Impitoyable

de première classe. Traumatisé par la défaite, il rejoint le dépôt de son régiment alors aux mains d'un conseil de soldats (novembre 1918). En avril 1919, il assiste à Munich à la proclamation de la république des conseils de Bavière, puis à son impitoyable répression du 1er au 10 mai. Il est alors désigné pour enquêter, au sein d'une commission militaire, sur les événements révolutionnaires. En septembre 1919, il adhère au petit parti ouvrier allemand (DAP) – il en est le septième adhérent –,

désignation de la mort par le pronom « elle » permet d'insister sur sa présence, son omniprésence. Cette anaphore est un moyen d'exprimer le fait que la mort est bel est bien par tout, pour tout le monde. Enfin, Gautier s'attache également à la montrer impitoyable, voire même cruelle. Le vers 37 en est une parfaite démonstration : « C'est par elle qu'on pleure et qu'on se désespère ». L'accumulation des antithèses à son propos, « Elle est amère et douce, elle est méchante et bonne » ( v43 ) « Amère aux gens

cela est évoqué dans une forme de « semi-utopie » historique et scénique, qui fait « exploser » le cadre spatio-temporel. Le cœur des personnages est nourri par le feu du silence qui veut nommer le monde pour gagner une épitaphe[2]. C’est son « impitoyable consolation. » Incendies est une pièce dont le processus de création est pour le moins innovant. Elle est écrite pendant qu’elle est mise en scène. En d’autres termes, c’est une œuvre où l’utopie du moment est commandée par la réalité des personnages

parvient pas au sommet sans verser quelques gouttes de son sang, sans se sacrifier un peu. Vous n’en tirerez que plus de fierté d’avoir atteint la plus haute situation possible. En quelques mots, quelques phrases pour résumer mes pensées, soyez impitoyable comme le requin avec sa proie, n’hésitez en aucun cas à faire saigner, tout en restant humble et sans faire de vagues en surface. Partez, maintenant, monsieur, vos rêves de conquête sont je l’espère renforcés. J’attends avec impatience de vous voir

sabre turc mais, téméraire, il affronte les canons de face, armé de sa seule épée, et est frappé par un boulet. À l'issue de la bataille, il ne reste qu'une moitié du vicomte. (la droite) De retour à Terralba, Médard est devenu mauvais : il est impitoyable et refuse de voir son père qui meurt dans la volière où il vivait, il est destructeur et coupe tout en deux, il est cruel et multiplie les condamnations à mort, il est sadique et tente à plusieurs reprises de tuer son neveu. C'est la nourrice Sébastienne

montre les 6 camps de la mort ou il y a eu le plus de juifs tués. Synthèse problématique: pourquoi le génocide juif est il un crime contre l'humanité. Introduction: sous le nom de «solution finale», les nazis organisent l'extermination impitoyable des juifs d'Europe. Pour réaliser cette «mort industrielle» ils mettent en place des camps d'exterminations. La victoire des alliés à la fin de la seconde guerre mondiale met un terme au génocide. Au cours de la seconde guerre mondiale, l'Allemagne

enfuir, on nous coupe la jambe») → Banalisation de l’horreur, normalité de la décision, inhumanité de ces atrocités. Jeu de mots/allitération en «d»: (citer: «Vanderdendur») → Accentuation de la cruauté des esclavagistes, cruauté/autorité/impitoyable. B. La souffrance psychologique - Hyperbole (citer: " les singes, les chiens, les perroquets sont mille fois plus heureux que nous") → Déshumanisation, esclave rabaissé/humilié. - Connecteur logique (citer: «Hélas! Je ne sais pas

« un fils ingrat et rebelle ». Il est très proche de son frère et excédé du comportement de se mère. Cléoptare: reine de Syrie, a fait assassiner son mari Démétrius. Elle apparaît comme une mère cruelles et aveuglée pas la haine, jalouse, impitoyable et manipulatrice. Elle est avide de pouvoir, c'est une femme dépourvue d'instinct maternel . Sa violence est source de cruauté envers ses fils qui ne sont pour elle que des instruments. Elle va perpétrer le meurtre de son propre fils, Séleucus

celui du volcan que l'on trouve avec les mot suivant « cratères », « laves », « soufrée » et « flamme ». Ces champ lexicaux nous permettent d’interpréter la guerre comme le déchaînement des éléments qui s'abattent sur la terre et dévastent tout, impitoyables et incontrôlables. Pourquoi raconter la guerre ? Le but premier d'une œuvre autobiographique relatant la vie d'un soldat durant la guerre est de garder un témoignage, témoigner des combats et des ressentis de l'écrivain en tant

détails afin de donner au lecteur une idée précise et précieuse sur ce qu’els la psychanalyseDans cette biographie, Zweig va beaucoup parler du tempérament de Freud qu’il va décrire comme un immense travailleur, un esprit sans transigeance, analyste impitoyable, qui ne se laisse duper par personne, prêt à tout pour découvrir la vérité sans avoir peur de tenir des propose radicale. Il est important de souligner que malgré le grand respect qu’il porte à cet homme il n’hésite pas à mettre en doute certaines