Intensité capitalistique

Secteurs ` rendements croissants a Plus la zone de rendements croissants (´conomie d’´chelle) est e e grande, plus les entreprises sont incit´es ` accroˆ leur taille et plus e a ıtre le march´ sera concentr´. e e Cas des secteurs ` forte intensit´ capitalistique et forts coˆts a e u fixes (automobile). Cas des secteurs ` haute technologie (informatique). a Secteurs ` rendements d´croissants a e Aucun int´rˆt ` avoir trop de capacit´ de production. ee a e 8 1.3. Entr´e et sortie sur le march´

5° Dans les grandes entreprises, les variations de coût du travail nʼont quʼun faible impact car cʼest leur facteur secondaire, ce qui compte pour elles cʼest le coût du capital donc de leur financement. Ce sont des entreprises à forte intensité capitalistique. Au contraire, lorsque la main dʼoeuvre est très qualifiée, sa productivité élevée amoindrit la sensibilité au coût du travail, il faut que lʼemployeur propose des salaires attractifs pour attirer les meilleurs salariés et les fidéliser (investissement

intervenir sur d’autres segments de marché, qu’ils n’ont encore peu ou pas pénétré. Il s’agit notamment de la revente de l’abonnement et des services innovants. Les barrières financières sont également à prendre en compte. Il y a une forte intensité capitalistique, dans ce milieu les investissements sont considérables. Afin de pénétrer le marché, le montant à investir des éventuels entrants est colossal. Un autre frein réside dans l’accès à la technologie ; c’est une barrière au niveau des ressources

Kierkowsky) D’après les auteurs, « un pays relativement abondant ou pauvre en capital humain exportera des biens intensifs en travail qualifié ou non qualifié » 1947 : « paradoxe de Léontieff » 1966 : Keesing explique que des pays qui ont une intensité capitalistique forte exportent aussi des produits relativement intensifs en travail (parce que ce travail est plus qualifié et plus productifs, cas des Eu), ce qui est conforme aux prédictions de la théorie HOS. C . L’approche néo-technologique 

secteurs où l’innovation et la technologie sont prépondérantes (automobile, aviation, spatial, médicaments…). Les pertes concernent des produits aux technologies de base (électronique grand public, moteurs, électricité…) ou des produits à faible intensité capitalistique (nécessitant peu de capital, comme le textile, les meubles). e) Solde des transactions courantes et échanges de devises (doc.10 p.50) Les Etats-Unis présentent un solde des transactions courantes structurellement déficitaire depuis

entreprise 101.5 Chiffre d’affaire moyen par entreprise (Million d’euros) 54 Chiffre d’affaire moyen par salariés (K€) 531.9 Production vendue de bien (% du CA) 99.8% Frais de personnel (% du CA) 10.3% Taux de valeur ajoutée 25.2% Intensité capitalistique ( M€) 80.1 Taux d’excédent brut d’exploitation 12.6% Taux d’investissement 12% Comparaison entre concurrents : UPM France Localisation Géographique : Levallois-Perret Objet : Leader forestier Activités : UPM comprend trois

composants électronique, l’industrie lourde, la grande distribution. Pour contourner ces barrières à l’entrée des entreprises font du commerce sur internet. * L’intensité capitalistique : montant des investissements d’entrée dans le secteur, la durée de retour sur investissement : industrie nucléaire. Plus l’intensité capitalistique n’augmente, la menace de nouveaux entrants diminue. Si les clients doivent supporter des couts élevés lorsqu’ils changent de fournisseurs, les concurrents sont naturellement

|Industries à forte |Industries dominées |La gestion du résultat a lieu | | | |intensité |par le marketing : |tout au long de la chaîne des | |Niveau d’intervention |N/A |capitalistique : la |la gestion du |contrôleurs | | | |gestion du résultat se |résultat

l'entreprise de construire un avantage concurrentiel durable et substantiel au travers, par exemple, la différenciation de son offre. Position défendable pour des entreprises qui peuvent offrir les produits au coût le plus bas (activités à forte intensité capitalistique sur produit homogène). 1.1. La matrice Arthur Doo Little ou matrice Shell La matrice ADL retient deux variables stratégiques fondamentales: Le degré de maturité de l’activité, fondé sur le cycle de vie du produit ou de l’activité : démarrage

Patrimoine unique (statut des marques stars) Prêt-à-porter n’est pas assez rentable Couverture géographique (politique d’internationalisation) Faiblesse de l’horlogerie Image de marque voire d’excellence (notoriété) Peu de concurrents mais intensité concurrentielle très forte Fait du e-commerce et veut devenir un acteur majeur pour Internet Problèmes pour répondre à la demande croissante (mais cela âtre assimilé à une volonté de créer un effet de rareté) Produit adapté aux différents