Insuffisance cardiaque

vers les vaisseaux sanguins et les cavités du corps d'un animal. L'adjectif cardiaque veut dire « qui a rapport avec le cœur » ; il vient du mot grec cardia, « cœur », de la racine indo-européenne kērd. Le cœur est le « moteur », la pompe du système circulatoire. Sommaire [masquer] 1 Le cœur humain 1.1 Structure 1.2 La révolution cardiaque 1.3 Régulation des contractions cardiaques 1.3.1 Automatisme cardiaque 1.3.2 Régulation par le système nerveux central 1.3.3 Régulation hormonale

du sang se trouvent les valves cardiaques empêchant le reflux du sang. Le myocarde, tunique moyenne, est revêtu du côté interne par l’endocarde, du côté externe par l’épicarde ; les myocardes ventriculaire et atrial sont séparés par un anneau fibreux. I) Les valves et le squelette fibreux Le cœur possède un squelette de fibres de collagène dont les principaux constituants sont les trigones fibreux droit et gauche, situés au niveau des quatre valves cardiaques. Des prolongements des trigones

dit cependant avoir longtemps été de nature robuste, contrairement à sa soeur. Les antécédents médicaux de Madame P. : - Fracture du bassin - Tête de l'humérus félée - Ostéoposrose (canal carpien) - Hypertension arterielle - Insuffisance cardiaque -Asthme -Bronchites chroniques Traitement de Madame P. : - Un anti-angoreux : traitement contre la crise d'Angor (angine de poitrine, vertiges, baisse d'acuité visuelle d'origine vasculaire). (médicament administré : Vastarel 35

conséquence, une augmentation d'activité du système urinaire provoquant une rétention d'eau et de sel ainsi qu'une vasoconstriction des artères. Une insuffisance rénale chronique peut provoquer l'HTA. -Origine surrénalienne : La tumeur (le phéochromocytomeune = tumeur de la médullo-surrénale) va produire des substances augmentant la fréquence cardiaque, la force de contraction du cœur et entrainent une vasoconstriction des artères. La tumeur, la plus souvent surrénalienne, peut avoir d’autres localisations

dépolarisation et de repolarisation sont la conséquence d'un transfert d'ions entre les milieux intra et extra-cellulaire. Potentiel de repos: Lorsqu'on place deux micro-électrodes reliées à un galvanomètre la première électrode à la surface d'une cellule cardiaque l'autre on l'enfonce dans le milieu intra-cellulaire, on observe une variation brutale de potentiel d'environ 85 à 90 mv, l'intérieur de la cellule étant négatif par rapport à l'extérieur. Le potentiel obtenu est appelé potentiel de repos. Potentiel

douleurs très intenses ou résistantes aux autres antalgiques : Morphine. Fentanyl. Dérivé de la morphine. I - Le palier 1 : les antalgiques non opiacés a) Paracétamol Propriétés : Analgésique. Antipyrétique. Contre-indications :  Insuffisance hépatique, allergie connue au paracétamol. Effets secondaires : Rares allergies : éruptions cutanées, thrombopénies. Hépatotoxicité en cas de surdosage (> 4g/j chez l'adulte, > 80mg/kg/j chez l'enfant). Conseils : espacer les prises de

essentiellement à caractériser le problème veineux Déterminer sa nature Evaluer sa sévérité Identifier tout facteur causal ou d’aggravation I Anomalies veineuses fréquentes Thrombose veineuse profonde (TVP) Thrombophlébite superficielle (TVS) Insuffisance veineuse chronique (IVC) Les maladies veineuses touchent préférentiellement les membres inférieurs ! II Anatomie Réseau veineux profond Satellite du réseau artériel, 90% du retour veineux Réseau veineux superficiel Grande veine saphène

partielle. Elle est dans une chambre seul situé au fond du secteur A. Antécédents médicaux : - Hypertension Artérielle - Broncho-pneumopathie chronique (persiste dans le temps) obstructive : (maladie respiratoire atteignant les bronches) - Insuffisance respiratoire - Tabac - AVC ischémique - Dysarthrie sequellaire (difficulté à parler du a des lésions dans le système nerveux) Antécédents chirurgicaux : - Chirurgie thyroïdienne Traitements : -Doliprane, Perfalgan : antalgique (réduire

extensif. - de l’aggravation progressive du coma avec l’apparition de signes traduisant une souffrance à l’étage mésencéphalique ; - de troubles respiratoires : rythme de Cheynes Stokes, pauses respiratoires, encombrement bronchopulmonaire, insuffisance respiratoire (cyanose due à l’hypoxie, tirage sus-sternal, sueurs et HTA liées à l’hypercapnie) ; - de troubles végétatifs : bradycardie par hypertension intracrânienne, poussées hypertensives par HTIC ou hypercapnie, collapsus d’origine centrale

TR tous les jours avant la toilette. De plus, ses antécédents chirurgicaux révèlent une cystectomie en 2009 nécessitant la pose d’un bricker, avec une poche collectrice des urines, qu’il faut changer tous les 3 jours. Monsieur S a également une insuffisance respiratoire chronique liée à son asthme et à sa scoliose entraînant une déformation de la cage thoracique et générant des difficultés respiratoires importantes. Il souffre de bronchites chroniques obstructives et l’asthme est traité, matin et