Inquisition

Candide (ainsi que Cunégonde) qui raisonne à la manière de Pangloss. Pangloss fait de Candide un esprit naïf, étroit et crédule condamne surtout le dogmatisme (fanatisme philosophique) tout comme il condamne le fanatisme religieux (dans Candide ; Inquisition, Jésuites?). 3/ Parodie de certains genres littéraires : Rabelais :- titre : clin d'oeil à Gargantua que l'on pense que VOLTAIRE a lu peu avant de commencer à écrire Candide. - RABELAIS utilisait des précisions chiffrées (" le moine de Seuilly

1029. Un traité fut signé à Paris mettant fin à la croisade. Cependant, elle ne permit pas d'éliminer complètement les cathares, bien que glorieuse pour les catholiques. C'est pour cela que l'Inquisition fut crée quelques années plus tard. Cette Inquisition a permis de pourchasser les cathares jusqu'au dernier. On peut dire que ce texte est juridique car il résume la déposition d'une femme qui a été interrogée par les inquisiteurs. Cette femme à était hérétique pendant deux ans, puis elle

islamistes radicaux, se fait au nom de Dieu. Elle est pour eux parfaitement légitime puisqu'elle obéit à la parole divine. Elle serait donc parfaitement juste, les attentats du 11 septembre contre les twin towers, mais aussi les croisades, la sainte inquisition devraient être justes. Pourtant ce raisonnement apparaît immédiatement comme un grossier sophisme. Aucuns de ceux qui ont eu à subir ces événements ne les jugent comme justes. Bien au contraire, c'est d'injustice dont ils vont taxer et condamner

l'Espagne en 1474, à la suite du mariage d'Isabelle de Castille et de Ferdinand d'Aragon, est décisive. Après un siège de plusieurs mois, Grenade tombe en janvier 1492. Les musulmans sont définitivement expulsés d’Espagne. Une nouvelle Inquisition Les années 1480 marquent la fin de la tolérance religieuse en Espagne. L’Inquisition, tribunal ecclésiastique instauré au XIIIe siècle pour lutter contre les hérésies, est alors relancée. Le grand inquisiteur Torquemada (1420-1498) poursuit

congrégation de la suprême inquisition publia le premier indexe des livres prohibés, un liste de livres, l’Enfer, que l’église considérait comme dangereux pour la foi et la moralité des catholiques romains. Ainsi que nous l’avons bien compris le livre est le fléau des dictateurs. L’histoire de la lecture est éclairée par une suite d’autodafés. Sous le règne de Louis XVIII, naquit Anastasie. Ce personnage est l’emblème de la censure, fille naturelle de Séraphine Inquisition, et compte dans sa famille

valeur de documentaire. b- « un secret infaillible » : un supplice présenté comme une solution scientifique - Voltaire présente ironiquement l'inquisition comme une institution savante, détentrice de vérités indiscutables - d'ailleurs, le mot « inquisition » n'est pas employé dans le texte. Voltaire parle en effet des « sages du pays » et de « l'université de Coïmbre ». Toute la démarche de ces « savants » est donc présentée comme logique et scientifique : • le choix de l'autodafé comme remède

ellipse : l. 5 I absence de procès verbal. _ gradation dans l'absurdité des accusations : l. 8 à 13 I ironie : n'importe quel prétexte est bon pour condamner. _ absence de sentiments chez les spectateurs. I dénonce la cruauté de l' Inquisition et des religions qui ne prêtent pas attention aux hommes. _ « donner au peuple un bel auto-da-fé » (l. 4) rappelle l'expression des romains « donner au peuple du pain et des jeux ». I l'autodafé n'a plus rien à voir avec la foi mais s'appuie

de retrouver Cunégonde et le bonheur + géographie symbolique du mal Son voyage est une fuite perpétuelle : → D’Allemagne, théâtre des horreurs de la guerre. → De Londres et son fanatisme religieux. → De Lisbonne (tremblement de terre + inquisition) →D’Amérique du Sud, exploité et colonisé par les espagnols au règne de l’esclavagisme. →D’Europe (Paris, Londres, Venise) où règne la malhonnêteté et les spéculations de toutes sortes. Toutes ces tribulations (= ouverture mouvementé) sont

liberté individuelle), d'autres le sont pour avoir trop parlés ou écoutés : les victimes sont dans ce cas jugées sur l'apparence. Les Inquisiteurs condamnent donc sur des motifs qui vont jusqu'au non sens. Voltaire accuse l'intolérance de cette inquisition d'autant plus qu'il emploie la tournure passive et la forme impersonnelle : « on » (L.7 et L.9) ; « furent menés ; furent revêtus » (L.11 et L.14).pour ne pas nommer de responsable. 2) Critique de l'optimisme Là encore, Voltaire à travers cette

dans lequel les mères invoquent les démons. Etienne de Bourbon dénonce les « femmes jeteuses de sorts » (p. 33) et l’amalgame fait au sujet du culte chrétien de Saint Guinefort dont on fait un mauvais usage. 3. Contexte : Moyen Âge et Inquisition Etienne de Bourbon a donc découvert le culte rendu à Saint Guinefort lorsqu’il « prêchait contre les sortilèges et qu’il entendait les confessions », vers 1250. Or, Etienne de Bourbon est avant tout un inquisiteur et a pour souci d’extirper