Individu

groupe. Ces catégories tiennent compte du groupe c'est-à-dire du nombre d'interactions possibles. Ces interactions sont exponentielles. Ce qui va varier dans ces catégories c'est le nombre d'individus donc les modalités d'interactions entre les individus changent ainsi que l'état psychologique du groupe. -La foule -la bande -le groupement -le groupe primaire -le groupe secondaire -(la série) un groupe de vies passées d'une catégorie à l'autre. Ou un groupe peut contenir une autre catégorie

absolue et pauvreté relative. La pauvreté absolue concerne les gens qui ne disposent pas de la quantité minimale de biens et services qui permettent une vie normale. L'ONU va par exemple définir la pauvreté absolue comme la situation dans laquelle un individu n'a pas les moyens de se procurer le panier de biens jugés indispensable à sa survie (estimé à environ 10€ par jour en 2002). La pauvreté relative définit la pauvreté par comparaison avec le niveau de vie moyen du pays considéré. Elle est en général

produit par l’homme).C’est ambigu, car la facon dont on mange ou on montre la douleur est percu comme de la nature alors que c’est de la culture. La culture est le partage des valeurs, de normes,selon les individus. Valeurs : C’est un idéal que se donne la société et qui s’impose aux individus comme un absolu, une évidence qui va orienter les comportements. Les sociétés sont fondées usr des mythes qui expliquent le monde. La sociétée est marquée par lexistence de taboo, d’interdits qui viennent

une spécificité qui empêche l’entreprise de répéter de manière automatique une solution déjà élaborée. Des solutions nouvelles et adaptées doivent sans cesse être inventées par l’entreprise. Chaque nouvelle solution doit donc être le fait des individus de l'entreprise, hommes ou équipes, qui ont seuls cette capacité, grâce à leurs compétences et leurs connaissances, de s'adapter aux différentes situations, contrairement, par exemple, à la machine. Aujourd’hui, l’humain reprend l’ascendant sur

volonté d’autrui. Mais suffit t-il que des lois soient instaurées pour que les hommes soient libres ? Pour développer sa thèse, Rousseau expose d’abord un premier paradoxe : un individu qui fait ce qu’il lui plait n’est pas forcément libre, la liberté ne signifie pas faire ce que bon nous semble. Lorsqu’un individu fait ce qu’il désire faire, il n’est pas libre selon Rousseau. Puis Rousseau expose sa thèse « Il n’y a donc point de liberté sans lois » et détermine les faits qui définissent la

ou mauvais, ont un impact sur les individus qu’il côtoie. A juste titre on peut dire que l’homme est entouré de contraintes sociales et sociétales, et on peut se demander si ses contraintes qui l’entourent ne sont pas des entraves au fait d’être libre. Tout d’abord, les autres individus sont-ils une contrainte à ma propre liberté ? A cette question la réponse est que les autres, au contraire d’être des entraves sont des outils à la liberté de chaque individu au sein du groupe. L’individu qui a

essentiellement avoir un objectif et décider de faire un effort pour l’atteindre. La motivation c’est l’ensemble des forces qui poussent un individu à agir vers la réalisation d’un objectif. C’est un concept évolutif avec le temps. C’est une question importante en RH car elle permet l’accroissement de la performance de chaque individu. Mais par quoi un individu est-il motivé ? II- Quels sont les facteurs de la motivation. ? La motivation dépend de facteurs internes et externes à l’individu qui influencent

I. Création infini des besoins des individus On observe une apparition en grand nombre de nouveaux besoins comme les ordinateurs avec notamment Facebook, ainsi que les téléphones portables, ou par exemple les tablettes tactiles. On distingue deux catégories de besoins, tout d'abord les besoins primaires (c'est a dire la nourriture, l'eau, le logement et les vêtement) ainsi que les besoins secondaire (qui sont la médecine, le travail, les loisirs, l'argent, la culture, les transport, etc.). Les

souvent connoté de manière négative. Il apparait évident que la tendance d’un individu à s’affirmer indépendamment des autres engendre des conséquences souvent négatives. Mais il faut constater aussi que l’homme a un certain besoin de l’individualisme qui se retrouve dans la nécessité d’un épanouissement personnel et dans le besoin de l’expression du soi. Tout d’abord, l’individualisme permet à chaque individu de mener une réflexion individuelle, sans que ses opinions ne soient dictées par

décrit les rites et coutumes des familles chinoises et met en évidence les différences constatées avec les notons occidentales. Enfin Olivier Malponti dans « Intergénération : un défi » axe son discours sur l'enrichissement que peut tirer chaque individu en consolidant les liens intergénérationnels. Cela nous amène à nous demander ce qu'est une famille et quel est son rôle dans la société. Pour Jacques Binet, il existe une définition standard d'une famille qui se résume à « un groupement de