Intentionnel Conscience

instinctives et non déterminées. Un chien ou un objet n’ont pas conscience que ce qu’ils font est bien ou mal alors que, l’homme est doué de conscience sait ce qui est bien ou pas. Il est soumis au libre arbitre c’est-à-dire au pouvoir de choisir. On juge et on condamne un criminel alors qu'on exécute sommairement un chien qui a défiguré ou tué une personne. Parce qu'on pense que l'homme est responsable de ses actes car il est doué d'une conscience ou d'une raison que l'animal n'a pas. C'est pourquoi on

sens, et provoquent la perte de contrôle de c’est fait et gestes, et bascule dans une forme d’inconscience. La conscience a ses limites du fait que nous soyons constamment influencer par le monde qui nous entour .On peut agir involontairement par mimétisme, qui selon René GIRARD est un mécanisme fondamental du comportement humain. Contrairement à l’imitation qui est intentionnelle, le mimétisme est instinctif donc non conscient : J’aime quelque chose, parce que les autres l’aiment (phénomène

telle que nous la connaissons aujourd'hui est une découverte récente puisque nous la devons à Sigmund Freud (début du 20e siècle) mais ce n'est pas lui qui l'a inventé. L'inconscient est l'ensemble des faits liés à l'esprit et qui échappent à la conscience. L'hypothèse de l'inconscient a évolué au cours des siècles : nous parlerons de Freud, de ses précurseurs et de ses successeurs. I) Les précurseurs La philosophie classique n'a pas reconnu l'existence de l'inconscient. Les philosophes antiques

matière première du danseur. Pour le spectateur il y a appréciation de la difficulté technique ou sensation de facilité, de simplicité de la tâche. Performances, appréciation des prises de risques physique ou émotionnelles. Pour le danseur , conscience et technique corporelles très fines. Acquisitions : souplesse, impulsion coordination, tours, sauts, équilibres, chutes, descentes, porters, marches, courses... Mise en danger de l'intégrité physique ou psychologique du danseur, notion d'interprétation

de latence de la maladie implique qu’il a été contaminé antérieurement à 1976. Enfin, la société fait grief à la Cour d’appel d’avoir ignoré le caractère progressif de l’évolution des connaissances scientifiques en la matière en caractérisant la conscience que la société aurait dû avoir du risque couru par les salariés tout en ignorant le décret de 1977 créant un dispositif de mesures appropriées. En outre, la CPAM et la société font grief à la Cour d’appel d’avoir statué comme elle l’a fait alors

indépendamment des autres, il possède « une liberté acosmique ». Il y a donc une idée de conscience, qui passe par la reconnaissance de l’autre, ce qui permet également de me différencier d’autrui. L’homme n’est plus un résultat, c’est désormais lui qui décide, il n’est pas influencé. Merleau-Ponty résume ensuite ces deux vues en une seule phrase : « D’un côté l’homme est une partie du monde, de l’autre il est conscience constituante du monde ». Cela résume parfaitement le problème. Soit l’homme est cette

bien un être naturel mais il est en même temps plus que cela : il est, mais il a aussi conscience d’être. L’homme se rapporte à des fins, des objectifs, des buts. Il est lié à des projets. En d’autres termes, quel est le but de l’homme ? I : Pour s’interroger sur le sens de l’existence, les hommes ont dû prendre conscience de leur propre existence. Ainsi l’existence est indissociable de la conscience humaine. C’est parce que l’homme est conscient de sa propre personne, et qu’il est capable

transformations des informations : permet d'avoir des croyance … Thérapies cognitivo-comportementales, pour modifier le schéma cognitif : prise de conscience des schémas cognitifs par la verbalisation, remplacement systématique par d'autres schémas plus adaptés, réflexion critique dans le cadre rassurant. Rendre le sujet acteur de cette liaison, lui faire prendre conscience du problème en lui donnant un cadre pour le comprendre, et l'amener à une réflexion critique sur son propre fonctionnement pour qu'il puisse

supérieur au beau artistique : deux raisons : • Dieu a crée la nature donc elle est volontaire et donc supérieure • Dieu n'existe pas, la nature est hasardeuse alors que l'art est volontaire : le beau artistique est supérieur par son côté créatif et intentionnel L'œuvre d'art est aussi sensible par son côté visible. Elle débute par une idée, se matérialise par l'œuvre. La beauté de l'idée est indépendante de la beauté de l'œuvre (artiste > œuvre < spectateur) L'artiste a plusieurs intentions : • faire

le desir n'est pas fondé sur la conscience, la conscience accompagne le désir elle ne le fonde pas, autrement dit, nous prenons conscience de la tonalité de notre désir, compte tenu de sa virulence nous y acquiesson, mais non pas pour des raisons objectives mais compte tenu de la prémience du désir, pour Spinoza, le désir qu'il soit ou non accompagné de conscience demeure le même, puisque ce n'est pas la conscience qui constitue le fondement du désir, la conscience est simplement mise au courant de