Inconscient collectif

pouvoir être là quand l'autre en a besoins et pouvoir compter sur lui. L'amour quand à lui est à distinguer de l'amitié, celui ci prend en compte l'aspect corporelle de la relation et la dimension érotique . L'amour lui même ne serait qu'une façon inconsciente de combler une impuissance face à l'autonomie. L'absence de lien affectif et le fait de n'exister pour personne de manière privilégié comme avec l'amitié peut remettre en cause le sentiment de sa propre existence et de son identité. On peut

constitué de références musicales et d’évocations extra-musicales. La musique ne joue pas seulement le rôle d’un élément de fond diffusé dans un magasin ou dans une publicité, devant être la moins perceptible possible et agissant sur la perception inconsciente (une musique dotée des caractéristiques instrumentales,avec un tempo soutenu, une alternance régulière des solos et tutti, une mélodie ininterrompue favorisée par des enchaînements discrets entre les séquences, l'absence de sommets dramatiques

et chaque phénomène a une cause, il n’en reste pas moins que pour l’être humain un acte libre, donc sans cause, est impossible. En effet, nous ne pouvons savoir si lorsque l’on croit agir de manière totalement libre nous n’avons pas des motifs inconscients. Spinoza va plus loin en affirmant que nous ne maîtrisons pas nos sentiments et émotions. La colère, la passion sont des émotions capables de faire déborder la raison. Ils agissent comme des pulsions, plus ou moins contrôlables. Et contrairement

consciente, l'autre inconsciente. !"L'inconscient, c'est l'incompréhensible, le désordre • L'inconscient est le lieu des pulsions, des désirs. L'inconscient fait partie de l'irraisonné. !"L'inconscient, c'est pourtant une organisation • Si une partie de nos actes est inconsciente, c'est parce que nous les accomplissons par automatisme. • La conscience prend de la distance par rapport à ces actes. La conscience est ainsi libérée de certaines préoccupations. • Sans ce relais inconscient, la conscience

Sujet : Freud: Avons-nous accès à l'inconscient ? On nous conteste de tous côtés le droit d'admettre un psychique inconscient et de travailler scientifiquement avec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire et légitime, et que nous possédons de multiples preuves de l'existence de l'inconscient. Elle est nécessaire, parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l'homme sain que chez le malade, il se produit

et le déplacement. De plus les actes manqués, comme les lapsus, petites erreurs ou bien manies de la vie quotidienne ne sont pas aussi anecdotiques que l’on veut bien l’admettre. Ils peuvent s’avérer être des symptômes de la vie psychique inconsciente. A travers cette analyse, on arriverait à faire ressurgir dans la conscience tout ce qui a été refoulé, caché, oublié dans la vie psychique. Quatrième Leçon Grâce à l’étude de différents sujets, on constate que les symptômes morbides

de raison) qui correspond, dans la réalité psychique, à l’émergence du surmoi. Seulement, arrivé au stade où le sujet n’est plus un enfant mais pas encore un adulte : prés adolescence/adolescence, on voit renaître le complexe d’Œdipe, toujours inconscient et beaucoup moins marqué il agit. En effet l’adolescent a besoin de liberté et a besoin de faire preuve d’autonomie pour prendre son envol, il va se confronter au groupe de pairs qui va faire office de famille pour lui à ce moment. A travers ses

censurer. Cette démarche devait laisser paraître les processus inconscients à l'origine des troubles névrotiques. Grâce à elle, entre autres, Freud avait découvert l'existence de certains mécanismes psychiques : notamment le refoulement, décrit comme un mécanisme psychologique inconscient par lequel le souvenir d'événements pénibles ou menaçants est maintenu hors du champ de la conscience, et la résistance, définie comme l'opposition inconsciente à la prise de conscience des expériences refoulées afin d'éviter

ainsi expliquer le comportement humain. La théorie est simple : l’instance pensante humaine n’est pas entièrement consciente. Il existe une partie, qui influence la partie consciente, qui est inconsciente : nous avons des pensées que nous ne connaissons pas, dont nous n’avons pas conscience. Cet inconscient est notre partie « pulsionnelle » qui est limitée, calmée par notre instance consciente qui a absorbé toute une série de normes par l’éducation et la socialisation. Nous avons vu cela dans le

Désir et libido Le désir nous plonge dans le plus profond de notre être, au sein même de l'inconscient freudien, de la libido plus précisément. Pour Freud (1856-1939), le désir n'est pas commandé par l'objet mais renvoie au champ des fantasmes inconscients et investissements antérieurs de la libido. Cela traduit le conflit entre le principe de plaisir et le principe de réalité qui, dans la conscience, devient le conflit entre désir et volonté. Les artistes surréalistes n'ont-ils pas ainsi cherché