Inhumanité Et Technique

Le Rapport de Brodeck   Titre: Le Rapport De Brodeck - de Philippe Claudel   I- Fiche Technique:   - Le Rapport de Brodeck est le titre du livre. Cette oeuvre ne comporte aucun sous titre.   -Philippe Claudel est né le 2 février 1962 à Dombasle- sur -Meurthe. Agrégé de lettres, il a choisi après quelques années de lycée d’enseigner à des enfants handicaps moteur, à la maison d’arrêt de Nancy, puis à l’université de Nancy II. Grand admirateur de Simenon et du Giono d’après guerre, il tisse avec

théorie Y ne fonctionnait pas dans la pratique parce qu’elle ne prenait pas en compte le besoin d’encadrement des individus qui veulent être en réalité orientés, dirigés et subir une certaine forme d’autorité. Il critique donc McGregor pour son "inhumanité" envers les faibles, ceux qui sont vulnérables et immatures, et qui ne peuvent porter le poids d’une responsabilité individuelle. GRH : type de gestion reconnue seulement vers les 80s. C'est une nouvelle conception de l'homme au travail marqué

de Sobibor et de Treblinka. L’extermination physique des juifs a été décidée et début janvier 1942 Himmler donne l’ordre de « vider » les ghettos polonais pour les diriger vers les centres d’extermination désormais sur pied et dans lesquels les techniques d’élimination physique vont se perfectionner jusqu’aux chambres à gaz du bloc 11 d’Auschwitz. Pour ce qui concerne le plus grand des ghettos polonais celui de Varsovie (Partir du document), le 22 juillet 1942 la « grande déportation » conduit

public (territoire). Les 1er décisions sont à la base des grand ensembles, avec naissance des statistiques INSEE, géographies urbaines, puis régionales, prise en compte de l’architecte. Sous l’occupation, des services existent. Le Commissariat Technique à la Reconstruction Immobilière CTRI, se penche sur la reconstruction des villes détruites. Il se charge de la reconstruction des villes par l’Etat, des communes sinistrées, du choix des archi et comprend service d’études (majorité ingénieurs). C’est

toute son attention sur les dégâts faits aux corps. D’ailleurs la minutie avec laquelle il s’applique à représenter les mutilations oblige le spectateur à un effort de représentation du réel, qui apparaît à ses yeux presque irréel. Le recours à la technique du collage renforce l’idée d’un assemblage des corps réalisé à partir de pièces hétéroclites. En effet, aux corps disloqués s’ajoutent des corps étrangers, les prothèses intégrées ou imbriquées dans les corps. Les corps apparaissent ainsi mécaniquement

restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements (Cf. Verdun). Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le

" agréable à voir, rues bien dessinées, bonne apparence, éclat, beauté ". Sur quels détails la description insiste-t-elle ? Sur les matériaux utilisés : " pont …en pierre (que l’on retrouve pour les " remparts "), des canaux en terre cuite). Sur les techniques utilisées : la voûte (pour le pont), les canalisations (les canaux), le château d’eau (les citernes), l’aménagement de l’espace urbain (largeur des chaussées et rectitude des rues). Outre les indices spatiaux, quel type de mots ou de compléments

assurer leur survie, ces hommes ont eu recours à la division des tâches ( chasse, cuisine, fabrication d'armes...). Au fur et à mesure, ils se sont perfectionner et ont pu, par exemple, améliorer considérablement leurs armes grâce à la teckné, la technique en grec. Les enjeux à l'époque pour ces hommes, outre la survie, étaient peut être de découvrir le monde qui les entouraient. Nous pourrions considérer que ces hommes préhistoriques n'avaient qu'une conscience partielle de soi, que l'environnement

devient que ce que le milieu dans lequel il vit l’appel à devenir. L’humanité en l’homme prend donc la forme de son environnement. Pour le médecin Jean Itard qui examina celui qu’on avait appelé « Victor de l’Aveyron », la cause de son « inhumanité » se situait dans l’absence de stimulations des facultés humaines que l’on rencontre par le bain culturel. Les stades du développement de l’homme correspondent à des âges soumis à des stimuli adéquats qui forment le propre de son éducation, sans

martelée : la société agresse ce qu’elle a de plus fragile et qu’elle devrait protéger. Le poète insiste sur le tragique destin d’enfants exclusivement livrés à une vie laborieuse. Les métaphores qui traitent du cadre spatial viennent ajouter à cette inhumanité : « prison » (v. 6), « bagne » et « enfer » (v. 9). Le pronom indéfini « on » du vers 11, employé comme substitut du groupe, généralise le malheur des petits travailleurs dépouillés de leur identité pour le faire partager au lecteur apitoyé. Le