Individu

l’on entend par intérêt tout ce qui importe pour un individu et ce, dans la mesure où celui juge de son importante (Hudon et Poirier 2011). Donc, les citoyens agissent en des électeurs rationnels en calculant et en évaluant les coûts et les bénéfices de leur participation. Par ailleurs, la participation politique des citoyens plus éduqués dépend de leur niveau d’intégration sociale. On entend par là que la participation politique d’un individu a le lien direct avec les sphères de sa vie personnelle

durable, d'un individu seul qui n’est engagé dans aucun rapport avec autrui. La solitude n'a pas le même sens selon qu'elle est choisie ou subie. Ainsi, l'état d'isolement ou d'éloignement vis-à-vis d'autrui peut avoir des effets bénéfiques sur l'individu, mais aussi néfastes. La solitude a également été décrite comme une souffrance sociale — un mécanisme psychologique alertant un individu d'un isolement non désiré et le motivant à chercher une connexion sociale1. Cependant, un individu peut choisir

Dans le texte que nous étudions, l'auteur s'interroge sur la destination des sociétés humaines. Il y démontre la contraction entre l'assujettissement et le besoin de liberté de chaque individu. Ce paradoxe est néanmoins primordial au sein d'une société pour parvenir à coïncider épanouissement personnel et entente avec autrui. La comparaison entre sociétés animales et humaines nous amènent au problème suivant : quelle relation la société doit-elle avoir avec l'individu ? L'extrait se divise en deux

connaissances. (40 minutes) 1) Montrez que les réseaux sociaux peuvent être utilisés par les individus comme des ressources afin d'atteindre divers objectifs. (3 points) Les réseaux sociaux sont forment l’ensemble des relations qu’un individu peut avoir avec les autres. A la différence d’un groupe social, le réseau social d’un individu traverse plusieurs groupes sociaux dans la mesure où chaque individu appartient lui-même à une pluralité de groupes sociaux. Dans un monde où règne la sélection

Chapitre 1 : La conception libérale de l’Etat. L’Etat c’est la somme des individus qui décident d’agir collectivement. L’intérêt collectif c’est un intérêt individuel commun à plusieurs personnes. C’est la conception individualiste de l’Etat. Cela repose sur la théorie de l’optimum de Pareto. L’intérêt collectif ne peut pas s’opposer à l’intérêt particulier. En CPP, l’équilibre conduit à l’optimum de Pareto. Mais il faut que des conditions soient remplis, c’est là qu’intervient l’Etat :

En tant que déploiement de l'activité individuelle dans la pluralité infinie des "modes de fonctionnement", la capabilité se rapporte à une action publique tout aussi protéiforme et traçant à certains égards les sphères de l'activité libre des individus comme autant de "bulles"[1] de liberté. 1. La capabilité comme critique de l'entonnoir structuraliste 1.1. Sen et le point de vue de la liberté individuelle Dans la théorie de Sen, la liberté prend la place de l'utilité

lanimal. Ainsi, chaque individu peut oprer des choix diffrents, la libert est lessence de lHomme, du sujet libre. Les individus sont donc mme de se passer dun matre. Comment imaginer quils aient besoin dun autre homme, ou dun groupe dhommes, pour les gouverner Cela nentrave til pas lide mme que beaucoup de philosophes se font de lhumanit Au-del de cette ide, certains, comme Kant, pensent que lHomme a besoin dun matre. De mme lalination est parfois ncessaire, les individus peuvent abuser de leur

qu'on appelle des groupes de référence (groupe social auquel j'aimerais appartenir pour avoir plus de reconnaissance). On a longtemps fait référence au fait qu'il avait des positions hautes et basses. On va parler de mobilité sociale pour les individus qui vont au cours de leur trajectoire changer de position en changeant de groupe. Cette mobilité va être mobilisée dans une certaine limite, celle qui remet en question le rapport de pouvoirs. Il faut que le membre partage des valeurs avec les membres

comprendre les motivations de consommation. C- Soi idéal, Soi réel et le Soi social • Le développement de soi s’analyse autour de trois composantes : le soi réel, le soi social et le soi idéal. • Le soi réel est l’ensemble des caractéristiques qu’un individu s’attribue (comment suis-je réellement ?), correspond à l’image que l’individu a de lui-même dans la réalité. • Le soi n’est pas toujours stable, il est également dynamique car malléable par l’environnement social. Le soi social est le résultat des

personne échoue dans ses objectifs, si elle se ressent rabaissée voire «persécutée» elle peut ressentir une dévalorisation plus ou moins importante dans l’estime qu’elle se fait d’elle-même. C’est donc ainsi que nous allons voir de quelles manières un individu perd de son estime, quelles en sont les facteurs précis en général. Une personne ayant une faible estime d’elle-même est souvent sujette aux «symptôme» suivants: Une personne ne s’estimant que très peu, souffre en général d’une lourde autocritique