Infirmiers Intimité Pudeur

couvert de lentisques, on avait creusé deux immenses fosses. Il y avait la fosse des hommes et celle des femmes. De ce point de vue, l'administration respectait les convenances et ce n'est que bien plus tard que, par la force des choses, cette dernière pudeur disparut et qu'on [194] enterra pêle-mêle, les uns sur les autres, hommes et femmes, sans souci de la décence. Heureusement, cette confusion ultime marqua seulement les derniers moments du fléau. Dans la période qui nous occupe, la séparation des

riche et orgueilleuse. Les jeunes générations abandonnèrent la vie étroite et parcimonieuse pour s'orienter vers une existence de luxe doublée du désir de paraître, encore rare sous Louis Philippe. Ainsi le contraste entre une richesse étalée sans pudeur et une misère croissante dans les faubourgs des villes industrielles donnèrent naissance à des luttes sociales inévitables. Un grand défaut de cette bourgeoisie, c'était son attitude à l'égard des écrivains et des artistes. Elle regardait

cigarette, j’ai un petit garçon. Je voulais simplement lui faire un cadeau. C’est interdit ? Retenue par la pudeur, Alice n’était plus très à l’aise, ni très sûre de vouloir continuer cette conversation. Malgré tout, elle demanda d’une voix douce : – Comment s’appelle-t-il ? Gabriel monta le son de la radio et secoua la tête. Il n’avait pas prévu cette intrusion intempestive dans son intimité. – Je crois qu’on a d’autres problèmes à régler, là, Schäfer… Un masque de tristesse tomba sur son visage

cigarette, j’ai un petit garçon. Je voulais simplement lui faire un cadeau. C’est interdit ? Retenue par la pudeur, Alice n’était plus très à l’aise, ni très sûre de vouloir continuer cette conversation. Malgré tout, elle demanda d’une voix douce : – Comment s’appelle-t-il ? Gabriel monta le son de la radio et secoua la tête. Il n’avait pas prévu cette intrusion intempestive dans son intimité. – Je crois qu’on a d’autres problèmes à régler, là, Schäfer… Un masque de tristesse tomba sur son visage

des maîtres nageuses au corps de rêve surveillaient la mer depuis leur cahute en bois. Mais Milo les regardait sans les voir, car il n'avait d'yeux que pour Carole. Ils étaient unis par un attachement très fort, ancré dans l'enfance, mâtiné de pudeur et de respect. Même s'il n'avait jamais osé exprimer ses sentiments, il tenait à Carole comme à la prunelle de ses yeux et s'inquiétait pour elle à cause des risques liés à son métier. Elle l'ignorait, mais certains soirs, il était arrivé à

que des maîtres nageuses au corps de rêve surveillaient la mer depuis leur cahute en bois. Mais Milo les regardait sans les voir, car il n'avait d'yeux que pour Carole. Ils étaient unis par un attachement très fort, ancré dans l'enfance, mâtiné de pudeur et de respect. Même s'il n'avait jamais osé exprimer ses sentiments, il tenait à Carole comme à la prunelle de ses yeux et s'inquiétait pour elle à cause des risques liés à son métier. Elle l'ignorait, mais certains soirs, il était arrivé à Milo de

une attente stimulante de l’histoire. C) Le choix du libertinage et de la dissimulation. La vertu féminine et la fidélité sont deux règles imposées à la femme par la religion (pudeur, bienséance font partie des règles en société; virginité comme une garantie de pureté et d‘honnêteté). P 240 la relation de Bigre et de Justine est illicite : souspente, escalier…. (elle est nommée par le père « cette petite coureuse » (p 241) Terme

l’afflige un peu. Pourtant, sa mère n’a jamais été bien tendre avec lui. Hautaine et rude, ménageant le geste, la parole, elle l’a traité, depuis son plus jeune âge, avec sévérité. Elle a privé Michel d’un millier de joies puériles, par discipline, par pudeur. Lors de son départ, même, elle lui a déposé un seul baiser sur le front. Un baiser froid et strict. Ce baiser, il le sent encore sur sa peau. Un peu au-dessus des sourcils. Pour se distraire, il regarde les provisions : une bouteille d’eau de fruit

cahute en bois. Mais Milo les regardait sans les voir, car il n'avait d'yeux que pour Carole. Les lambeaux de paradis 73 Guillaume Musso La fille de papier Ils étaient unis par un attachement très fort, ancré dans l'enfance, mâtiné de pudeur et de respect. Même s'il n'avait jamais osé exprimer ses sentiments, il tenait à Carole comme à la prunelle de ses yeux et s'inquiétait pour elle à cause des risques liés à son métier. Elle l'ignorait, mais certains soirs, il était arrivé à Milo de

est susceptible d’en contenir les débordements. Il gagne la confiance des victimes et de leur entourage d’autant plus facilement qu’il est courtois et attentif. Il respecte et fait respecter la victime et veille à préserver sa vie privée, sa pudeur et son intimité. La relation entre la victime et le secouriste est un élément essentiel de sa prise en charge. Le secouriste s’adresse toujours directement à la victime (fig. 1.2). Il a intégré que la personne est un tout, et doit ne pas négliger les dimensions