Inhumanité Et Humanité

contestation et de révolte. Condorcet a d'ailleurs résumé l'effort de la philosophie des Lumières par ces trois mots « raison, tolérance, humanité». Mais les philosphes des Lumières sont-ils réellement porteurs et défenseurs de ces principes, alors révolutionnaires à l'époque? C'est la recherche successive de ces trois valeurs: raison, tolérance et humanité, dans les écrits philosophiques qui confortera ou non ce postulat de Condorcet. C'est bien la raison qui permet à l'homme de différencier

restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements (Cf. Verdun). Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le

Citroën. Ces figures étant organisées de façon croissante, montrant de plus en plus la force de la relation entre ces deux compagnons, l’intensité des sentiments de Léon ressort d’autant plus. Les sentiments qu’éprouvent Léon prouvent bien toute son humanité, bien qu’il soit un chien. Aussi, dans Truisme, la Narratrice a plus d’humanité lorsqu’elle est sous forme animal. En effet, c’est sous cette forme qu’elle émet des raisonnements, ce qui est une qualité humaine. Nous pouvons constater cela par la

pourrait penser que l'homme devient artiste dans le but premier de témoigner de son humanité. En effet, l'art, y compris les Beaux-Arts, tout comme la technique, implique un savoir-faire propre à l'homme. Par sa conscience, l'homme a la capacité de représenter. Contrairement à l'animal, l'art témoigne de son humanité, et l'on pourrait penser que l'homme crée dans l'unique but de prouver aux autres et à lui-même son humanité. En d'autres termes, il se différencie des animaux qui n'ont pas cette capacité

Engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale, il en revient révolté et pacifiste. Il a donc connu l'horreur et l'inhumanité de la Grande Guerre. La Guerre est d'ailleurs un tableau qui témoigne de cette horreur et de cette inhumanité. Otto Dix veut dénoncer la barbarie, la sauvagerie, l'inhumanité , la force bête et bestiale. Histoire de l’œuvre: La guerre d'Otto dix est qualifié impressionniste*. Créée entre 1929-1932.10ans après l’armistice**et la fin de la guerre

temps étudier le regard étranger que porte l auteur à travers Samba Diallo, puis dans un deuxième temps il conviendra d examiner sa réaction pessimiste et critique face à l inhumanité dans une ville occidentale. I. Regard étranger que porte l auteur II. Réaction pessimiste et critique face au déclin de l humanité dans une ville occidentale I L extrait de texte à étudier commence lors de l arrivé de Samba Diallo à Paris. Dès les deux premières phrases lorsqu il ‘débarque’

l'essence. L'homme se définit donc comme un être de questions, non de réponses. 2.2 - La condition humaine : le tragique ; définition du tragique comme le déchirement entre deux exigences contradictoires (exemples : insociable/ sociable, humanité/inhumanité, être au monde/s'y sentir étranger). On parlera alors de condition universelle de l'homme, comme ensemble de questions auquel l'humanité est confrontée et de particularité des réponses apportées par chaque peuple. 2.3 - L'universalité de

maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements (bataille de Verdun). Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le

ruines : restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements.Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent les conditions d'hygiène

ruines : restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements. Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules. Ce cadavre tend une main, tentative