Insuline

avec différentes voies, délais, pics et fins d’actions. | voies | Délais d’action | Pic d’actions | Fin d’action | Insuline humaine rapide | -Intraveineuse -intramusculaire -sous-cutanée | Immédiat 10 minutes 15-20 minutes | 10 minutes 30 minutes 2 à 4 heures | 20 minutes 2 heures 6 heures | Insuline humaine intermédiaire à la protamine | Sous-cutanée | 60 à 90 minutes | 4 à 8 heures | 12 à 18 heures | Analogue d’actions

(inhalation du contenu gastrique) Contre : confort du patient prise des médicaments (insuline, anticoagulants, anti-hypertenseurs…) hydratation Conclusion du groupe de travail de la SFR (janvier 2005) : « la pratique systématique du jeûne avant une injection n’est plus recommandée sauf si une anesthésie est programmée » Responsable médical France/BF/février 2008/PF 0811 72 Patient diabétique Sous insuline : injection de la dose habituelle (pas de jeûne) Sous metformine : arrêt de la metformine

pancréas : Le pancréas est un organe digestif situé derrière l'estomac. Il est exocrine et endocrine. Exocrine : fabrication des hormones en dehors du sang, dont l'émission se fait dans le tube digestif. Endocrine : sécrétion d'hormone dans le sang insuline, glucagon, somatostatine. Le glucagon et l'insuline bouleversent la glycémie de l’organisme. L'insuline fait diminuer la glycémie en ordonnant à quasi toutes les cellules de l'organisme d'absorber les glucoses sanguins. Qu'est ce que le diabète 

obèses. Les risques d’hypertension sont également plus grands si l’obésité s’est manifestée durant le jeune âge. L’obésité est l’une des principales causes des maladies sanguines comme le diabète. Les cellules adipeuses augmentent les besoins en insuline et les personnes obèses développent une résistance à son action. Le taux de glycémie est alors constamment élevé, ce qui provoque le diabète. On estime qu’un obèse a deux fois plus de risques de souffrir de diabète que les autres personnes. D’autre

réglée (glycémie = taux de glucose sanguin). * Valeur de consigne de la glycémie (=1g/L). * Système réglant : 1. Centre intégrateur (pancréas). 2. Capteurs (cellules des îlots de Langerhans [α et β]). 3. Messagers (hormones : insuline et glucagon). 4. Organes effecteurs (hépatocytes, cellules musculaires…). I. La régulation physiologique de la fonction de reproduction chez le mâle. A. Activité testiculaire. 1. Le testicule produit des gamètes mâles : spermatogenèse

insulino-dépendant et donc l’équipe font attention à ne pas re-sucrés ce qu’on lui sert. Elle prend son repas et ses médicaments seul. Elle pèse 64 , 10 KG. L'équipe doit faire attention de ne pas servir le petit déj avant que l'IDE lui est fait son insuline. Au petit déjeuner elle prend du jus de fruit avec un yaourt. Son taux de glycémie est prélevé tous les jours matin et soir ; Le résultat du dextro de se matin est de  …............................... A la fin du déjeuner, Mme A préfère se

glande endocrine située dans le cerveau qui contrôle l’activité d’autres glandes endocrines Glycogène : sucre complexe (polymère de glucose) qui sert de réserve glucidique dans les tissus adipeux, on le trouve principalement dans le pancréas Insuline : hormone pancréatique (cellule Beta) qui fait chuter la glycémie. Elle est donc hypoglycémiante Elle permet de transformer l’excédent de glucose en glycogène dans le foie. Glucagon : hormone synthétisée par le pancréas qui maintient la glycémie

la valeur détectée : cellules ß stimulées si hyperglycémie et inhibées si hypoglycémie. Inverse pour cellules a. - Le message hyperglycémiant ou hypoglycémiant est codé par concentration plasmique de l’hormone. Par ex : forte concentration en insuline = message hypoglycémiant → fort prélèvement de glucose par cellules cibles. - Message bref pour que l’effet cesse une fois glycémie rétablie : destruction rapides des hormones une fois libérées (vie = 5 min). La glycémie (paramètre réglé) déclenche

de la déglutition +++  Risque de fausses routes +++  Complications possibles : • Arrêt cardio-respiratoire sur obstacle trachéo bronchique • Pneumopathie d’inhalation  Contrôle glycémique, hydro-électrolytique et nutritionnel  Normoglycémie : insuline si hyperglycémie  Normonatrémie : adaptation de l’hydratationMesures générales en USINV (2)  Contrôle de la fièvre  Traitement antipyrétique  Prévention des complications de décubitus  Traitement préventif par HBPM  Traitement antibiotique

pour traiter les symptômes de reflux gastro-œsophagiens . * Fragmine ; 5000 ui anti-Xa/0,2 ml ; solution injectable ; nuit : anticoagulant HBPM : prévient le risque de trombose. * Lantus ; 100 ui/ml ; 8 ui ; solution injectable ; matin : insuline * Kardégic ; 75mg ; midi : antiagrégant plaquettaire (préventif) * Fortimel diacare à 16 h : complément alimentaire * Dexeryl : protecteur cutanée * Econazole ; 1% Arrow : antifongique. Mme G, au début de sa prise en charge, ne