Intentionnel Conscience

INTRO "La conscience morale n'est pas quelque chose que l'on soit susceptible d'acquérir, et il n'y a pas de devoir ordonnant de se procurer cette conscience; mais tout homme, en tant qu'être moral, possède en lui, originairement, une telle conscience." Cette citation d’Emmanuel Kant, extraite des Fondements de la métaphysique des mœurs nous invite à penser qu’imposer des limites, juger de ce qui est bien ou mal sont des processus que chacun détient depuis toujours, et donc depuis la naissance

l’expérience de Marvin Simmer 1970 (que vous pouvez retrouver à la page 27) * La résonance affective : » capacité automatique, peu contrôlable et non intentionnelle d’imiter les postures et les expressions émotionnelles des personnes avec lesquelles nous interagissons. » * La flexibilité mentale : « nécessaire pour que nous ayons bien conscience que c’est autrui qui agit ou éprouve une émotion et non pas nous même. » L’enfant est réellement capable d’empathie à l’approche de ses deux ans. Elle

autant, cette définition du mensonge est incomplète parce qu’on ne parle pas de mensonge lorsque l’on dit le faux de façon sincère et involontaire. C’est pourquoi il existe une différencie capitale entre le mensonge et l’erreur, car l’erreur est in intentionnelle, à l’inverse du mensonge. Par exemple, pendant des siècles, des scientifiques ont élaboré des théories qui se sont avérées fausses, mais peut-on dire pour autant qu’ils se soient mentis et qu’ils aient menti aux autres ? Non, car dans ce genre

SANCTIONNÉS PAR UNE PEINE. SECTION 1 COMPRENDRE LE DROIT PÉNAL ON CONSTATE QUE LE PHÉNOMÈNE CRIMINEL EST UNE DONNÉE SEMPITERNELLE DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ. IL EXISTE DEPUIS TOUJOURS DES ACTES INTERDITS PAR LA LOI, QUI SEMBLENT REJETÉS PAR LA CONSCIENCE COLLECTIVE, PAR LA SOCIÉTÉ. MALGRÉ CE REJET SOCIAL, ON NE PEUT CONFONDRE LE DROIT PÉNAL ET LA MORAL. LE DROIT PÉNAL PEUT SANCTIONNER DES COMPORTEMENTS AMORAUX MAIS LES DEUX NE SE SUPERPOSENT PAS. EN EFFET, CERTAINS COMPORTEMENT REJETÉS PAR LA MORALE

me donne aucun privilège particulier pour dire qui je suis. La conscience me permet d’affirmer que je suis le mieux placé pour dire qui je suis. Par contre, l’hypothèse de l’inconscient me déloge de cette place. Le moi enfin, ne demeure-t-il pas essentiellement un inconnu ? S’interroger sur qui on est, implique d’être capable de se représenter soi-même. Or, tel est le propre de la conscience. Et que découvre cette conscience ? Qui suis-je, moi, qui, m’interroge sur moi-même ? Il faut d’abord

préconcept. - phase intuitive de 4 à 7 ans : besoin de visualiser pour comprendre ( il ne peut pas comprendre « 1+1=2 » mais peut comprendre qu’un cube + un cube = 2 cubes ) ( Période des opérations concrètes de 7 à 11 ans : prise de conscience de la pensée, reversibilité, conservation, peut compter, trier, classer. ( Période des opérations formelles : adolescence, capcité d’abstraction et conceptualisation, formulation d’hypothèse et vérification. 2°) Freud => Affectif : ( Stade

commise. L'imputabilité repose sur le rapport entre l'individu et sa conduite. C'est la possibilité de mettre la faute commise au passif de la personne, ce qui suppose une conscience et une volonté libre. Les principes généraux de la responsabilité pénale gravitent essentiellement autour de l'idée de faute : faute intentionnelle, faute d'imprudence ou de négligence, faute de mise en danger délibérée, faute contraventionnelle. Pour qu'il y ait responsabilité pénale il faut donc qu'une faute ait

du risque 2. Innovation} faces positives du risque 3. Sécurité = besoin de se protéger 4. Responsabilité = assumer la prise de risque Selon Giddens, la société du risque est tournée vers l’avenir. La modernité serait donc la prise de conscience de l’importance du risque dans les préoccupations des individus et du gouvernement. Société de connaissance = société de doute. Nous avons accès à des informations contradictoires. Nous disposons d’une vaste base de données de connaissance mais

sur une voie ferrée est pénalement responsable de tout dommage qui pourra en résulter, aussi grave qu’il puisse être. - Dol éventuel : Le dol éventuel est une variété de l’élément moral de l’infraction. On l’observe lorsqu’un prévenu a agi avec conscience ; prévoyant, même s’il ne le souhaitait pas, que son acte pouvait porter atteinte à un intérêt protégé par la loi. On pense ici au jeu stupide consistant à remonter une autoroute à contresens. - Dol spécial : Il y a dol spécial, ou intention criminelle

appréciation Négligence … fait plus grave Principes suivant - Faute peut être intentionnelle : auteur a voulu, était conscient du dommage qu’il allait causer  Délit civil et l’art 1382 la condamne - Faute d’imprudence ou de négligence :  faute de quasi – délit civil : art 1382 - Faute inexcusable : provocation d’un danger particulièrement grave pour la sécurité d’autrui et dont l’auteur pouvait ou devait en avoir conscience - Faute lourde : essentiellement utilisée dans le cas de responsabilité