de vie et de travail agréable. Ces critères sont généralement appliqués par les entreprise afin d’optimiser l’attractivité et d’attirer une main d’œuvre compétente et productive. On notera que selon le type d’entreprise le choix de localisation reste tout de même multiple

En quoi l’innovation est-elle un facteur de compétitivité ? Aujourd’hui, dans un monde affaiblit par la crise financière de 2008 combinée à une intensification de la concurrence au niveau mondial avec notamment l’influence sans cesse grandissante des économies émergentes sur le marché mondial, il devient indispensable de faire un effort en matière d’innovation, celle-ci étant un gage de compétitivité qui permet de développer notre résistance aux chocs internationaux. L’innovation

délocalisation quand on travaille on macro économie car on ne voit pas les enjeux. On peut le voir au niveau des comptes de l’entreprise. Travail long a partir des données de l’entreprise. Soit technique d’enquête sur les entreprises soit on étudie les variations communes dans les entreprises. Il faut que le compte achat augmente et que dans le compte achat il y ait des achats venant de l’extérieur. Il faut une baisse de la production et que l’emploi baisse. L’INSEE travaille sur des données d’entreprise

Mondialisation économique I - Définition de la mondialisation Définition simple et générale de la mondialisation économique Augmentation des échanges économiques internationaux Echanges de biens, services, facteurs de production (capital, travail, technologie et connaissances) Intégration et interdépendance croissante des économies nationales Relations entre les pays qui deviennent de plus en plus intenses L'activité économique dans un pays affecte celle des autres (contagion). Il ne

(machines) : aller + vite, – contraignant, gains de Pté , + complexe, – marge d'erreurs, + qualité. Schéma : Inv. De procédés :=> + gains de Pté → + profits → investir → diminut° Px → + compétitif → + part de marché => + qualité → + compétitivité Qualité ♣ Les innovations organisationnelles : substitution du K au L → – pénibilité : on passe de l'ère de la peine à l'ère de la panne => Maladies civilisationnelles. ♣ Les innovations d'approvisionnement : découvert pétrole, gaz de

repete. Nous allons nous presenter a présent aux principaux facteurs économique, psychologique et financier qui insite ou pas les entreprises à investir. II. Les déterminants de l'investissement Des facteurs de l'économie réel ( la demande, le cout du travail et du capital ) se mêlent a des facteurs financiers ( le taux d'interet et les profits ) et psychologique ( confiance dans en l'avenir, gout du risque) pour expliquer les variations de l'invt A . le role centrale de la demande L'anticipation

disfonctionnent quand l’activité est trop grande, trop grosse charge de travail) => quand on contextualise on peut alors contrôler et faire de la prévention. * EX : BP était trop chère pour etre achetée. Now qu’il y a eu une crise, elle est rachetable, Opéable. * EX : Société générale s’est éffondrée => valeur des pertes… perte de réputation, perte CA, perte valeur boursier, perte contrôle de l’entrperise. * Impact : Perte financière * Rating * Réputation , notoriété

leurs efforts. La confiance dans les régimes de taux de change a été maintenue, la crise systémique a été évitée grâce au soutien des systèmes bancaires par leurs maison-mères, les déséquilibres externes et l’inflation ont fortement diminué, la compétitivité s’améliore et les déficits budgétaires reviennent progressivement à leur valeur d’avant-crise. Toutefois, alors que le chômage s’affiche à des niveaux record, des réformes supplémentaires restent nécessaires pour favoriser le retour à une croissance

économique. On pouvait également séparer les questions de court terme et de long terme (comme nous l’avons fait dans la première partie). Les deux parties principales auraient donc pu être : une compatibilité difficile à court terme (avec la perte de compétitivité des entreprises), mais nécessaire et réalisable à long terme (avec l’innovation). Un troisième plan pouvait s’articuler autour de la rupture normatif-prescriptif (bien sûr, il faut habiller ces titres de manière plus fine, et ne pas laisser apparaître