Instruire Et Plaire

sagesse, qui consiste à avoir une attitude théorique. Il faut y discerner les trois dimensions que constitue cet art. L’orateur doit à la fois instruire ( docere ), plaire ( delectare ) et émouvoir ( movere ). Un bon orateur est censé pouvoir instruire par la rigueur de son argumentation, plaire par la qualité de son style et émouvoir son auditoire par divers registres en fonction de son discours. Il ne doit plus seulement user de

correspond à cet adage latin : legere multum non multa = lire peu mais bien. Pourquoi cette forme courte ?  être bref pour plaire : art mondain, refus de la lourdeur. Souci de plaire à un puvlic omndain, littérature de salon. Recherche du spirituel, de la légèreté, ne pas lasser son auditoire. Ecriture dense, efficace qui va de pair avec la pointe[1]. Être bref pour instruire ou pour mieux convaincre : forme brève n'est pas contraire à la doctrine de l'imitation. La Fontaine revendique Esope. La

enfin dépasser ce modèle. A ce but fondamental des écrivains classiques s’ajoute la volonté de définir la littérature, de s’imposer des règles et des contraintes et de tout codifier Les principes du classicisme Plaire et instruire sont les règles d’or du classicisme ; il faut plaire pour pouvoir toucher le public, tout en le purifiant de ses passions.  La rhétorique et la poétique enseignent l’art de bien composer les œuvres selon des normes universelles de la beauté et du bon goût. C’est un

apologues ou les contes philosophiques, c’est l’art de plaire avant tout, et grâce à cette séduction du lecteur, de l’instruire. La première grande partie cherchera donc par quels moyens ces formes littéraires peuvent plaire ("placere"), ensuite nous verrons en quoi elles instruisent ("docere") et enfin nous approfondirons en mettant en évidence l’efficacité particulière de chacune d’elles, chez nos deux auteurs. Le plan sera donc thématique. 1- Plaire au lecteur a- En assurant la gaîté du récit, pour

exemplaires en quelques années. L’idéal du classicisme s’est basé sur les règles du beau fondées sur la lecture d’Aristote et le public instruit s’intéresse aux questions littéraires, morales, et religieuses. Les principes du classicisme comportent plaire et instruire, rechercher le naturel, et respecter des règles. 5. Dites ce que vous savez sur la Préciosité D’après Wikipedia, La préciosité[1] est un mouvement culturel et un courant littéraire français du XVIIe siècle qui repose sur la volonté de se distinguer

tenir conseil et de faire un sacrifice. 2. La transposition animale * La Fontaine ne se contente pas de transposer son action dans l'Antiquité, il la transpose dans un monde animal. Et La fontaine répond aussi au goût classique qui est de plaire : les animaux sont stylisés → a chaque animal va correspondre un type humain. Par exemple, le lion symbolise le pouvoir car il connote la force, de même que l'ours et le tigre (v.45), le renard symbolise la ruse. Le loup est également évoqué, il connote

La Fontaine dans le but de faire passer une leçon de morale. -> Apologue (=récit à visée morale) Quelle leçon de morale transmise ? II- Morale de la fable = visée critique et registre didactique = apologue La fable est faite pour plaire et instruire (placere et docere en latin). Ce sont les deux objectifs de l'auteur. Quelle leçon est donnée et comment ? 1- Opposition de deux modes de vie : la soumission au pouvoir et la liberté •les avantages et les privilèges du chien:

Les caracteres-ThéodecteLes caractères ● classicisme= imitation de l’antique anciens grecs et latin, plaire et instruire, honnete homme pleins d-themes das chap V, Les caractères= contination de le meme oeuvre de theophraste (4e s av JC), LB va l’enrichir ● Livre V à X : foncitonnement de la société V) De la société et de la conversation = art d’être en société: portraits de pers contraire au val de civilité VI) Des biens de fortune = rôle de l argent destabilise l ordre social VII)De la ville :

Phèdre. Le fabuliste cherche a s'appuyer sur la capacité réflexive de l'apologue pour flatter la supériorité et l'efficacité de la fable sur les longs et ennuyeux discours. Ainsi cette fable illustre ce double programme qui n’est d’autre que « plaire et instruire «“. Développement Le discours sérieux de l'Orateur se basse seulement sur la conviction. Il s'agit d'imposer une idée à l'auditoire de l'extérieur. Or La Fontaine en propose une vision dévalorisante. - Cette prise de parole, ce discours

Shakespeare : la scène du balcon.) B – Séduction Du Public/ Plaire/ Apologue. Voici donc la première idée de la séduction au théâtre. Mais il faut savoir que comme nous l’avons dit au début, la séduction recouvre deux sens grâce à la double énonciation. C'est-à-dire que la séduction peut valoir pour les personnages mais aussi et surtout envers le public. Le premier but de l’écriture d’une pièce, donc de l’auteur, est de plaire à ses lecteurs, de le séduire. Pour cela ils utilisent notamment